Évolution des Infections respiratoires aiguës basses chez les enfants âgés de moins de 5 ans au Maroc

Évolution des Infections respiratoires aiguës basses chez les enfants âgés de moins de 5 ans au Maroc

S72 Saint-E´tienne, 17–19 mai 2017 / Revue d’E´pide´miologie et de Sante´ Publique 65S (2017) S69–S89 PM7 Connaissances, opinions et croyances des ...

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Saint-E´tienne, 17–19 mai 2017 / Revue d’E´pide´miologie et de Sante´ Publique 65S (2017) S69–S89

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Connaissances, opinions et croyances des me`res ou accompagnateurs d’enfants dans un centre de vaccination de re´fe´rence a` Abidjan – Coˆte d’Ivoire H. Attoh-Toure´, H.E. Ayeva Adam *, B.V.J. Be´nie´, I. Tiembre´ Institut national d’hygie`ne publique d’Abidjan, Cote d’Ivoire *Auteur correspondant. Adresse e-mail : [email protected] (H. E. Ayeva Adam) Introduction Les programmes nationaux de vaccinations sont confronte´s a` l’insuffisance de la communication. L’objectif de notre e´tude e´tait d’analyser les connaissances, opinions et croyances des me`res ou accompagnateurs d’enfants dans un centre de vaccination de re´fe´rence a` Abidjan (Coˆte d’Ivoire). Me´thodes Il s’agissait d’une e´tude transversale a` vise´e descriptive qui s’est de´roule´e du 20 juin au 31 juillet 2016 a` l’unite´ du programme e´largi de vaccination (PEV) de l’institut national d’hygie`ne publique. Ont e´te´ inclus dans l’e´tude, toutes les me`res ou accompagnateurs de nourrissons aˆge´s de 9 a` 11 mois consultant pour la vaccination de leurs enfants (n = 197). Des entretiens face a` face, a` l’aide d’un questionnaire ont e´te´ re´alise´s apre`s consentement verbal. Re´sultats La population d’e´tude e´tait constitue´e de femmes (78,7 %), aˆge´es de 30 a` 39 ans. Parmi elles, 58,4 % e´taient chre´tiennes et 51,3 % avaient un niveau d’e´tudes supe´rieur. Elles connaissaient le but pre´ventif la vaccination (80,2 %) mais seulement 11,6 % avaient un bon niveau de connaissances des maladies cible´es par la vaccination. Le niveau d’instruction e´leve´, l’exercice d’une profession, la vie en couple et la pratique de la religion chre´tienne influenc¸aient la connaissance des me`res ou accompagnatrices ( p < 0,05). Souvent confronte´es a` des rumeurs, 39,7 % d’entre elles y croyaient. La ste´rilite´, les effets ne´gatifs des vaccins e´taient les principales rumeurs ve´hicule´es, mais elles ne semblaient pas constituer un frein a` la vaccination des femmes. Conclusion Le niveau de connaissance des maladies cibles du PEV demeure insuffisant et est associe´ a` des croyances errone´es. La sensibilisation reste un levier essentiel pour le de´veloppement des activite´s vaccinales. Mots cle´s Connaissances ; Opinions ; Croyances ; Vaccination ; Coˆte d’Ivoire De´claration de liens d’inte´reˆts Les auteurs de´clarent ne pas avoir de liens d’inte´reˆts. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2017.03.051 PM8

