accidents mortels de la route dans Ie Michigan impliquant de jeunes conducteurs: striss chronologiques des rapports de Police. Acciti. Anrl/. d Prrc. 2. 3 15-334.
des
analyse en
R&urn+-De iY61 i 196s. la Police de I‘Etat du >llchlgan c~applique lss techniques de survelllancr dss &pidimlss au\ rapports de police concernant Irs accidents mortels de la route. Ls but sssenr~el ttalt d’itabllr unr courbe ds base des taut moyrns rslatlfs aux drrniirss annkes. auxquels 155 rrsultats des rapports arrlvant psuvent etre cornpar& chaque semalne. ceci afin d‘amPliorer la sur\edlancr ds la police et de fournir des indlces pour le d&sloppement du programme ct I’evaluarion des objsctit;. Ls graphique des moyennss mobiles sur 3 semainss a Ptt: tracr pour uns pPrlode de trols ans i partir du nombre (ou taux) de conductsurs impllqu&s dans des accidents mortels. Apr?s Iwages de polntes ItSlIes que vacances ou week-ends). ii reste cependsnt des polntss tr>s nettes. Ainsi. pour des conducreurs dc tous iyes. un bel it;- St un bel automne augmentrnt Ie nombre dss accidents. cc qui indique qu’il y a eu une augmentation des kilomitres parcourus et peut Ptre de plus grands boyages. Lrs taux d‘tmplicatton dans des accidents mortels. en 1968 parall2lem?nt II 1967. indiquent qur ies jeunes conducteurs dangrreux-ig& de IS h 19 ans-jouent un rljls sssentiel; sur unr courbs s‘etertdant sur trois an&es (19641Y65-lY66) on a pu constatsr qu’un beau printemps tj\orisalt de facon frclppante. en marqurnt dcs poinres. les accidents mortels drs molns de vinpt ans en Awl. Mai. Juin. Ceci a Incttt: It: Mvchigan i prendre pour 1970 des contra-mesures d‘kducation et de police 5pt;clalrmcnt pour cr‘tti‘ suison.
H. 0.
LISPER. I. DUREM~N. S. ERICSSOY et N. G. KARLXON:
sommril et d’une conduite prolongee 2.335-341.
Des efTets de la privation de sur un temps de reaction auditif. Acrid. rlnc~i. B Pwr.
R&sum~~On a 2tudG sur once sujrts les etTet> sur It: tempb de r&tion dudltlf de dlfft!rents factrur, lnternes et externcs i trois heures de conduits automobile. Voici quclles ;Itaient les conditions de I‘expfiriencr: A --conduite en plein jour. B-conduito de nuit, C-conduits aprts une sans sommeil. On a pu remarquer une augmentation trt:s nette du tcmps de Gction tout au long de la conduite. mais on n‘a pas rcleve de ditI?rence entre Its trois conditions A. B, C. Une comparaison avec dcuv autreb exptiriences du mtme genre indlque que la monotonic de la conduits est manifestement une c:tuhe importante d’accidents dus j la fatigue. Ce ph>nomt:l 9 bien connu a i;t& soul& pour contester le schPma test-condulte-tebt dans Ies etudes sur la fatigue rt la conduite. Une comparsison entre ditt‘erenrt sujets montre que la vulnCrnbilit6 li la monotonic et la privation de sommeil interviennent toutes Ies deux dnns It‘s variations entre les sujets au tours dcs exp$rlenccs de privation de sommcll