TROP-WS-5 Imagerie des kystes hydatiques compliques

TROP-WS-5 Imagerie des kystes hydatiques compliques

TROP-WS-S TROP-WS-7 IMAGERIE DES KYSTES HYDATIQUES COMPLIQUES VALEUR DIAGNOSTIQUE DE L'ECHOGRAPHIE COMPAREE A LA SCINTIGRAPHIE AUX CLINIQUES UNIVER...

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TROP-WS-S

TROP-WS-7

IMAGERIE DES KYSTES HYDATIQUES COMPLIQUES

VALEUR DIAGNOSTIQUE DE L'ECHOGRAPHIE COMPAREE A LA SCINTIGRAPHIE AUX CLINIQUES UNIVERSITAIRES DE KINSHASA

R Braham Rejeb, J SouissL A Rehaiem, M Said Monastir - Tunisie Objectifs: Décrire et illustrer les différents aspects en imagerie des kystes hydatiques (KH) compliqués. Préciser l'apport de l'imagerie dans le diagnostic précoce pour une meilleure prise en charge thérapeutique. Matériels et méthodes: Etude rétrospective de 22 observations colligées sur une période de 5 ans, des kystes hydatiques compliqués du foie et poumon (localisations les plus fréquentes) chez 13 patients de sexe masculin et 9 de sexe féminin. L'âge varie de 9 ans à 65 ans. Tous les malades ont bénéficié d'un examen échographique et tomodensitométrique et d'une radiographie thoracique dans 13 cas. Résultats: Les KH volumineux, vieillis et les KH saillant à la surface du dôme et de la face postérieure du foie sont les plus susceptibles de complication. Les complications sont dominées par la rupture, la surinfection et la compression. Pour deux cas de KHF compliqués de rupture dans les voies biliaires avec un tableau clinique d'angiocholite, l'imagerie montrait un kyste hypotonique à paroi ondulée associant une dilatation des voies biliaires avec présence de débris hydatiques en intracanalaire et en intra vésiculaire. Une rupture d'un KHF dans le thorax au niveau du lobe inférieur droit et dans la plèvre (2 cas). Une rupture en intrapéritonéal dans 2 cas, une rupture dans la veine cave inférieur (1 cas). Les complications compressives à type de trouble de perfusion, syndrome de Budd Chiari, HTP (3 cas), 7 cas de KHP et une complication infectieuse dans 1 cas. Pour les kystes hydatiques pulmonaires (KHP), les complications sont: une fissuration dans les branches donnant l'image de pneumokyste (l cas), 7 cas de KHP vomiqué dans les branches. Selon l'importance du liquide vomiqué, plusieurs aspects radiologiques sont décrits. Une surinfection du KHP (pyopneumokyste : 1 cas) et un cas de KHP rompu dans la plèvre. Conclusion: Ces complications, parfois inaugurales, transforment la maladie hydatique en une maladie grave pouvant compromettre le pronostic vital, d'où l'intérêt de l'imagerie dans le diagnostic précoce pour une meilleure prise en charge thérapeutique. Mots clés: Sémiologie, complication - Sémiologie, parasitose

TROP-WP-6 IMAGERIE DE LA MALADIE HYDATIQUE M MahL SAkjouj, A El Kharras, M Benameur, SSemlalL SChaouir Rabat - Maroc Objectifs: Connaître les divers aspects en imagerie (radiologie conventionnelle, échographie, scanner et lRM) des différentes localisations des kystes hydatiques. Connaître les localisations rares de la maladie hydatique. Reconnaître certains aspects des kystes hydatiques qui posent de véritables problèmes de diagnostic. Discuter la place de la radiologie interventionnelle dans le traitement des kystes hydatiques. Points clés: L'échographie est souvent suffisante pour le diagnostic du kyste hydatique du foie. La TDM est réalisée en pré-opératoire pour guider le geste chirurgical. Dans sa forme thoracique, la TDM est l'examen de choix pour établir le diagnostic et le bilan pré-chirurgical. Le diagnostic de l'hydatidose rachidienne repose souvent sur l'IRM. Certaines formes de la maladie hydatique sont difficiles à classer selon la classification de Gharbi, laissant la porte ouverte devant une nouvelle classification. Le traitement actuel des kystes hydatiques type 1et II est radiologique. Mots clés: Sémiologie, parasitose - Sémiologie, kyste

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W Mpoyo-MukendL JM Kabeya-Kabenkama, S Ditu-Pandamadi, SE Holenn Obe, J Mukaya-Tshibola Kinshasa - République Démocratique Du Congo Objectifs: Rapporter notre expérience sur la scintigraphie thyroïdienne récemment réintroduite et évaluer la valeur de l'échographie sur le plan diagnostique dans nos conditions de travail et équipement aux cliniques universitaires de Kinshasa. Matériels et méthodes: Revue rétrospective des dossiers d'imagerie des patients explorés pour thyroïdopathie en 4 années. Les résultats de l'échographie sont comparés à ceux de la scintigraphie au radio-technitium 99mTc. Résultats: Cent soixante-quatre patients de 16 à 75 ans ont été explorés. Les diagnostics écho-scintigraphiques retenus sont notamment: 64 goîtres multinodulaires (gmn) non toxiques et 16 homogènes hyperfixants, 16 nodules isolés, 12 gmn toxiques, 12 thyroïdites et 4 kystes. Une discordance est relevée dans 8 cas. L'échographie a montré une sensibilité de 76,6 %, une spécificité de 72,7 %, des valeurs prédictives positive de 88,4 % et négative de 53,3 % avec une valeur globale du test de 75,6 %. Conclusion: L'échographie, comparée à la scintigraphie comme test de référence, s'est revelée une bonne méthode d'étude morphologique et diagnostique. Les nodules isolés sont une indication supplémentaire de montée en fréquence afin d'exclure une multinodularité. Mots clés: Ultrasons ~ Médecine nucléaire - Evaluation