Conception d’un syste`me d’information de´mate´rialise´ pour le recueil de donne´es rapporte´es par les personnes vivant avec le VIH en soin courant en Aquitaine D. Barger a,*, O. Leleux a, V. Conte b, I. Crespel c, S. Delveaux c, F. Dabis a,c, F. Bonnet a,d a Universite´ de Bordeaux, Inserm U1219, Bordeaux, France b Universite´ de Bordeaux, centre de recherche et de´veloppement en informatique me´dicale, Bordeaux, France c COREVIH Aquitaine, CHU de Bordeaux, Bordeaux, France d Service de me´decine interne et maladies infectieuses, hoˆpital Saint-Andre´, CHU de Bordeaux, Bordeaux, France *Auteur correspondant. Adresse e-mail : [email protected] (D. Barger) Introduction Les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) peuvent pre´tendre a` une espe´rance de vie proche de celle de la population ge´ne´rale a` condition d’eˆtre de´piste´es et prises en charge pre´cocement. Ne´anmoins, le risque de comorbidite´s varie´es augmente en raison du vieillissement et les troubles psychiatriques et addictifs sont fre´quents. Le bilan de l’e´tat de sante´ des PVVIH ne se limite donc plus au controˆle de la charge virale VIH plasmatique et au de´pistage des comorbidite´s, mais doit capturer et prendre en compte d’autres dimensions. Nous avons conc¸u un syste`me d’information de´mate´rialise´ pour le recueil de donne´es rapporte´es par les PVVIH (e-Patient-Reported

Outcomes [e-PRO]) en soins courants, en comple´ment des donne´es cliniques et biologiques, visant a` caracte´riser et ame´liorer l’e´tat de sante´ globale des PVVIH. Me´thodes ARPEGE1 est un syste`me d’information se´curise´ de´veloppe´ avec Microsoft ASP.NET (WebForm), accessible via Internet pour la saisie et la consultation des dossiers me´dicaux des PVVIH suivis dans les 13 unite´s participant a` la Cohorte ANRS CO3 Aquitaine. Les donne´es sont stocke´es dans un syste`me de gestion de base de donne´es (SGBD) Microsoft SQL Server 2014. Depuis 2013, les donne´es me´dicales relevant de la prise en charge courante sont syste´matiquement saisies sur un eCRF par les TEC du COREVIH Aquitaine. Pour mettre en place, via ARPEGE1, un syste`me « e-PROs » qui fournirait une aide a` la de´cision clinique, nous avons e´te´ confronte´s aux questions me´thodologiques et pratiques suivantes : – de´finir les objectifs du nouveau recueil ; – se´lectionner les patients, l’environnement, et le sche´ma de recueil ; – choisir les instruments de recueil ; – choisir le mode d’administration ; – proposer des me´thodes de calcul synthe´tique des re´sultats obtenus. Re´sultats Le conseil scientifique a adopte´ les objectifs suivants : caracte´riser les conditions pouvant avoir un impact sur l’e´tat de sante´ globale, repe´rer les comportements a` risque, les troubles addictifs et les e´tats anxieux et de´pressifs, ame´liorer la communication entre patient et soignants, et optimiser le suivi dans un mode`le de prise en charge centre´ sur le patient. Tous les PVVIH prises en charge et ayant de´ja` un dossier ARPEGE1 sont e´ligibles (4000 personnes fin 2016). Le mode`le de recueil est le suivant : lors de sa consultation, l’investigateur invite le patient ayant consenti a` se cre´er un compte sur le site ePRO et lui remet son identifiant unique. Une fois sur le site, l’usager s’inscrit en cliquant sur le bouton « Je participe » et cre´e son compte en mettant son identifiant unique. Il est alors invite´ a` remplir un questionnaire qui comprend une auto-e´valuation de sa sante´ physique, des symptoˆmes ressentis, de l’impact du traitement, de la de´tresse e´motionnelle, des relations intimes et sociales, des caracte´ristiques socio-e´conomiques, et des comportements. Ce recueil sera re´pe´te´ annuellement. L’interface permet e´galement au patient de dialoguer avec son me´decin. Conclusions Notre syste`me innovant propose un mode`le de recueil et de repe´rage souple, robuste et adapte´ a` la pratique des acteurs de sante´ et a priori convenable pour les usagers. Le but ultime est de disposer pour la majorite´ des PVVIH d’une bonne appre´ciation re´pe´te´e de leur e´tat de sante´, afin d’optimiser les filie`res et les parcours, et ainsi de mieux planifier les services. L’expe´rimentation de´bute en 2017 avec l’objectif d’une validation de l’interface avant son imple´mentation a` grande e´chelle. Mots cle´s Patient reported outcomes ; VIH ; Qualite´ de vie ; Nouvelle technologie De´claration de liens d’inte´reˆts Les auteurs de´clarent ne pas avoir de liens d’inte´reˆts. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2017.03.052 PM9

