Constanta – Roumanie, 22-28 Mai 2005
L’importance diagnostique de la détection des anticorps aux divers antigènes du virus des hépatites C dans HCV aiguë et chronique EREMEEV HORNET V, FULGA V, PELIN E Centre de la biochimie appliquée. Université d’État de Médecine et Pharmacie « N.Testemitanu », Chisinau, République de Moldavie. Â
Le but de travail : La détermination des titres des anticorps aux divers antigènes de l’hépatite C en infection virale C aiguë et chronique. Matériaux et méthodes : Par l’analyse immunoenzymatique du sérum chez les 32 patientes avec HCV aiguë et 76 patientes avec HCV chronique ont été déterminés les anticorps de la classe IgG aux antigènes core, NS4 et NS5. La catégorie des patientes avec HCV chronique a été subdivisée en deux sous groupes : avec et sans syndrome cytolitique. Les résultats : En premier 10 jours de la phase icthérique chez les patientes avec HCV aiguë ont été déterminé des anticorps tant face de la protéine structurale (core), comme et face de ces nestructurales NS4 et NS5. Les anticorps aux toutes 3 antigènes ont été déterminé plus fréquent chez les patientes avec HCV chronique, associé avec le syndrome cytholitique. Des différence véridique avec la grouppe des patientes avec HCV chronique sans le syndrome cytholitique n’ont été pas déterminé. La conclusion : Les dates obtenu permettent d’affirmer que la détermination des anticorps aux antigène core, NS4 et NS5, ne peut pas utilisé comme critère de diagnostique différentielle entre le HCV aiguë et HCV chronique. Mots-clés : HCV, NS4, NS5.
Les tumeurs rares du larynx – histopatologie et interférences cliniques
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que récemment comme une maladie incertaine avec un pronostic réservé, peut être aujourd’hui controlée par des procédures thérapeutiques complexes. Matériel et méthodes : Le matériel biologique a été récolté chez 43 de patients, qui ont nécessité un traitement stomatologique. Il a été représenté par de petits fragments de parodonte, qui ont été fixés en solution de formol neutre 10 % et préparés par une technique histologique classique. Résultats : L’étude microscopique nous a permis de remarquer de multiples modifications du parodonte marginal. Le tissu conjonctif parodontal a été, dans tous les cas le siège d’un processus inflammatoire d’intensité variée, allant d’un faible infiltrat avec des cellules rondes, mononucléaires de type lymphopasmocytaire et macrophagique jusqu’aux infiltrats très abondants de type granulomateux, associé, dans la majorité des cas à un œdème interstitiel. Dans les cas ayant un abondant infiltrat inflammatoire chronique on a remarqué la présence des artérioles aux parois épaissies par la fibrose vasculaire. Dans 5 cas on a mis en évidence l’ulcération de l’épithélium pavimenteux, avec la présence d’un abondant infiltrat inflammatoire par des polynucléaires. Chez certains patients, la migration des cellules du système lymphoplasmocytaire a été accompagnée par une réaction vasculaire, à type de congestion vasculaire, des prolifération des cellules endothéliales, avec l’apparition des capillaires d’angiogenèse et même de prolifération des fibroblastes, avec une synthèse augmentée de fibres de collagène et glycosaminoglicanes dans le tissu conjonctif parodontal. Par endroit au niveau du stroma, on a remarqué la présence de microcalcifications et de rares cellules géantes, multinucléées. Conclusion : On considère que l’intensité du processus inflammatoire peut être corrélée à l’ancienneté de l’affection, au manque d’un traitement adéquat mais aussi à la réponse immune de chaque patient. Mots-clés : parodontopathies.
OANCEA A
Les tumeurs rares du larynx représentent environ 2-3 % de toutes les tumeurs du larynx. Ce sont de véritables surprises histologiques. L’étude au plan morphologique, histochimique, imunohistochimique peut aboutir à des conclusions visant à une thérapie complexe. L’ensemble de ces tumeurs sera marquée par une évolution lente et une symptomatologie très variable suivant l’âge du patient, le siège et le point de départ de la tumeur. Nous étudierons trois cas de tumeurs rares du larynx diagnostiquées entre les années 2002-2005 dans le Clinique ORL Coltea – chondrome, fibrome et une tumeur d’Abrikossof. Dans tous cas ont été utilisées des techniques chirurgicales conservatrices.
Aspects microscopiques du parodonte dans les parodontopathies marginales chroniques Â
PANCA OA, MOGOANTA L, MEHEDINTI T, DEVA V (1) Faculté de Médecine Dentaire, Constanta. (2) Faculté de Médecine, Université de Médecine et Pharmacie, Craiova. (3) Faculté de Médecine, Constanta. (4) Faculté de Médecine Dentaire, Université de Médecine et Pharmacie, Craiova, Roumanie.
Les parodontopathies marginales chroniques sont des affections très fréquentes (leur incidence variant de 85-90 %) qui comprennent des formes inflammatoires et dégénératives ou prolifératives. La maladie parodontale, considérée jus-
Les changements morphologiques de l’espace péritonéal septique chez les malades péritonéodialysées Â
Département d’Anatomie. Faculté de Médecine, Constanta, Roumanie.
TARANU T, GEORGESCU OST, NEDELCU AH, HÂNGANU MV Département d’Anatomie. Université de Médecine et Pharmacie « Gr. T. Popa », Iasi, Roumanie.
But : établir les corrélations entre le péritoine septique et les altérations morphologiques chez les malades soumis à la dialyse péritonéale chronique. Matériel et méthode : D’un groupe de 328 malades avec dialyse péritonéale chronique (193 hommes et 168 femmes âgés de 19 à 81 années) on a choisi un échantillon de 62 patients (29 hommes et 33 femmes) qui présentaient des changements péritonéaux et splanchniques frappants sur les biopsies prélevées à l’occasion de la suppression des cathéters mis en place pour des péritonites septiques (entre 1995 et 2004 dans le Centre de Dialyse et Transplantation Rénale de l’Hôpital « Dr. C. I. Parhon » de Iassy). Résultats : 16 femmes et 19 hommes « péritonéodialysés » ont développé 85 épisodes de péritonites aiguës bactériennes, 2 femmes/0,60 % une péritonite fécale et aussi 7 malades/ 2,13 % (3 hommes/0,91 %, 4 femmes/1,21 %) une péritonite fungique. La pathologie d’urgence chirurgicale associée aux péritonites aiguës qui a obligé à une laparotomie et à la suppression des cathéters a été l’occlusion : fonctionnelle 13 cas/3,96 % (8 cas/2,43 % paraseptiques – 4 cas/1,21 % par cellulites rétropéritonéales, 4 cas/1,21 % par sepsis pariétoabdominal et 5 cas/1,52 % par pancréatites et appendicites aiguës) ; aussi 3 malades/0,91 % ont eu une occlusion