495s
Posters
Diagnostic des gammapathies monoclonales Etude prospective & propos de 15 observations & Dakar PS Mbaye’,
D Haudrechy’,
B Ndoye3,
Objecr$s & l’hde ; Apprkcier la frkquence et l.&iologie possible des gammapathies monoclonales (GM) au sein d’une population d’hospitaIist?s. MuteVie et mkthodes : &de prospective sur IO mois : d’octobre 1995 i juillet 1996, toutes les GM sent recenskes h partir du laboratoire de biochimie. En plus de l’&lectrophor&se des proteines st%ques sent r&alis& : NFS, plaquenes, VS, protidkmie, crkatininemie, calckmie, dosage pond&al des IgG, IgA. IgM, CXactive protkine (CRP). immunofixation des Ig skriques, recherche de protkinurie de Bence-Jones, prot&nurie des 24 heures. s&ologies VIH et HTLV I, myklogramme : radiographie du thorax, du crgne, du bassin et du rachis lombaire, kchographie abdominale. En IO mois, 2 100 klec@ophor&ses des protiines ont & rkalisc%es. Rtkdtots : I5 cas de GM, cinq femmes et dix hommes. Age moyen : 52 ans (30 ?I76 ans), ~ Circonstances de dkcouverte : cliniques : 1 l fois (syndromes : osseux, rachidien, infectieux), biologiques = quatre fois (pit monoclonal). ~ I%iologies : 13 myt?iomes. un cancer de l’ovaire. une insuffisance r&ale chronique (IRC) terminale par glom&ulopathie.
Les gastrites A Klisnick’,
auto-immunes J Schmidt’,
K BouchoL?,
Nous rapportons quawe observation? de gastrites auwimmunes (GAI) microcytaires, toutes d&ouvertes chez des femmes dent l’sge moyen &ah de 43 ans. Nos observations remplissent les cri&res dkfinissant les GA1 de type A (RG Strickland. Di
F F F F Hb : hknoglobine mal, A : wgment&
49 40 29 S6
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mg/L mg/L mg/L rng/l*
; ACPG :-&corph zmti-ccllules : YVF : non t’:lit : - : n6szkf.
D D N N
’ Serwces Prh~fpa/,
gastriques
m@dicaux, *service de Lmcbimie BP 3006, Dakar, S&6gal
3 serwce
de MJ/og/e,
bdpifa/
: 5 propos de quatre observations H Rousset3,
Ph Thieblot4,
E Vidal’,
0 Aumaitre’
pochlorydrie lice & l’atrophie gastrique et impose une substitution par voie intramusculaire. Au tours de ces GA1 une carence en vitamine Bl2 reste possible (B Christian et al. Rev M& fnterne 1990; I5 (Suppl 1):s 160) et elle serait like i une pullulation microbienne favori&e par l’atrophie gastrique (JL Gukant et al. Gustro Entkroi Ch Biol 1983;7:225-7). ’ Sewice de mkdecfne inieme. ’ service d’endocrinologie, CHU, 63003 ClermonbFerrand ; z service de medecme inteme, hdpital Jean-Minjoz, 25030 BesanFon ; 3 setvice de mtidecine inteme, CHlJ, 42277 SaW PrIesben-Jarez ; 5 service de mgdecine Weme A, CHlJ Dupuyken, 87042 Limoges, France
D N N D pui&ales
F Kiotz’
- Neuf myklomes & IgG et quatre myklomes & IgA. - Une biclonalitk (IgG kappa et IgG lambda) associke i une cryoglobulinimie type I (1gG kappa). - Un <<~nzcw/&ring >>myklome k IgA. - Toutes les s&ologies VIH et HTLV I som nigatives. Conclusion : Le diagnostic des GM est domink dans notre etude par le myklome qui est reconnu plus frkquent dans la race noire (D Hurez. Rev Prur 1993;43:27 Id). L’IRC est probablement due & une amylose AL ou un syndrome de Randall. L’absence de gammapathie monoclonale de signification ind&erminee (GM%). d’amylohe primitive et de macroglobulinkmie de Waldenstrom (MW) est due & la petite taille de notre .&hantillon. En effet, I.&de des my&logrammes rkalises dans notre hepita pour une GM du I” janvier I993 au 30 septembre I995 a monm? 25 my&lomes. neuf GMSI, deux MW et un syndrome nephrotique massif suspect de nephropathie dysglobulinkmique. Dans une s&ie de la Mayo Clinic portant sur 856 GM. il y avait 63 % de GMSI, 14 % de myelome multiple. Y % d’amylose primitive et 2 ‘% de MW (RA Kyle. Muw C/i/G<, Proc l993;68:26-36).
microcytaires
JL Dupond’,
B Wade’,
A A A N ; AFI
+ + + + : anticorps
&ti-i’zteur
+ + + +
iKF NF NF
intrinkque
: D : dimink
N N N N : N : rmr-