communic ations
PO26 Infectiologie
PO24 Infectiologie NEIJROBORRELIOSE : ANALYSE CRITIQUE DES CRITERRS DE DIAGNOSTIC APROPOS DE 13 CAS. D. Tuetiinckr, G. de Bilderling, GBigaignon’, B. Bodarl Clituques UCL de Mont-Gcdinne, setice de P&diatrie. 5530Yvoir ‘UCi Saint-Luc, laboratoire de Microbiologic, 1200 &~.~elles, Belgiqne zm$;se
affxhkes
rktrospxtive
des dossiers &&ants
hospitalis&
LE.9 BACTERIEMIES P.C. KARIYO*,
CHEZ L’ENFANT J.B. NDIHOKUBWAYO-,
INFFCTE PAR LE VIII N. KANEZA***.
Les bact&nues oat kC s~gnalks comme unr comphcatmn mfectwsr chez IES su~ets mfect& par le VIH depuls 1983. maw les tides falter en Afrlqur et en particuher au Burundi restent parcellaires et peu document&es
pour
&f&&&. Les dossiers de 13 patients (Age moyen 8,5 ans, sex ratio 8/S) hospitali& pour neurobot+liose entre 1991 et 1999 ont 6td rews rktrospectivement. L.es dorm&s suivantes ant W colligks: motif hospitalisation, ant&dents de piqtlre de tique etlott d’&yih&me migrant, dosage des anticorps dir+ come le Borrelia bargdoferi par inummofluorescence darts le sang (dilution: 1132) et le LCR (dilution: l/4), recherche du Borrelia par PCR dam le LCR et analyse da LCR (&men@ glycorachie, pmt&norachie et culture). &&@t& Ix motifd’hospitalisation a &te ane plralysie faciale dam 7 cas ( 2 aver atteinte btlatkale), an syndrome mkningk darts 6 cas dent 1 en association aver des troubles importants du comportement. Des antkedents de piqftre de tique ant &t retrouvts dam 9 cm, un kythtme mignun dam 2 cas avec une sdmlogte sanguine positive dans 11 cas. La synthkse intrathkcale d’antioxps s’est av&6e positive chew 8 wtients, ndgative chez les 5 autres. La PCR s’est n&mnoins r&61& positive a 2 r&&es chew-Es 5 wtients. Dam tous les cas. la FCR s’est n&ativ& a la PL de contile &Ii&e &r&s 10 jours de traitement. En cas de pa&lysie faciale, l’analyse du LCR a month tme plkxytose lymph~ira chew 4 patients et ttne h~ot&torachie cha 3 patients. En ME de mkningite tous les patients avaiettt tme pleiocytose et une prot&wrachie augmentke La pr&inorachie etait plus &v.$e en car de m&ingite (moyenne 131 mgkll) que de plralysie faciale (moyenne 41 mg/dl). La PL de c0maie a montr.6 une ten&ace I la nonnalisation de la cellularit et de la Droteinarachie darts tous les cas. ‘Conclusion. Le diagnostic de neuroborr6liox repose sur I’association de plusieurs wit&es. Les plus atilk& sent la skrologie sanguine positive ass&k B un em&me rmgrant eWou P une manifestation @pique de borr&liose et/cat a une synthkse intrathlcale d’anticotps. Nous suggdrons n&nmoins que la PCR t-&Ii& dam tm laboratoire de rtfdrence soit incluse dans ces critkes de diagnostic. Notre etude wntirtne l’incidence .6lev& de neurobo&liose en cas de paralysie faciale ou de mdningite aseptique avec pmtdinorachie &v&.
