11 h o 0
Durée : 7 minutes
ETUDE COMPARATIVE DE L'IRM DE PROSTATE PAR VOIE SUSPUBIENNE OU ENDORECTALE P PUECH,J-B FAIVRE,C BALLEREAU, X LEROY,A VILLERS, L LEMA~TRE LILLE- FRANCE Objectifs : Evaluer s'il existe une différence diagnostique pour détecter une lésion prostatique et son extension entre un examen d'IRM prostatique réalisé classiquement par voie endorectale et un examen réalisé avec une antenne de surface, mieux tolérée. Evaluer par ailleurs l'apport de l'injection du produit de contraste dans la détection des lésions tumorales intraprostatiques. Matériels et méthodes : Nous avons réalisé une étude prospective en double aveugle de 35 patients qui ont bénéficié à la fois d'une IRM prostatique par voie endorectale (IRM Philips Intera 1,ST ; séquence T2 TSE axiale) et lors du même examen, d'une acquisition par voie sus pubienne (antenne Syn-Cardic ; T2 TSE axial et T l EG sans et avec injection de produit de contraste dynamique toutes les 15s). Ces examens ont été réalisés avant les biopsies prostatiques (le même jour), qui ont servi de référence (10 à 14 par prostate). Chaque prostate a été artificiellement découpée en 14 zones homologues aux biopsies, et après avoir évalué subjectivement la qualité des séquences, les lecteurs ont marqué les zones suspectes et jugé d'un éventuel envahissement extracapsulaire. Résultats : Notre étude prouve que la séquence en T2 réalisée par voie suspubienne apporte les même informations que le T2 réalisé par voie endorectale et que sa qualité globale est identique. Elle prouve aussi que l'injection réalisée en complément du T2 améliore la détection des lésions protatiques. Conclusion : L'IRM de prostate utilisant une antenne de surface adaptée et l'injection de produit de contraste dynamique est de qualité sensiblement meilleure que I'IRM réalisée par voie endorectale en T2. Mots clés :Prostate, tumeur - IRM -Produits de contraste, tumeur
11 h 10
Durée : 7 minutes
IRM SPECTROSCOPIQUE DE LA PROSTATE EN ROUTINE CLINIQUE : EVALUATION QUALITATIVE OU SEMI-QUANTITATIVE DE LA REDUCTION DU PIC DE CITRATE D PORTALEZ, M HÉRIGAULT, M LHEZ,M ELMAN,M MALAVAUD, M PRADÈRE TOULOUSE - FRANCE Objectifs : Comparer entre elles différentes méthodes d'interprétation de la réduction du pic de citrate dans le diagnostic du cancer de la prostate. Matériels et méthodes : Trent-huit patients dont les précédentes biopsies n'ont pas révélé de cellules néoplasiques mais toujours supects de cancer d'après le taux de PSA ont été examinés en routine clinique par IRM spectroscopique (Philips intera 1,5T) avant une nouvelle série de biopsies. La diminution relative du pic de citrate a été recherchée visuellement par comparaison des spectres et a été utilisée pour cibler de nouvelles biopsies écho-guidées. Secondairement, calcul des rapports amplitudelréférence et airelréférence des spectres et comparaison des différentes méthodes. Résultats : La méthode qualitative visuelle effectuée au cours de l'examen et qui a servi à repérer une cible pour les biopsies en routine clinique a détecté une réduction de 50 % du pic de citrate. Les méthodes semi-quantitatives peuvent affiner l'évaluation de cette réduction et proposer un seuil de réduction significatif. Conclusion : La méthode visuelle peut être utilisée en routine clinique. Les méthodes semi-quantitatives sont plus objectives et constituent une aide au diagnostic appréciable. """ Mots clés : Prostate, tumeur maligne - IRM, tumeur maligne
11 h 2 0
Durée : 7 minutes
IRM ENDORECTALE AVEC INJECTION EN SEQUENCE PT1 DYNAMIQUE : EVALUATION DES PARAMETRES QUANTITATIFS POUR LA DETECTION DU CANCER DE LA PROSTATE DE LA ZONE PERIPHERIQUE B SAUER,E KAYO,S EL GHALI, V LINDNER,C TUCHMANN,C ROY - FRANCE STRASBOURG
Objectifs : Définir les caractéristiques hémodynamiques avec quantification pour la détection du cancer de la prostate. Matériels et méthodes : Soixante dix neuf patients suspects (PSA : 4 -10 nglml) explorés avant PBP en IRM-ER (1T) avec Seq(s) T2 et SeqTlTSE dynamique ( T m : 41217, 21~19Seqs, 5 mm, axial) 3,5 mümn - soustraction - ROI sur zone suspecte et normale avec enregistrement des paramètres : rehaussement max, rehaussement relatif max, durée valeur crête, wash-inIout. Corrélation avec les PBP echoguidées aidées de I'IRM (10-12 prélèvements). Résultats : Trente-huit cancers détectés avec en IRM 36 VP, 12 FP, 2 FN, 29 VN (Se : 95 %, Sp : 71 %, VPP : 75 %, VPN : 93 %, efficacité: 75 %). Parmi les VP, deux paramètres furent discriminatifs : durée valeur crête de 45s-150 s (m = 77,9 s) du côté tumoral contre 75s -173s (m = 139,ls) du côté normal et wash-in de 10Ys-95Vs (m = 33,5Ys) contre 3-20 Ys (m = 9,lVs) du côté normal. Il n'y avait pas de corrélation entre grade et vascularisation ni de prostatite dans les FP (75s-125s, m = 106s ; Sus-221/s, m = 15 Us). Conclusion : Un rehaussement intense et précoce quantifié par deux paramètres est utile pour mieux détecter la zone tumorale avant PBP. Mots clés : Prostate, tumeur maligne - IRM, tumeur maligne IRM, angiogenèse