Imaging feature in PRES syndrome: Report of 6 cases

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100 Congrès SFNR 2017 / Journal of Neuroradiology 44 (2017) 88–122 EC-032 Aspect IRM du chondrosarcome de la base du crâne : à propos d’une observa...

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Congrès SFNR 2017 / Journal of Neuroradiology 44 (2017) 88–122

EC-032

Aspect IRM du chondrosarcome de la base du crâne : à propos d’une observation

Haifa Remili ∗ , Mabrouka Boukoucha , Alifa Daghfous , Raoudha Ben Khelifa , Mariem Maarouf , Lamia Rezgui Marhoul Service de radiologie, centre de traumatologie et des grands brûlés, 2013 Ben Arous, Tunisie ∗ Auteur correspondant. Adresse e-mail : [email protected] (H. Remili)

Déclaration de liens d’intérêts de liens d’intérêts.

Les auteurs déclarent ne pas avoir

http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2017.01.065 EC-034

Apport de l’imagerie dans les brèches ostéoméningées

Nadia Saddoud ∗ , Imen Jebali , Beya Gmiha , Imen Bouktif , Haifa Remili , Mohamed Habib Daghfous Service d’imagerie médicale, hôpital Habib Thameur, Tunis, Tunisie ∗ Auteur correspondant. Adresse e-mail : nadia [email protected] (N. Saddoud)

Introduction Les chondrosarcomes de la base du crâne naissent des reliquats embryonnaires du cartilage primitif. Ils se localisent volontiers au niveau de la synchondrose sphéno-occipitale. Observation Patient de 27 ans, souffrant de céphalées chroniques, est hospitalisé pour syndrome d’HTIC. Son IRM cérébrale avait montré un volumineux processus expansif extra axial centré sur la petite aile sphénoïdale gauche. Celui-ci est en iso-signal T1 et en hyper-signal hétérogène T2. Le rehaussement est périphérique et hétérogène. Discussion L’aspect IRM du chondrosarcome est peu spécifique et pose un problème de diagnostic différentiel avec le chordome. On retient que ce dernier est volontiers médian alors que le chondrosarcome est de siège plus latéral. L’IRM reste cependant capitale pour l’évaluation de l’extension de la tumeur et l’appréciation de ses rapports. Conclusion Les chondrosarcomes de la base du crâne ne sont pas fréquents, seulement 202 cas ont été rapportés dans la littérature. L’IRM permet d’orienter le diagnostic mais surtout d’étudier l’extension et les rapports de la tumeur. Déclaration de liens d’intérêts Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.

Introduction La brèche ostéoméningée (BOM) est une solution de continuité ostéoméningée qui permet au liquide cérébrospinal de s’écouler dans une cavité aérique de la base du crâne. Sa gravité est liée au risque d’infection du système nerveux central. Matériels et méthodes Étude rétrospective sur deux ans à propos de 10 patients adressés pour liquorrhée claire. Tous les patients ont eu une TDM cérébrale et du massif facial sans injection de produit de contraste et deux patients ont eu une IRM cérébrale et du massif facial. Résultats Les patients avaient entre 26 et 91 ans. Ils étaient tous de sexe féminin. La TDM a montré une discontinuité de la lame criblée chez 3 patientes, l’IRM a montré une interruption locale de l’hyposignal physiologique T2 de la lame criblée gauche remplacé par le liquide cérébrospinal chez une patiente. Conclusion L’exploration des (BOM) repose en premier lieu sur la TDM en coupe fine avec reconstructions multiplanaires et en seconde intention sur l’IRM du massif faciale. Déclaration de liens d’intérêts Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.

http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2017.01.064

http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2017.01.066

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Rupture post-traumatique d’un kyste dermoïde intracrânien : à propos d’une observation

Imaging feature in PRES syndrome: Report of 6 cases

Haifa Remili ∗ , Mabrouka Boukoucha , Alifa Daghfous , Raoudha Ben Khelifa , Mariem Maarouf , Lamia Rezgui Marhoul Service de radiologie, centre de traumatologie et des grands brulés, 2013 Ben Arous, Tunisie ∗ Auteur correspondant. Adresse e-mail : [email protected] (H. Remili) Introduction Les kystes dermoïdes intracrâniens sont des tumeurs extra-axiales bénignes rares. Ils sont le plus souvent asymptomatiques mais peuvent se révéler par un effet de masse ou une rupture comme c’est le cas dans notre observation. Matériel et méthodes Il s’agit d’une patiente de 16 ans, victime d’un traumatisme crânien sans PCI, qui nous a été adressés pour complément d’exploration d’un processus extra axial temporal gauche à contenu graisseux, retrouvé sur un scanner cérébral posttraumatique fait en ville. Résultat Une IRM cérébrale avec injection de gadolinium a été faite montrant un processus extra-axial temporal gauche présentant une composante graisseuse en hyper-signal T1 et T2 ainsi qu’une composante kystique et des calcifications. On n’a pas objectivé de prise de contraste après injection de gadolinium. On a tout de suite évoqué le kyste dermoïde rompu. La rupture a été signée par la constatation de gouttelettes lipidiques millimétriques à distance de la tumeur et par l’œdème cérébral péri-lésionnel. La patiente a été opérée et le diagnostic a été confirmé par l’anatomopathologie. Conclusion La rupture d’un kyste dermoïde intracrânien est une affection extrêmement rare. Son diagnostic est basé essentiellement sur l’IRM qui nous offre des images typiques à connaître.