Cette &rude a pour but de d.&mmer la fr&quence et la nature drs grrmas responsables de bactkkmies au cows de l’mfecnon B VIH dans un serwcr de Ptdiatne G&kale. Une &de de phkotypes de sensib~lit~rk~stance de w bacttnes a &k auw r&&k Du 01/01/1996 au 30/09/1997 34 hknocultures posmves ont ktk not&es chez des patients infect& par le VIH hospdalks dam une umti de Pddiatrie G&kale et class& selon les cnttres du CDC 1994 pour I’enfant &g&de mains de 13 ans Ives banCnes
tsol.+s sont - Salmonelks mineures - Salmonella typhi -E coli - Klebswlla pnewnomae - Staphylococcus aweus - Streptococcus pneumoniae - Haemophilus influenzas -Pseudomonas aeruginosa
Las salmonelles resteat largemeat senslbles au chlorampheniwl(~90%), SO%des pneumoccques ant une settstbilitk dtminu& B 1’ Amoxicillme. les staphyloccques restent m&tlctllmo-sensibles B plus de 90% Les patients scmt prlsentir selon le stade d’&olutmn de la maladle stade C, 7 au stade B, 5 au stade A et 2 au stade N
Une antlbioth6rapie notre contexte.
probabiliste *
par chloramphenicol
semble done Justif&
dam
P&&atre au C.H.U de Kamenge * M&kin Biologlste au C H U de Kamenge , buWNbC
l **
MtJROBOPRELlOSE DE LYME EN PEDIATRIE A PROPOS DE IO OBSERVATIONS C. Laurent’, 1 Desguerrez, P. Chessany’, M Ass&, C. Olivier’, G. Ponso? ‘H6pital L. Mourier, COLOMBES - ‘H8pital St VinQnt de Paul, PAR/S . ‘Hbp!tal Cocbin, PARIS L.es mamfestatmns neurologiques reprksentent le mode de rdvdlation de I’mktion par Borr&lia Burgdorferi (B.B.) le plus ti+quent en Eump et chcz I’enfant. Nour en rapportons 10 obxwations all~&es depuis 1985 Le diagnostic de certitude repose sur la positivitk de la sdrologie de Lyme dam le sang et la nCgatkitC der awes examens compldmentaires a vi&e diagrwstique. L’Qe moyen est de t 1.5 ans. II y a 6 garwns et 4 ritter. Un enfant a pr&.entt ses 1’” symptames en hiver, Its 9 awes en dte. Aucune notion de piqtire de tique nkst retrouVte. L’cxirtsnee d’un &y?Yme n’est not& que dam I cas dent la description n’est par dwcatrice d’&ytb&me migrant (EM). Cmq enfantr ant prkntd une hyperthemdc, n’exckdant jamais 38.5’ et pcrristantc pendant I5 jours, 2 fois. Des rrgnes &&au sent pr&ents chez 7 c&ants wee une perte de pads nolllhle dam 3 wr Aucun patient ne prdsente dc syndrome (sd) m&in86 franc, motif d’hospitahsation dam 3 cas, se cara&nsant par ta s&e association de cdphaldes a une raideur doulourew du r&is cemcst Une raclualgie avcc raideur est par ailleur retrow& chez 4 awes enfants assaiti B des dohalkes. 2 fois. Pour 2 enfanu. cette assccratron ert la seule expression elinique. Une *paralysie faeialc eat prknte ;hcz 4 enfants dont 1 bilat&ale, I d baseule et 1 assoeite g une n&rite du trijumeau et du ncrf auditif du meme c&6. Tmix patients prksentent une rsdiculitc Un &ant prdsente une wiatiaue a*SOclant me scxataleic unitat6rate ! , un stermaac. Ler 2 olexttes se r&.?lent sur un mode moteur. II s’sgit-d’une atteinte 1so1eS du’ pkxus bkhial droit et d’une amyotrophie de la mlffe des rotateurs droite arsoei& a une dipkaie faciale DNX enfantr prkntent une mydlite sz manifestant wr un mode sensitil L&cc~atmn I une somnolence importante r&lissit chew un de ces patients un tableau d’encdphalomydtite