E´volution des Infections respiratoires aigue¨s basses chez les enfants aˆge´s de moins de 5 ans au Maroc N. Bennani Mechita a,b,*, R. Razine a,b, A. Elmarnissi c, L. Lahlou a,b, M. Obtel a,b, I. Cherkaoui d, M. Mrabet a, R. Abouqal b a Laboratoire de me´decine sociale, faculte´ de me´decine et de pharmacie, Universite´ Mohammed V, Rabat, Maroc b Laboratoire d’e´pide´miologie et de recherche clinique, faculte´ de me´decine et de pharmacie, Universite´ Mohammed V, Rabat, Maroc c Direction de la planification et des ressources financie`res, Maroc d Direction d’e´pide´miologie et de lutte contre les maladies, Maroc *Auteur correspondant. Adresse e-mail : [email protected] (N. Bennani Mechita) Introduction Les infections respiratoires aigue¨s basses (IRAB) repre´sentent une importante cause de mortalite´ chez l’enfant aˆge´ de moins de 5 ans au Maroc. L’objectif de cette e´tude e´tait d’explorer l’e´volution des IRAB chez l’enfant aˆge´ de moins de 5 ans en fonction de l’introduction du vaccin pneumococcique en 2010 dans le programme national d’immunisation au Maroc.

Saint-E´tienne, 17–19 mai 2017 / Revue d’E´pide´miologie et de Sante´ Publique 65S (2017) S69–S89 Me´thodes Les donne´es relatives aux IRAB chez l’enfant aˆge´ de moins de 5 ans de l’anne´e 2005 a` l’anne´e 2014 ainsi que les populations cibles durant ces anne´es ont e´te´ recueillies a` partir des donne´es publie´es annuellement dans le rapport sante´ en chiffre du ministe`re de la sante´ Marocain. Nous avons utilise´ l’analyse de re´gression en point joint, l’anne´e de survenue des IRAB a e´te´ introduite comme variable inde´pendante. Cette me´thode permet de de´tecter dans la pe´riode d’e´tude, les anne´es associe´es a` un changement significatif de la tendance temporelle. Le point joint correspond au meilleur moment ou` la tendance de l’incidence des IRAB a change´ de fac¸on significative. Cette me´thode permet e´galement d’estimer le changement annuel en pourcentage (APC) avec son intervalle de confiance a` 95 % pour chaque tendance identifie´e. Dans un premier temps, nous avons re´alise´ cette analyse chez l’ensemble des enfants aˆge´s de moins de 5 ans, ensuite nous avons re´alise´ des analyses stratifie´es par tranche d’aˆge, par milieu (rural, urbain) et par re´gion. Les APC avant et apre`s le point joint ont e´te´ repre´sente´s dans les diffe´rentes re´gions a` l’aide du logiciel micromaps. Re´sultats L’incidence des IRAB a augmente´ de fac¸on statistiquement significative entre 2005 et 2011 (APC = 3,1 %), de 2011 a` 2014 cette incidence a diminue´ (APC = 4,3 %) le point joint correspondait a` l’anne´e 2011 avec un intervalle de confiance compris entre 2007 et 2012. Pour les enfants aˆge´s de moins de 1 an l’incidence a augmente´ en moyenne de 2,2 % annuellement de 2005 a` 2011, de 2011 a` 2014 cette incidence a baisse´ (APC = 5,6 %). Pour les enfants aˆge´s de 1 a` 2 ans l’incidence a e´galement augmente´ entre 2005 et 2011 (APC = 2,4 %) et a diminue´ entre 2011 et 2014 (APC = 2,4 %). Pour les enfants aˆge´s entre 2 et 5 ans l’incidence a augmente´ entre 2005 et 2011 (APC = 3,2 %) et a baisse´ entre 2011 et 2014 (APC = 4,1 %). En milieu urbain, l’incidence a augmente´ de 2005 a` 2011 (APC = 4,3 %) et a baisse´ entre 2011 et 2014 (APC = 5,1 %). En milieu rural, l’incidence a augmente´ entre 2005 et 2011 (0,99 %) et a baisse´ entre 2011 et 2014 (APC = 2,8 %). Dans 10 re´gions sur 16 l’intervalle de confiance du point joint comprenait la pe´riode de temps au de´cours de la vaccination. Conclusion La diminution de l’incidence des IRAB chez les enfants aˆge´s de moins de 5 ans coı¨ncidait avec l’introduction du vaccin pneumococcique, ceci implique une e´ventuelle influence de l’introduction du vaccin pneumococcique sur l’e´volution des IRAB mais cette hypothe`se doit eˆtre explore´e par des e´tudes plus pousse´es notamment une analyse en se´ries temporelles interrompues. Mots cle´s Infections respiratoires ; Enfants ; Point-joint De´claration de liens d’inte´reˆts Les auteurs de´clarent ne pas avoir de liens d’inte´reˆts. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2017.03.053 PM10