H. El Mhabrech 1,∗ , S. Karma 1 , F. Jbeli 2 , M. Dakkem 1 , A. Kraiem 1 , C. Hafsa 1 1 Department of Radiology B, Maternal and Fetal Unit, Fattouma Bourguiba Hospital-Monastir, Monastir, Tunisie 2 Medical Intensive Care Unit, Maternal and Fetal Unit, Fattouma Bourguiba Hospital Monastir, University of Monastir, Monastir, Tunisie ∗ Corresponding author. E-mail address: [email protected] (H. El Mhabrech) Objectives Posterior reversible encephalopathy syndrome (PRES) is a rare syndrome. The pathophysiology is poorly understood. Computed tomography (CT) and magnetic resonance imaging (MRI) findings are characteristic of the diagnosis and diffusion weighted image has been also suggested having a prognostic value. We report this unusual neurologic complication of peripartumin except any pre-existent pathology of the pregnancy. Materiel and methods CT, MR findings and relevant clinical data of the patients were retrospectively reviewed on 5 cases between 2011 and 2012 in our radiologic department. Results Eclampsia was responsible in all cases. CT finding were bilaterally symmetric low density in the posterior parietal and occipital lobes consistent with vasogenic edema on FLAIR and diffusion MR images (Fig. 1 et 2). Conclusion Since PRES is often unsuspected by clinicians, radiologists may be the first to suggest the diagnosis. As this diagnosis has important therapeutic and prognostic implications, radiologists should be aware of the spectrum of imaging findings in PRES. It consists on an increasingly recognized neurologic disorder with characteristic CT and MR findings.

Congrès SFNR 2017 / Journal of Neuroradiology 44 (2017) 88–122

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(Fig. 2). Dans les deux cas, le bilan phosphocalcique et le dosage de la PTH avait confirmé l’hypoparathyroidie primaire en associant hypocalcémie, hyperphosphorémie et diminution du taux sérique de la parathormone. Discussion Le syndrome de Fahr est affection peu rapportée dans la littérature. Elle est secondaire le plus souvent à des perturbations du métabolisme phosphocalcique. Elle est à distinguer de la maladie de Fahr qui correspond à des dépôts calciques intracérébraux d’origine idiopathique pouvant être héréditaire ou sporadique. Conclusion L’imagerie et principalement la TDM occupe une place primordiale dans la démarche diagnostique du syndrome de Fahr grâce à des signes scannographiques fortement évocateurs.

Fig. 1 Axial brain MR imaging: T2-weighted (a), FLAIR (b) and diffusion-weighted (c) images, single-voxel intermediate-echo (d) FLAIR image after 10 days (e) shows bilateral abnormal T2 high-signal-intensity (arrow), in the parieto-occipital area with restricted diffusion and normal spectrum.

Fig. 1 TDM cérébrale SPC en coupe axiale montrant calcifications bilatérales et symétriques des noyaux caudés. Fig. 2 Axial brain MR imaging: T2-weighted (a), FLAIR (b) and diffusion-weighted (c) images, shows bilateral abnormal T2 high signal intensity (arrow), in the parieto-occipital area with restricted diffusion. Disclosure of interest peting interest.

The authors declare that they have no com-

http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2017.01.067 EC-036

Syndrome de Fahr secondaire à une hypoparathyroidie : à propos de deux cas

Nadia Saddoud ∗ , Haifa Remili , Imen Jebali , Sonia Moueddeb , Beya Gmiha , Imen Bouktif , Mohamed Habib Daghfous Service d’imagerie médicale, hôpital Habib Thameur de Tunis, 1008 Monfleury, Tunisie ∗ Auteur correspondant. Adresse e-mail : nadia [email protected] (N. Saddoud) Introduction Le syndrome de Fahr est une entité radio-clinique rare, caractérisée par des calcifications intracérébrales bilatérales et symétriques principalement des noyaux gris centraux et des noyaux dentelés. Matériel et méthode Le premier patient, âgé de 50 ans, avait présenté des crises convulsives tonico-cloniques. La TDM cérébrale faite sans injection de PDC avait montré des calcifications bilatérales et symétriques des noyaux gris et des centres semi oval (Fig. 1). La deuxième observation concernait une patiente de 64 ans, non connue épileptique, ayant consulté pour une crise convulsive généralisée avec des troubles de l’élocution. Son scanner cérébral avait montré des calcifications bipallidales et des noyaux dentelés

Fig. 2 TDM cérébrale SPC en coupe axiale montrant calcifications bilatérales des noyaux dentelés. Déclaration de liens d’intérêts de liens d’intérêts.

Les auteurs déclarent ne pas avoir

http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2017.01.068