Les syndromes de Prader Willi et d'Angelman

Les syndromes de Prader Willi et d'Angelman

CornpIe rcndu dc rC &n gique, la gyration cat norntak, n&mc si parfois un peu simplifite. La cynarchitccronic es1 habituekmenr peu modifkk zt la &popr...

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CornpIe rcndu dc rC &n gique, la gyration cat norntak, n&mc si parfois un peu simplifite. La cynarchitccronic es1 habituekmenr peu modifkk zt la &popr!tisalian ncuronalc prCdomine aur ‘es couches cellu&es 11:sPIUS aupcrfkltes. Pluaieurs cniitCs pcuverlt i?tre individualjsks, la plupart r@ndMi 1 un m&u~iww: hlrdditaire: Its wmicmcGphalic5 veraw et lea *micmcervc..u;r n (transmission wosomiquc r&essivc), les microeCphalws htrdditaires avcc au&es modes de hansmhsion, tcs micrwCphaties sporadiqua et les microedphatics tCratog&niquca. Les auteurs, Jans dcs buts de diagnostic, de yrtmostic cr de conscil gCs&iquc insistent sur I’importance de3 mforma&s apporttcs par t’infcrrogaloirc (crtqu& anamncstiquc et familiale). t’examen ctiniquc de t’cnfam et dc YS parents cl In donnt%s radiologiquca, permertanr I’individualisation des diffCrentcs MD au win dcs aurns microc&pltalics ant&&ales. En I’abscnce de crhiosynostose, la microcrhic r&mat& esl tc r&r de la microctphalie. La pr&nt&n clinique se rCsume dans la majorit des c% il un retard mental r&v&t non strictemcnt corrClt au degrt de la mierwr&nic, t’dpilcpaie cl Ica signcs neurologiques &ant rares. t’associz&m sur k plan cliniquc d’tventuelks anomalies ertr~&%raks, sn parattElc aver la meaurc du p&imkre crCnicn dcs parents. permet d’orientcr te diagnostic &iologique des fwtcs httiitairw L’imagcrk r6v2le It respect de la morphoI:@ cCr&ratc norrnale (abscncc de malformarion et de destruction c&&ales). Le diagnotic prtnatal est possible (khographic, IRM). L’cxistencc d’une double h&trogfntit& gMtique et cliniquc QossibititC d’un dE eloppcment inrettectucl nmnol). rend lo conscil &Ctique difficilc.

Les syndroms de Prader Willi et d’Angehnan A Moncla Centre de g&ttique mtdicale (service du Pr Girmd), de In Timone-Enfms, Mnrscitle

Mpitol

L’apparirion des tcchniqucs de haule rCsolution chromosomique dans tcs ann&s 80 a pcrmis de mcttre en tvidcncc dcs

60’;

microrcmaniements chramosomiqucs jusqu’atws ind&etabtcs. Uric de% prcmikrca microdMions rapport& fut !a dMon de la region l5ql I-q I2 dans te syndrome dc Prdder WM. Quelqucs ant&s plus lard, cctlc m&me dklttion fur ticrite dans le syndrome d’hgelman powant clinirtucment rrts diffiknt. Cette tocatisatian commune d hfn suwit& un grand indr& Ces deux syndromes !3;1t ‘c* premitrs mod8tes d&ritF cl piumi teq plus dCmonwaGs cnc?~:* 41 ??te dc ;‘eSpkPk yCnomique humaine. ti diagnostic de ces syndromes repose sur des ~rifks ctiniclues bicn &finis. La sznd~e de diagnostic dPi anomalies motCculaircs dc la r$@n l5qt lq12 comprend l’asaociation dcc fechniqucs dc ti~logie moltkulairt (microsarcltitcs, PCR. ttudc de ia m&hykti~.r) cl de cytogtnctjquc moleculaire. Dans Ic syndrome de Pradcr Wilti, une #l&ion dc la rkgion t5q t t-q I Z de 3 mCgabascs CSI trouvtc dans 70% dcs cas. Cetre dClCtion esl d’originc patcrnetk. rfe rlovu dam la majoritC des cas; une htttrodisomie malcmcttc est trouvtc dana approximativement 30% des cas. Dans te syndrome &Angelman, une dCltrion dent la ta& est comparabk 3 celk du syndrome de Prader Wilti esc trouvtc dans 717%dcs caq. L’origirte est dans tous les
Dbpistage desendowinopathia Le bilan du d4pistcgen6onatal de I’hypothyro’idie coq#uMe 1978-1993 JPFflrrinux’, MLFtrinrd” tkrvice de pkdihe, gostrwtUrologic et gknitique m6dicak, h&pita1 Huriez, Lille; 2sewice de ghktiqur midicale, hiipiital des E&n~Malades, Paris Au 31 dbcembrc I?WJ, I I 875482 nouveau-n&s onl CtC testis et 2966 HC rcp&s (dant 55 dans tcs ‘3C3?&TOM), soit uric incidence dc l/393 en mttropole et de l/8 176 dans les WM. Ils ant Cl& trait&3 rapidcment (cntrc IO et 21 joun de vi?) et onl uric Cvnlution consid&c comme normale. Le rk~lrat cst done gl+ batcmcnt ineonteslsbk. L’aventure n’a cepcndant pus &t simple puisqu’it il a fattu, at& urn Lu& prtliminaire montrimt la tiabilitc dc cc dtpistagc et definissan~ I’organigmmme rrt6Gwtol~ #iqUC,

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cadre d’un partcnarirt avec I’Association fran$aisc pcur Ie dipistagc et In p&cntion dcs handicaps dc I’cnfant. Au fit dcs an&s, le programme s’est affinb: tc maqucur TSH a elk ccconnu plus pcrfonnant que la T4; Ic protoeolc ttt6rapeulique a

td prc!cisk avec la facititt d’unc fonnc g&niqw xgauNe3~ bim adapth au jeune enfan~; Its dosages ont CtC amCliorCs; un co&It de qualit national a Ctd mi!. en place; un r?gistre de faux rkgatifs a 196 initialis permdtsmt, en anatysant ks causes de ces cIx%lrs. de mclirc en place da prdUR~ plus cfkacw dcpuis la rtaiisarior, du prClkcmcrw ~tcrhr~quc, identification, envoi) jusqu’au rcndu du rhulta~. On pounait pcnscr que cc bilan zutorisc 4 nous dkccnw un uquitusn et que t’hypothyrofdiz onghitatc est ICfinilivemcnt ~vaincuc~. Nwa ,?c pensons pas que ceile autoslj*fachn soit encore de mise car de nom brcuses interrogations so111ws tiponsc: I) 10% dcs cpfanfs d&pi&s t8t ant dcs r&sultats u itlsuffisan&* ; s’agit-ii des skquetles de l&ions p&inacalcs ou d’un traitemcn? &natal insuffsanl ou trap tatdif? 2) CCKC pathologic Ed le plus souvcnt malformalive; mais flous n’avons aucuw piW *~tiolcgiqucn: environnemcnt, gene dc susc@bitilC? 3) Lc pourcantage de faux nCg3tik n’csl pas tigiigcabte (InSUrroO) et si t’on peut admettrc qu’il y a des formes ucomtwkh i&pistablw au 4ejour de vie. ii est vrai aussi qu’il y a des errcurs humaines ctlou techniques qu’il faut &tuirc encore par une meitlcurc gc+ h-w de ce dtpistage. 4) Le protocoie de suivi est strict et lourd