Analyse des pratiques et des connaissances des e´tudiants en me´decine de Casablanca-Maroc sur les accidents d’exposition au sang H. Berahou *, Z. Serhier, S. Housbane, M.O. Bennani Laboratoire d’informatique me´dicale, faculte´ de me´decine et de pharmacie, universite´ Hassan II, Casablanca, Maroc *Auteur correspondant. Adresse e-mail : [email protected] (H. Berahou) Introduction Les accidents d’exposition au sang (AES) constituent un risque important de transmission des virus ve´hicule´s par le sang et exposent les professionnels de la sante´ et les e´tudiants en me´decine ; qui repre´sentent un groupe non-ne´gligeable de prestataires de soins aux patients ; au risque d’infection par le VIH, l’he´patite B et l’he´patite C. Notre objectif est d’e´valuer les connaissances et les pratiques des e´tudiants en me´decine de Casablanca en ce qui concerne le respect des mesures d’hygie`ne et des moyens de pre´vention des accidents d’exposition au sang et leur conduite apre`s la survenue de l’accident. Me´thodes Il s’agit d’une e´tude e´pide´miologique descriptive transversale, mene´e en de´cembre 2015 aupre`s des e´tudiants en me´decine de Casablanca ; un e´chantillonnage en grappe stratifie´ sur l’anne´e d’e´tude a e´te´ re´alise´. Les donne´es de cette e´tude ont e´te´ recueillies par le biais d’un questionnaire auto-administre´ respectant la confidentialite´ des personnes interroge´es.