A I’exception de gonalgies aucune awe atteinte extra-neurolo~que n’a et& notte Aucun syndrome mflammatoire biologique da ett cbjeetivd. Une I ponction lomba~re (PL), rkahsde en nwyenoe 24 joun aprh le debut des symptdma, r&&le 9 fois sur to une m6ningite IymphoeWre (Ml.) aver un pmttl oligoclonal La skolog~ de Lyme dens le LCR ert signiticativemcnt positive danr l/8 cas. Ces IO enfantr ont ben6fieiC d’une antibioth&apie faisant appel a une Pdnicilline G (3 car), une Amoxicittine (I cas) ou um Ccphalosparine (6 cas), par voie parent~rale pendant 14 jmus en moyenne. La durde totale moyemx du traitement est de 24 jours. L’dvolution est totatement favorable pour l’cnsemble de cette cohorte. On note an amenderneat spantanC des symptbmes, avant antibioth&apie, pour 2 &ants. En conclusion, la m&die de Lyme dait Ctre &q&e chez I’enfant tin d’&ter, I’alt&ation rmportante de t’ttat gCa&at, la pers!rtan~ de srgns neurologiqws invalidants et I’apparition de complications tardiver persistantes dues a I’iafection par B.B. La PL doit avoir de larges indxations (m&e en I’abwnce de critke 6pid6miologique. d’hyperthemxie ou de sd mdningd), la MI sftirmant presque a elk sale le dlagnoshc, eonfirm par la rkmlogic de Lyme surtwt dam le LCR
20 patients au
Les bact&itier semblent d&n&s par 1.x salmonelln nunewes et dam la majorit des cas senslbles au chloramphemcol.et surwennent sowent au stade avan& de la m&die (stark C).
l
PO25 Infectiologie
38 23% 11.7% 6 2% I4 7% 6.2% 14.7% 6.2% 2%
lnteme
PO27 Infectiologie LES DEFICITS IMMUNITAIRES DE L’ENFANT : ASPECTS DLAGNOSTKS ET PROBLEMI% TRERAPEUnQUE.9. .. w*, R. Boukarl*, N. Beahtln-Djadoua**, F. Benbassine*, M. A&in-Banaaceu~. F. Bekkouchs**, M. Magbricke*. *Service de Pkdiatric-H6pitd Bologhinc-Et Atassi . Alger l * l&x&ire d’lmmunolagie - H6pital Aln-Naadja . Kouba L’6tude pr&entee mncerne 19 cas de deficits immunitaires mng~nitaux cnlligds entre 1987 et 1997 dans un service de pediatric g&n&ale. Les 19 cas concement 12 garwns et 7 filles (sex radio 1,7). Les symptdmes on, mmmcncC dam 68 % des (13/19) avant lP8e de 2 am. L’analyse des cas familiaux similaires est rrchc d’enxignement puisquc retrow& dans 32 ‘70 dcs cas chez 6 families. L’expression clinique est partante, fait, &infections multiples 1 tropisme respiratoire (89 %) et digcstif (47 %). L’&st cliniquc des enfants au moment du dugnostic est sowent prkxcupant I type de BPCU avec ou saris IRC, toux chroniquc, diarrhte chronique. Lkxploratioo lmmunologique nous a pcrmis de confirmer tes &iotogies suivantes : - D6ficits de I’immunit6 humorale : 11119 soit 58 % des cas - Wficits immunitabes combines et s&&es : 6119 soit 32 W des CBS - Anomalies qualitativcs des polynucl&ires : 209 Lc traitement de ces affections est loud ct cottcux mais peut dam certains cas &her tes mmplications in&wsibles B condition d’&rc pr&cement institud et r&gulitrement administrt. La disponibitit.5 des thdrapeutiqucr de substitution par gammaglobulines nous pose un probkmc dans la prise en charge de ces enfants. L’&olution a tte fatale dam 4 cas sur 19. Afin d’apparter dcs solutions durablcs la priorite est b W&&oration d’un registre national dcs deficits immunitaires congtmtaux.