DIV11 Localisations inhabituelles des plasmocytomes. A propos de 16 cas et revue de la litterature

DIV11 Localisations inhabituelles des plasmocytomes. A propos de 16 cas et revue de la litterature

LA PANNlCULlTE MESENTERIQUE : ETUDE PAR TOMODENSITOMETRIE A LEFKOPOULOS,A HARSOULA, C MANIKA, K DADOULI, E PAPADOPOULOU, AS DIMITRIADIS THESSALONIKI -...

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LA PANNlCULlTE MESENTERIQUE : ETUDE PAR TOMODENSITOMETRIE A LEFKOPOULOS,A HARSOULA, C MANIKA, K DADOULI, E PAPADOPOULOU, AS DIMITRIADIS THESSALONIKI - GRECE Objectifs : La panniculite mésentérique constitue une processus inflammatoire rare et chronique du tissue adipeux du mésentère. Le but de notre étude était la description de signes visualisés à la tomodensitométrie (TDM). Matériels et méthodes : Dans une période de trois ans, 1042 TDM abdomino-pelviennes ont été évaluées pour constater la présence de quelques signes concernant la panniculite mésentérique. Les TDM ont été acquises avant et après injection de produit de contraste 100 ml, épaisseur de coupe 10 mm. De notre étude ont été exclus les cas de lésions malignes, inflammation et traumatisme abdominal, ainsi que les cas d'ascites et de pathologie lymphomateuse. Résultats : Des signes de panniculite mésentérique ont été registrés dans 26 cas. La fréquence de ces signes observés : a) infiltration du tissu adipeux du mésentère 100 %, b) le signe « fat-halo » 61,5 %, c) nodules 84,6 % et d) pseudo-capsule 19,2 %, ainsi que les conditions responsables pour le développement du panniculite sont discutées. Conclusion : La TDM est l'examen de choix pour apporter le diagnostic de panniculite inésentérique, évitant ainsi des biopsies ou laparotomies pas nécessaires. .''. Mots clés : Péritoine, inflammation

IRM DES MASSES PELVIENNES VOLUMINEUSES ET RARES MD CREMA, C HOEFFEL, MD MARRA, S MERRAN, L ARRIVE, JM TUBIANA PARIS - FRANCE Objectifs : L'IRM pelvienne en haute résolution est la technique d'imagerie de choix pour évaluer les masses pelviennes. Le but de ce poster est d'illustrer en IRM l'aspect des différentes masses pelviennes volumineuses et rares, dont le diagnostic est souvent difficile. Matériels et méthodes : Etude rétrospective des IRM pelviennes réalisées de septembre 2002 à février 2006. Les résultats des IRM sont confrontés aux données cliniques, chirurgicales et anatomopathologiques. Résultats : Nous illustrons le spectre des masses pelviennes volumineuses et rares, tout en analysant des points clés qui aident au diagnostic (organe d'origine, relations vasculaires, atteinte péritonéale ou extrapéritonéale, atteinte de la paroi pelvienne, etc.). Les masses étaient d'origine utérine (rabdomyosarcome, sarcome endométrial), ovarienne (fibrothecome, métastase), rectale (lymphome, angiome caverneux, tumeur stromale), prostatique et des parties molles (tumeur desmoïde, schwannome). Conclusion : Les masses pelviennes volumineuses et rares peuvent se développer à partir de plusieurs structures pelviennes, le diagnostic étant souvent difficile. L'IRM pelvienne en haute résolution est I'examen de choix pour évaluer ces masses. 2'; Mots clés : Pelvis, tumeur

LOCALISATIONS INHABITUELLES DES PLASMOCYTOMES.A PROPOS DE 16 CAS ET REVUE DE LA LlllERATURE

Objectifs : Le but de notre travail est de rapporter des localisations inhabituelles de plasmocytomes et de décrire leurs aspects clinicoradiologiques. Matériels et méthodes : Etude rétrospective portant sur seize patients porteurs de plasmocytomes (solitaires dans 8 cas) de localisations inhabituelles. Ces patients ont été explorés par des radiographies standard (n = 16), une échographie testiculaire (n = l), une tomodensitométrie (n = 8), une IRM rachidienne (n = 16) et une IRM musculaire (n = 1). Une biopsie pleurale a été réalisée dans 4 cas, une biopsie osseuse dans 5 cas, une biopsie ganglionnaire dans 2 cas et une étude anatomopathologique d'une pièce d'orchidectomie dans un cas. Résultats : Il s'agissait de localisations pleurales (n = 4), ganglionnaires médiastinales (n = 2), sternale (n = l), claviculaire (n = l), iliaque (n = l), fémorale (n = l), musculaire (n = I), orbitaire (n = I), testiculaire (n = l), au niveau du cartilage thyroïde (n = l), au niveau du coude (n = 1) et au niveau de la base du crâne (n = 1). Conclusion : Le diagnostic de plasmocytome dans ses localisations inhabituelles et en dehors d'un contexte clinique évocateur, est difficile. L'imagerie joue un rôle important. Elle en permet le bilan d'extension, de guider des gestes de biopsies percutanées et d'assurer la surveillance au cours de l'évolution. 2' Mots clés : Os. tumeur

IMAGERIE DES COMPLICATIONS OPERATOIRES UROGYNECOLOGIQUES N KADI,l BACCAR, I MAHDJOUBI, V CHIGOT, J BIGOT PARIS - FRANCE Objectifs : Il est bien connu qu'aucun geste chirurgical ou interventionnel n'est anodin tout aussi facile qu'il puisse paraître. On se propose à travers quelques observations d'illustrer les plus fréquentes mais également les plus inattendues des complications de la chirurgie urogy nécologique. Matériels et méthodes : Le scanner a tendance à être l'examen de première intention supplantant l'échographie ; I'IRM est par contre très rarement sollicitée (dans le cas où les autres techniques n'ont pas été contributives). Résultats : L'imagerie a une place de plus en plus prépondérante ; elle intervient à 2 voire 3 étapes à savoir diagnostique, thérapeutique (drainage) et pour le suivi évolutif. Le scanner a tendance à être I'examen de première intention supplantant l'échographie ; I'IRM est par contre très rarement sollicitée (dans le cas où les autres techniques n'ont pas été contributives). Conclusion : L'imagerie a une place de plus en plus prépondérante dans la prise en charge des patients sujets aux complications opératoires. -"', Mots clés : Appareil génital féminin, chirurgie