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Re´sultats Au total, 450 e´tudiants ont participe´ a` notre enqueˆte, la moyenne d’aˆge e´tait de 22,38 ans (ET = 1,69 ans) avec une pre´dominance fe´minine (56,0 %). Environ 17,5 % des e´tudiants e´taient victimes d’au moins un accident d’exposition au sang ; 38,3 % de ces e´tudiants connaissaient les pre´cautions standards indispensables pour pre´venir ces accidents, 61,7 % n’utilisaient pas re´gulie`rement le conteneur a` aiguilles, 56,8 % recapuchonnaient « toujours » ou « souvent » les aiguilles utilise´es et seulement 46,8 % ont de´clare´ eˆtre vaccine´s contre l’he´patite virale B. La de´cision de porter des gants e´tait influence´e par le statut se´rologique des patients dans73,5 % des cas. Seulement 24,7 % de ces accidents e´taient de´clare´s et 21,1 % des e´tudiants ayant de´clare´ ont fait une surveillance se´rologique apre`s. La survenue des AES e´tait significativement associe´e au re-capuchonnage des aiguilles ( p value = 0,002) et a` la me´connaissance des pre´cautions standards ( p value = 0,028). Conclusion Les e´tudiants en me´decine constituent une partie non ne´gligeable des personnes a` risque d’accidents d’exposition au sang. Notre e´tude a montre´ une fre´quence importante de ces accidents chez les e´tudiants en me´decine de Casablanca et a de´voile´ les insuffisances remarquables des connaissances et d’application des mesures de pre´vention ainsi que le manque d’information sur la conduite a` tenir apre`s l’exposition. D’apre`s ces re´sultats, il s’ave`re ne´cessaire de mettre en place des actions de formation et d’information sur les AES et leurs moyens de pre´vention pour les e´tudiants en me´decine avant le de´but de leurs stages hospitaliers, d’obliger et de suivre leur vaccination contre l’he´patite B et surtout de leur rendre disponible et a` porte´e de main tout le mate´riel ne´cessaire pour se prote´ger. Mots cle´s Accident d’exposition au sang ; E´tudiants en me´decine ; Pre´cautions standard De´claration de liens d’inte´reˆts Les auteurs de´clarent ne pas avoir de liens d’inte´reˆts. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2017.03.054 PM11

Stages internationaux : auto-e´valuation et perception de l’expe´rience des e´tudiants des faculte´s de me´decine au Maroc A. Boufars a,*, S. Elkafssaoui a, R. Razine b, M. Mrabet a, A. Zrara a a Service d’hygie`ne et me´decine de collectivite´, hoˆpital militaire d’instruction Mohammed V, Rabat, Maroc b De´partement de sante´ publique, faculte´ de me´decine et de pharmacie de Rabat, Maroc *Auteur correspondant. Adresse e-mail : [email protected] (A. Boufars) Introduction L’e´change en matie`re de stages hospitaliers internationaux permet aux e´tudiants en me´decine de renforcer leurs compe´tences cliniques. L’objectif de notre e´tude est d’e´valuer l’apport de ces stages de point de vue perception sur la formation. Population et me´thodes Il s’agit d’une e´tude transversale qui a concerne´ les e´tudiants a` partir de la troisie`me anne´e de formation des cinq faculte´s de me´decine marocaines. Cette e´tude a dure´ six mois du 21/09/2015 au 29/03/ 2016. Nous avons cherche´ a` e´valuer a` l’aide d’un questionnaire, e´labore´ a` cet effet, les donne´es concernant les dimensions sociode´mographiques et le contexte personnel notamment les opportunite´s de partir en stage. La troisie`me et la quatrie`me dimension ont concerne´ les motivations et la satisfaction des e´tudiants qui ont be´ne´ficie´ de ce stage. Le questionnaire a e´te´ envoye´ aux e´tudiants par courrier e´lectronique. Les donne´es ont e´te´ recueillies chez tous les e´tudiants ayant accepte´ de participer a` l’e´tude. L’analyse de l’ensemble des donne´es a e´te´ effectue´e par le logiciel SPSS 13,0. Re´sultats L’enqueˆte a concerne´ 252 e´tudiants ayant accepte´ de participer a` cette e´tude. L’aˆge moyen e´tait de 23,9  2,1 ans et le sexe ratio M/F e´tait de 0,5. Parmi les 252 e´tudiants interroge´s, 131 (52 %) n’ont pas pu effectuer le stage et 121 (48 %) ont de´ja` effectue´ un stage dans le passe´. La dure´e moyenne e´tait de quatre semaines. Les freins de participation aux stages e´taient principalement le manque d’information pour 69 (57 %), la contrainte financie`re pour 36 (30 %) et les difficulte´s administratives pour 31 (26 %). Les motivations les plus importantes pour ce stage e´taient l’ame´lioration des