Imagerie des lesions du tegmen tympani des rochers non operes

Imagerie des lesions du tegmen tympani des rochers non operes

15 ho5 Durée : 7 minutes IMAGERIE DES LESIONS DU TEGMEN TYMPAN1 DES ROCHERS NON OPERES F CYNA-GORSE, S CARRE, F PIGNEUR, J-M COLOMBANI, l MOSNIER, O...

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15 ho5

Durée : 7 minutes

IMAGERIE DES LESIONS DU TEGMEN TYMPAN1 DES ROCHERS NON OPERES F CYNA-GORSE, S CARRE, F PIGNEUR, J-M COLOMBANI, l MOSNIER, O STERKERS,V VILGRAIN CLICHY - FRANCE Objectifs : Déterminer la nature possible des lésions du tegmen tympani chez des patients non encore opérés, et l'attitude diagnostique et thérapeutique à adopter devant ce signe. Matériels et méthodes : Différents cas de brèches du tegmen sont exposés en scanner osseux haute résolution avec reconstructions ou coupes natives coronales et IRM avec coupes coronales injectées et séquences T2. Résultats : Le problème diagnostique est le plus souvent résolu en pré-opératoire par l'association scanner et IRM. Deux grandes gammes diagnostiques sont à séparer : les brèches résultant d'une pathologie inflammatoire ou tumorale de la caisse du tympan et celles résultant d'une anomalie congénitale traumatique ou acquise du tegmen lui-même. Dans tous les cas I'IRM permet également de diagnostiquer les éventuelles complications neurologiques que sont les méningites et les abcès intracérébraux. Conclusion : Le tegmen tympani sépare la caisse du tympan du contenu encéphalique. Il doit être analysé systématiquement en coupe coronales sur les scanners. Une IRM permet de compléter le bilan étiologique et de diagnostiquer d'éventuelles complications neurologiques. Mots clés : Oreille

15 h 15

15 h 2 5

Durée : 7 minutes

MENlNGlOMES DU ROCHER REVELES PAR UNE OTITE SEREUSE : A PROPOS DE 5 CAS EXPLORES EN TDM ET EN IRM M RODALLEC, F CYNA-GORSE, J-M COLOMBANI, V BARRAU, O STERKERS,V VILGRAIN CLICHY - FRANCE Objectifs :Décrire l'aspect TDM et IRM des méningiomes du rocher, une cause rare d'otite séreuse à ne pas méconnaître chez l'adulte. Matériels et méthodes :Cinq patients présentant un méningiome du rocher révélé par une otite séreuse ont été explorés par TDM et IRM. Les signes osseux en TDM, et le signal et l'extension au rocher ont été évalués pour chaque lésion. Résultats : L'étude osseuse en TDM doit être comparative et doit inclure un examen attentif de la trompe d'Eustache sur tout son trajet. L'examen TDM montre une ostéocondensation du rocher. L'IRM étudie l'extension des méningiomes à la trompe d'Eustache et met en évidence la composante ducale des méningiomes. Conclusion : Les méningiomes du rocher sont une cause rare d'otite séreuse qu'il faut savoir évoquer devant une ostéocondensation du rocher en TDM associée à une prise de contraste de la trompe d'Eustache en IRM. Toute otite séreuse récidivante chez l'adulte doit faire éliminer une pathologie tumorale de la trompe d'Eustache. Mots clés :Oreille

