10 h 5 0
Durée : 7 minutes
BIOPSIES STEREOTAXIQUES EN DECUBITUS LATERAL SUR NOUVELLE TABLE DEDIEE POUR SENOGRAPHE DS (GE MEDICAL SYSTEMS) B PERRET (1), P GIGNIER (1), J VIALA(l), C HOVASSE (l), Y VINCENT (l), P TUBIANA (l), R VERLY (l), E BAVIERA (2). A BALATON (2), D HOVASSE (1) (1) ANTONY - FRANCE, (2) BIÈVRES - FRANCE Objectifs : Rapporter nos résultats de biopsies stéréotaxiques réalisées en décubitus latéral sur table dédiée. Matériels et méthodes : Quatre vingt deux patientes incluses pour lésions classées ACR 4 ou 5. Toutes sont vues en consultation préalable avec contrôle de l'hémostase. Les biopsies sont réalisées en décubitus latéral sous anesthésie locale, sein comprimé, soit à l'aiguille VacoraTM10 G, soit à l'aiguille Magnumg 14 G avec radiographie des prélèvements pour les microcalcifications. Toutes les patientes sont revues entre 58 et J15 pour contrôle du site des prélèvements et résultats histologiques. Résultats : Quatre patientes récusées pour un petit sein, une lésion trop superficielle et dans 2 cas, des microcalcifications non repérables sous compression stéréotaxique. Quatre vingt-trois biopsies chez 78 patientes pour 52 foyers de microcalcifications et 31 opacités. Utilisation du VacoraTMdans 71 cas et du Magnuma dans 12 cas. Douze prélèvements radiaires par lésion en moyenne (Minimum : 5 ; Maximum : 22). La durée totale de l'examen est de 40 minutes. Huit saignements immédiats avec constitution d'un hématome dans 5 cas à 58. Un arrêt pour malaise vagal. L'histologie retrouvait 28 carcinomes et 55 lésions bénignes. Conclusion : Technique simple, fiable, confortable rendant accessible des lésions immédiatement pré-pectorales et du prolongement illaire sans risque de brèche pleurale. Mots clés : Biopsie - Stéréotaxie
11 h 10
Durée : 7 minutes
RADIOFREQUENCE MAMMAIRE : ETUDE DE FAlSABlLlTE CHEZ DES PATIENTES NON OPEREES C HENRIQUÈS, J PALUSSIÈRE, F VALENTIN, M ASSAD, M KIND,M DEBLED, L MAURIAC BORDEAUX - FRANCE
Objectifs : Suivre l'évolution de tumeurs mammaires malignes traitées par hormonothérapie néo-adjuvante puis par radiofréquence (RF) sans exérèse chirurgicale. Matériels et méthodes : Cinq patientes âgées de plus de 65 ans présentant une tumeur mammaire sont traitées pendant 6 mois par hormonothérapie. Le reliquat tumoral macroscopique a été traité par RF sous anesthésie locale et sous sédation, en cas de contre-indication à l'anesthésie générale ou de refus de la chirurgie. Le suivi est clinique et par imagerie (échographie, mammographie, IRM avec injection de Gadolinium) avant la RF puis à 2, 4 et 6 mois. Résultats :Les interventions ont été parfaitement supportées. Aucun cas de brûlure cutanée n'a été constaté. Des ecchymoses cutanées dans la zone traitée ont souvent été notées (3/5), ainsi qu'une augmentation nette du volume tumoral (515). A 2 mois l'augmentation du volume tumoral persiste. Sur les examens d'imagerie le nodule traité reste visible, entouré à distance d'un liseré fin correspondant à la limite du chauffage. Sur I'IRM le nodule ne se rehausse plus, signe de l'efficacité du traitement. Conclusion : Le traitement par RF des tumeurs mammaires est bien supporté et efficace sur les contrôles précoces. Mots clés : Radiofréquence, tumeur maligne - Echographie
11 h 2 0
Durée : 7 minutes
LES TUMEURS PAPILLAIRES BENIGNES DU SEIN : QUELLE PRISE EN CHARGE APRES DIAGNOSTIC PERCUTANE R PLANTADE, JC HAMMOU,F GÉRARD NICE- FRANCE
11 ho0
Durée : 7 minutes
LES MACROBIOPSIES VACORA 10 GAUGE SOUS ECHOGRAPHIE : EXPERIENCE PRELlMlNAlRE APRES 14 MOIS R PLANTADE, JC HAMMOU, F GÉRARD NICE- FRANCE Objectifs : Présenter cette nouvelle technique de biopsie par aspiration sous échographie, et déterminer sa place dans la prise en charge des anomalies échographiques. Matériels et méthodes : Ces biopsies ont été réalisées lorsqu'un large échantillonage histologique paraissait nécessaire, essentiellement pour des nodules ou placards suspects (ACR4). Le contrôle a été pratiqué sur un échographe Toshiba Apliog. Résultats :En 14 mois (octobre 2003-janvier 2004), 55 lésions ont été biopsiées chez 45 patientes correspondant à 1 CCIS, 2 papillomes, 1 phyllode grade 1 et 41 lésions bénignes. En moyenne, l'âge des patientes était de 49,4 ans (23-80), la taille de la lésion : 10,8 mm (3-25) et le nombre de prélèvements : 7 (2-19). Les prélèvements sont de très bonne qualité, non fragmentés. La faisabilité apparaît excellente, mais le contrôle per-procédure est géné par l'interposition rapide d'air. Le risque infectieux est majoré par l'ablation de la sonde à chaque prélèvement. Nous n'avons pas rencontré d'échec ni de complication. Les performances diagnostiques, la tolérance et la morbidité sont comparées à celles des microbiopsies 14-gauge et des macrobiopsies HH 1l-gauge. Conclusion :Cette technique séduisante et aisée semble trouver sa place entre les microbiopsies et les macrobiopsies au Mammotomea HH. Elle permet d'obtenir avec certitude un diagnostic histologique performant. Mots clés : Biopsie - Echographie
Objectifs : Evaluer l'apport des biopsies mammaires percutanées dans le diagnostic et la prise en charge des lésions papillaires bénignes, et déterminer si la recoupe chirurgicale doit être systématique. Matériels et méthodes : Etude rétrospective sur 40 mois (Sept 01Déc 04) de 1951 biopsies mammaires : 818 microbiopsies sous échographie, 270 macrobiopsies sous échographie et 921 macrobiopsies sous stéréotaxie. Soixante douze tumeurs papillaires bénignes ont été diagnostiquées, puis 33 lésions ont été opérées. La recoupe chirurgicale a été sélective en cas de papillome unique, sans atypie, avec disparition complète de l'image radiologique et recommandée dans tous les autres cas. Les résultats de cette recoupe (n : 33) ou de la surveillance (n : 39) sont présentés. Résultats : La recoupe chirurgicale a montré une sous-estimation de 6/33 (18,2 %) : 4/17 avec les micro-et 2/16 avec les macrobiopsies correspondant à 5 CCIS et 1 microinvasif. Ce risque semble majoré avec les microbiopsies, chez les femmes < 50 ans ou quand la lésion radiologique mesure plus de 1 cm. Sur les 39 lésions qui n'ont pas été opérées, 28 ont été contrôlées à 7-39 mois (moy : 16 mois). Aucun carcinome n'a été découvert pendant cette surveillance. Conclusion : Les biopsies percutanées sont une technique diagnostique performante, permettant d'optimiser la prise en charge des tumeurs papillaires bénignes. Les macrobiopsies représentent une alternative thérapeutique séduisante à la chirurgie pour les petits papillomes solitaires. Mots clés : Biopsie, tumeur bénigne