Causes rares de dysphonie : revue de la littérature illustrée par des cas personnels

Causes rares de dysphonie : revue de la littérature illustrée par des cas personnels

6 substantiel, une facilité de mise en œuvre ainsi que l’étude chez des patients ne pouvant pas coopérer. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2014.01.0...

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6 substantiel, une facilité de mise en œuvre ainsi que l’étude chez des patients ne pouvant pas coopérer. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2014.01.014 CO-3

Préférence manuelle et latéralisation pour le langage : étude en IRMF d’un échantillon de 297 sujets dont 153 gauchers

Congrès SFNR 2014 Résultats.— L’âge moyen de nos patients était de 32 ans. Les différentes causes rencontrées étaient rares laryngées (un cas de lipome, un cas d’amylose) et extra-laryngées (un cas de sclérose latérale amyotrophique, un cas de glioblastome du tronc cérébral). Conclusion.— La dysphonie peut dévoiler certaines causes rares laryngées ou extra-laryngées dont le diagnostic est actuellement facilité par l’imagerie multicoupe.

B. Mazoyer , F. Crivello , M. Joliot , L. Petit , E. Mellet , G. Jobard , L. Zago , N. Tzourio-Mazoyer UMR5296 CNRS-CEA, CHU de Bordeaux, Bordeaux, France Objectifs.— Étudier les relations entre préférence manuelle et latéralisation hémisphérique pour la production langagière dans un échantillon équilibré pour les types de préférence manuelle. Matériels et méthodes.— Échantillon de 297 sujets témoins volontaires sains jeunes (25 ans), équilibré la préférence manuelle (153 gauchers). Préférence manuelle (PM) déclarée par le sujet et sa force (FPM) évaluée par le questionnaire d’Edimbourg. IRM fonctionnelle (3 T) réalisée en contrastant une tâche de production de phrases et une tâche de récitation d’une liste de mots connus. Calcul des index de latéralisation hémisphériques (ILH, Wilke et al., 2007) et modélisation de leur distribution par un modèle multiGaussiennes permettant de définir 3 catégories de latéralisation hémisphérique pour le langage (LHL). Test de concordance entre PM et LHL par la statistique du Kappa (), et de corrélation entre FPM et ILH par coefficient de Spearman (). Résultats.— Distribution des ILH de l’échantillon modélisée de fac ¸on optimale par 3 Gaussiennes : une à moyenne positive (+61) correspondant aux sujets typiques latéralisés à gauche (N = 248), une à moyenne voisine de 0 (0,1) correspondant aux sujets ambilatéraux (N = 35), et une à moyenne fortement négative (−63) correspondant à des sujets atypiques latéralisés à droite (N = 10), cette dernière catégorie ne comprenant que des sujets à forte préférence manuelle gauche.  de concordance entre PM et LHL faible (0,11) et peu significatif (p = 0,052), la concordance étant encore plus faible après exclusion des sujets atypiques ( = 0,063, p = 0,11). Aucune corrélation significative entre IHL et FPM ( = − 0,011, p = 0,84). Conclusions.— Latéralisation pour le langage et préférence manuelle sont associées au hasard, sauf pour moins de 1‰ des individus qui présentent une forte spécialisation hémisphérique droite pour ces deux phénotypes. Ces résultats remettent en cause les modèles classiques postulant l’existence de bases biologiques communes à ces deux latéralisations. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2014.01.015 CO-4

Causes rares de dysphonie : revue de la littérature illustrée par des cas personnels J. Omezzine b , A. Khalfalli b , N. Ben Hmida a , M. Dhifallah b , N. Driss a , H. Hamza b a Service d’ORL, CHU Taher Sfar Mahdia, Tunisie b Service d’imagerie médicale, CHU Taher Sfar Mahdia, Tunisie Objectifs.— Exposer des pathologies rares responsables de dysphonie et préciser le pôle de l’imagerie dans les diagnostics positif de ces différentes pathologies. Patients et méthodes.— Il s’agit de quatre patients (1 homme et 3 femmes) âgés entre 18 et 45 ans, présentant comme symptôme commun une dysphonie, isolée ou associée à d’autres signes à type de : dyspnée (50 %), dysphagie (50 %), troubles neurologiques (25 %). Ces patients ont bénéficié d’un examen ORL avec endoscopie suivi d’une exploration par TDM et/ou IRM cranio-cervicale.

http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2014.01.016 CO-5

A rare cause for seizures and mental retardation: Dyke Davidoff Masson Syndrome S. Jerbi Omezzine b,∗ , S. Bouabidi b , O. Jbara b , S. Younes a , H. Hamza b a Department of Internal Medicine, Tahar Sfar University Hospital Center, Mahdia, Tunisia b Department of Medical Imaging, Tahar Sfar University Hospital Center, Mahdia, Tunisia ∗ Corresponding author. Purpose.— We report the clinical and imaging features in a patient with epilepsy revealing a Dyke Davidoff Masson syndrome. Material and methods.— A 4-year-old boy presented with seizures, cognitive impairment and left -sided hemiparesis. On examination, he had hemiatrophy of the left side of the body with spastic hemiparesis and incomplete achievement of mental milestones. Magnetic resonance imaging (MRI) brain was performed. Results.— Brain MRI revealed atrophy of right cerebral hemisphere with ipsilateral fronto-parietal polymicrogyria, hypertrophy and hyperpneumatization of sinuses. Conclusion.— Dyke-Davidoff-Masson Syndrome, also called cerebral hemiatrophy, is a rare condition characterized clinically by seizures, facial asymmetry, contralateral hemiplegia or hemiparesis, and mental retardation. MRI is a valuable method of examination in the analysis of cerebral hemiatrophy as it has the ability to bring