15 h35

Durée : 7 minutes

Durée : 7 minutes

HISTIOCYTOSE LANGERHANSIENNE A PREDOMINANCE LABYRINTHIQUE CHEZ L'ENFANT : A PROPOS DE 3 CAS S RIEHM, F VEILLON, A NEUVILLE, M ABUEID, D NAEVE, J-L STIERLE, A GENTINE, N PFLEGER, T MOSER, G ZOLLNER STRASBOURG - FRANCE Objectifs : Décrire en TDM et IRM 3 cas d'histiocytose du rocher de l'enfant avec atteinte prédominante du labyrinthe. Matériels et méthodes : Trois enfants (agées de 10 mois, 18 mois et 2 ans), 5 rochers (2 bilatéraux), étudiés en TDM (Siemens, spiralé) et IRM (Siemens), séquences T l sans, avec injection de Gadolinium, et Ciss. Confrontation anatomo-pathologique avec immunomarquage spécifique dans tous les cas. Résultats : Otite hyperplasique (n = 3) associée à une paralysie faciale (PF) unilatérale (n = 2). L'histiocytose est localisée au rocher dans tous les cas sans atteinte systémique avec lyse osseuse en TDM au niveau de la cavité tympanique et de l'écaille (515), du labyrinthe et de l'apex pétreux (415), du tegmen (315), du méat acoustique interne (1/5), de la mastoïde (115), de la face postérieure du rocher (115), du sac endolymphatique (115), du sphénoïde (Ils), de la fosse infratemporale (115). Dans les 2 PF on retrouve une extension au ganglion géniculé (GG) (n = 1) et au VI1 +GG (n = 1). Tous les osselets sont intacts. En IRM, un fort rehaussement du signal tissulaire tympanolabyrinthique en T l après injection de Gadolinium et un hyposignal en Ciss sont présents dans les 3 cas (5 rochers). Conclusion : Il est important de reconnaître cette forme rare d'atteinte histiocytaire du rocher de l'enfant devant une otite agressive avec fistule labyrinthique et paralysie faciale. "- Mots clés :Oreille

VALEUR COMPAREE DE LA TOMOSCINTIGRAPHIE D'EMISSION AVEC DETECTION EN COINCIDENCE (TEDC) AU 18-FDGLUCOSE DANS LE BILAN ET LE SUIVI DES CARCINOMES DE LA FACE ET DU COU P-Y MARCY, X FONTANA, O DASSONVILLE, J VALLICIONI, J DARCOURT, F BUSIÈRE, F DEMARD G POISSONNET, R-J BENSADOUN, NICE- FRANCE Objectifs : Démontrer la place de la TEDC au 18FDG dans l'extension et suivi des carcinomes ORL. Matériels et méthodes :Cent patients porteurs d'une néoplasie ORL primitive épidermoïde (89 %), d'âge moyen 58 ans ont bénéficié de la TEDC au 18-FDG dans le cadre d'une étude prospective comparant TEDC et autres méthodes d'imagerie traditionnelle (Echographie, TDM, IRM), la référence étant le suivi évolutif etlou la preuve histologique. Quatre pour cent étaient effectués pour le bilan d'extension, 74 % pour le suivi (masse résiduelle, récidive loco-régionale), 11 % pour la recherche de localisations secondaires ou de secondes localisations primitives, 11 % pour recherche d'une tumeur primitive. 185 à 370MBq de 18FDG ont été injectés (IV) chez un patient à jeûn strict depuis six heures, au repos le temps d'acquisition étant de 45mn. Résultats : Quatre vingt deux pour cent de patients étaient évaluables. Sensibilité Se = 86,3 %, Spécificité Spé = 56,l % versus Se = 68,7 %, Spé = 71,l % (autres techniques). Les 15 cas de VP (Vrais Positifs non décrits par les autres techniques) incluent 8 récidives locales, 4 récidives ganglionnaires, 3 localisations pulmonaires. Les 14 cas de FN (Faux Négatifs) incluent 3 foyers thoraciques, 5 foyers ORL nécrotiques et 6 cas artéfactuels. Conclusion : La spécificité est faible en raison des faux positifs nombreux. Eu égard de la haute sensibilité, la négativité de cet examen est de grande valeur pour la conduite à tenir ultérieure (abstention ou nouvelle orientation thérapeutique). Le pouvoir de résolution est de 7 mm. Mots clés : ORL, tumeur maligne - TEP

15 h 4 5 : Pause