Adapter le volume d'acquisition en fonction de l'indication de l'examen. Résumé : Les progrès technologiques en scanner impose une maîtrise de la dosimétrie et ce d'autant plus que le report de la dose reçue par le patient sur le compte-rendu est devenu une obligation légale. Le coroscanner nécessite une excellente qualité d'image qui repose sur une grande résolution spatiale, une haute résolution temporelle et un temps d'acquisition court. Ces contraintes techniques font augmenter la dose d'irradiation. Cependant, il est possible de modifier certains paramètres pour la diminuer, en adaptant au mieux le protocole d'examen selon son indication, le rythme cardiaque et la morphologie du patient et en utilisant la modulation de dose. Mots clés: Cœur, effet des radiations
17 h 00
Durée: 20 minutes
IMAGERIE THORACIQUE: COMMENT J'OPTIMISE MES PROTOCOLES
Modérateurs: Laurent-Didier Levy, Antoine Maubon
L'imagerie de diffusion en IRM est en application dans l'imagerie de la femme depuis peu de temps. Son apport apparaît prometteur dans les pathologies de la femme, en particulier pour la pathologie carcinologique (site initial et extension ganglionnaire) ainsi que pour une amélioration de la caractérisation tissulaire. Cette séance fera le point sur les applications aujourd'hui reconnues ou en évaluation des séquences de diffusion en imagerie de la femme.
16 h 00
Durée: 20 minutes
IRM DE DIFFUSION, DE LA THEORIE A LA PRATIQUE
C Beigelman-Aubry, AL Brun Paris - France Correspondance:
[email protected]
Objectifs: Savoir optimiser la technique d'examen selon l'indication. Choisir les paramètres selon les antériorités d'examen pour l'acquisition principale et les éventuelles acquisitions complémentaires. Maîtriser les contraintes liées aux limitations de dose et la gestion des post-traitements. Messages à retenir: L'excellent contraste naturel du poumon permet de réduire significativement les doses. En cas d'injection de contraste iodé, une réduction du kilovoltage doit être privilégiée en raison de l'amélioration concomitante du rapport contraste sur bruit. Une baisse de dose doit être effectuée en cas de contrôle quelles que soient l'indication et les structures concernées. Résumé : Les indications larges de la tomodensitométrie combinées au développement des technologies multicoupes sont une source non négligeable d'irradiation médicale. Le niveau de référence diagnostique peut être optimisé de façon significative en imagerie thoracique. Une baisse de dose maîtrisée doit être effectuée en privilégiant la diminution des mAs en cas de pathologie parenchymateuse pulmonaire. Une baisse des kV doit être préférée en cas d'injection de produit de contraste iodé en raison de l'amélioration concomitante du rapport contraste sur bruit. Une baisse de dose doit être effectuée en cas de contrôle quelles que soient l'indication et les structures concernées. Les contraintes liées aux baisses de dose requièrent une gestion adaptée des post-traitements. Mots clés : Thorax, effet des radiations
17 h 20
Connaître les indications reconnues et en évaluation de la diffusion dans les pathologies du pelvis féminin. Replacer les nouvelles techniques d'imagerie dans une perspective oncologique.
Durée: 10 minutes
DISCUSSION GENERALE: SCANNER: COMMENT OPTIMISER LA DOSE EN PRATIQUE QUOTIDIENNE?
C Oppenheim, A Gonçalves, C Mellerio, M Petkova, C Rodriguez, C Rodriguez, JF Méder Paris - France Correspondance: c,
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Objectifs: Connaître les principes de l'imagerie de diffusion et les principaux paramètres d'acquisition (nombre de directions, valeurs de b). Comprendre les paramètres nécessaires à l'interprétation des images de diffusion (trace, ADC, bD... ). Connaître les artéfacts propres à l'imagerie échoplanaire, savoir les corriger ou remplacer l'échoplanar par d'autres séquences. Messages à retenir: L'imagerie de diffusion est une séquence clé de l'IRM de l'encéphale. L'optimisation des images de diffusion nécessite de connaître les paramètres de l'image et les artefacts propres à l'échoplanar. Il est possible de faire de la diffusion sans échoplanar pour éviter les artéfacts de susceptibilité magnétique. Résumé: Grâce à l'imagerie échoplanaire, en quelques secondes de temps d'acquisition, la diffusion permet une mesure du mouvement microscopique des molécules d'eau. Nous rappellerons les principes de l'imagerie de diffusion, les paramètres qu'il convient de connaître pour interpréter les images, et ce qu'est un coefficient de diffusion. Les situations dans lesquelles le calcul du coefficient de diffusion est important pour l'interprétation des anomalies de signal seront rappelées. Seront également abordés les artefacts les plus fréquents et les techniques permettant d'optimiser la qualité d'image. Mots clés: Imagerie de diffusion, technique d'exploration
16 h 20
Durée: 20 minutes
IRM DE DIFFUSION ET CANCER DU SEIN: RESULTATS PRELIMINAIRES C De Bazelaire, C Farges, M Albiter. M Chapellier-Canaud, A Pluvinage, A Saksouk, AM Zagdanski, P Bourrier, J Frija, EDe Kerviler Paris - France Correspondance: cedric,
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IRM de diffusion du sein et du pelvis Séance organiséepar legroupe de travail SFR-Imagerie de lafemme, la SOFMIS et la SIGU Responsables: Laurent-Didier Levy, Antoine Maubon
Objectifs pédagogiques Rappeler les principes physiques de l'imagerie de diffusion. Connaître les indications reconnues et en évaluation de la diffusion dans les pathologies du sein.
Objectifs: Connaître les indications de la diffusion en IRM mammaire. Savoir identifier les aspects suspects et les pièges. Savoir quand et comment utiliser l'ADe. Messages à retenir : La mesure de l'ADC sert à caractériser les lésions en hypersignal T2. La fusion d'image est utile pour localiser les lésions sur les cartes ADe. L'hyposignal en diffusion et l'hypersignal en ADC sont rassurants. Un hypersignal en diffusion et un hyposignal en ADC sont en faveur d'une hypercellularité suspecte. Résumé: La diffusion sert à caractériser des anomalies équivoques après analyse morphologique et dynamique. Les lésions suspectes sont en hypersignal en diffusion et en hyposignal en ADC témoignant d'une diffusion restreinte et d'une hypercellularité. Les lésions béni-
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