Quel indicateur dosimetrique en scanographie pediatrique

Quel indicateur dosimetrique en scanographie pediatrique

10 h 2 0 Durée : 8 minutes CAPTEURS, PLANS ET DOSIMETRIE G FRIJA PARIS - FRANCE Objectifs : Evaluation des doses délivrées aux patients et comparais...

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10 h 2 0

Durée : 8 minutes

CAPTEURS, PLANS ET DOSIMETRIE G FRIJA PARIS - FRANCE Objectifs : Evaluation des doses délivrées aux patients et comparaison aux niveaux de références. Matériels et méthodes : Une série consécutive de 113 patients a été étudiée (taille moyenne : 170 cm, poids moyen : 70 kg, BMI : 24 kg/ m2). Les conditions techniques sont les suivantes : 120 kv, 200 m.4, 10 ms (appareil XQi, GEMS). Un contrôle de qualité préalable a été réalisé en comparant les kv affichés sur la console et les kv mesurés sur un kv-mètre ; les doses dans l'air à l'entrée ont été également calculées sur fantôme et comparées à celles affichées sur la console. Les mesures affichées en conditions cliniques ont été relevées pour 113 sujets. Résultats : L'étude sur fantôme a montré que les paramètres d'exposition et que la dose dans l'air affichés par le système sont parfaitement corrélés à ceux mesurés sur fantôme. En condition clinique, 95 % des patients ont reçu une dose inférieure à 0,100 mGy (référence : Netherlands DFE fantôme PA chest) et 100 % des patients ont reçu une dose inférieure à celle du référentiel SFR-OPRI. Conclusion : Le contrôle de qualité des paramètres et de la dose affichés par le système s'est révélé très satisfaisant ; en conditions cliniques, les relevés dosimétriques se sont montrés adaptés aux référentiels choisis. Mots clés : Irradiation - Scanographie - Radiologie

10h30

Durée : 8 minutes

EVALUATION DOSIMETRIQUE COMPARATIVE EN RADIOLOGIE PEDlATRlQUE DE L'INSTALLATION EOS (BIO-SPACE) ET D'UNE INSTALLATION CONVENTIONNELLE J-L REHEL(1), H BEAUVAIS-MARCH (2), G KALIFA (2), BAUBERT (1) (1) FONTENAY-AUX-ROSES - FRANCE, (2) PARIS - FRANCE Objectifs : Une étude dosimétrique a été menée pour comparer les doses délivrées lors d'un examen radiologique cervico-dorso-lombaire sur une installation conventionnelle et l'installation EOS (BIOSPACE) en pédiatrie. Matériels et méthodes : Les mesures de doses ont été réalisées à l'aide de dosimètres thermoluminescents (pastilles GR 200 A) placés à l'intérieur d'un fantôme anthropomorphe de type cc ATOM 5 » représentatif d'un enfant de 5 ans, au niveau de différents organes. L'étude a porté sur la radiographie du rachis complet (incidence face et profil) réalisée sur une installation numérisée (BUCKY DIAGNOST Philips) et sur un système EOS (système de la chambre de Charpak appliqué à la radiologie). Résultats : Sur la base de conditions d'exposition permettant d'obtenir des images jugées satisfaisantes par les radiologues et les chirurgiens orthopédistes, les doses moyennes aux organes, pour un même volume exposé, sont plus faibles sur l'installation EOS d'un rapport de 4,3 à 10 en incidence de face, et de 1,l à 3 en incidence de profil. Conclusion : Pour répondre aux nécessités de radioprotection des patients, il convient dans la démarche d'optimisation, non seulement d'optimiser les paramètres d'exposition, mais également de prendre en compte le potentiel des innovations technologiques. Ceci est d'autant plus important en radiopédiatrie. Mots clés : irradiation - Scanographie - Radiologie

10 h 40

Durée : 8 minutes

RESULTATS DOSIMETRIQUES DU SYSTEME NUMERIQUE EOS : DE L'ATTITUDE ALARA A UNE REELLE APPLICATION PRATIQUE S FEREY(1), I DORION (1), M MEYNADIER (1). L MILADI (1), C MACCIA (2), D MITTON (1). G KALIFA (1) - FRANCE, (2) BOURG-LA-REINE - FRANCE (1) PARIS Objectifs : Vérifier l'importance de la réduction de doses et dégager les applications cliniques éventuelles du système basses doses EOS basé sur la chambre à fils de Georges Charpak. Matériels et méthodes : Le système EOS repose sur des détecteurs gazeux et permet des reconstructions 3D. On obtient deux images simultanées orthogonales. Cinquante enfants ont subi une étude du rachis face et profil avec l'accord du CCPPRB. L'étude comparative a porté sur la dosimétrie respective par rapport aux clichés conventionnels, sur la qualité des images obtenues ainsi que sur les possibilités de reconstructions tridimensionnelles. Résultats : Par rapport aux clichés conventionnels, le facteur de réduction de dose est de 9,4 pour les clichés de face et de 8,4 pour les clichés de profil. Pour les doses organes, par rapport au scanner, pour les études comportant des reconstructions tridimensionnelles, le facteur de réduction est de 100 pour les gonades et de 600 pour la thyroïde. La qualité d'image est considérée comme très bonne par les orthopédistes comme par les radiologistes. Les reconstructions 3D du bassin et du rachis sont jugées comme très contributives. Conclusion : Cette technique permet des progrès spectaculaires en dosimétrie, en qualité d'image obtenue ainsi que dans l'obtention des reconstructions tridimensionnelles. Ceci autorise une surveillance plus aisée, simplifiée et moins « irradiante ». Mots clés : Irradiation - Scanographie - Radiologie

10 h50

Durée : 8 minutes

QUEL INDICATEUR DOSIMETRIQUE EN SCANOGRAPHIE PEDlATRlQUE J-L REHEL(1). P SCANFF (1). B AUBERT (1), A SIGAL-CINQUALBRE (2). J-F PAUL (2) - FRANCE,(2) LE PLESSIS ROBINSON(1) FONTENAY-AUX-ROSES FRANCE Objectifs : Les scanners informent de la dose délivrée au cours des examens par deux indicateurs dosimétriques : l'index de dose de scanographie volumique (CTDIvol) et le produit dose*longueur (DLP). Ces indicateurs seront utilisés pour fixer les niveaux de référence diagnostiques mais sont-ils adaptés aux examens pédiatriques ? Matériels et méthodes : Des mesures de dose ont été réalisées à l'aide d'une chambre d'ionisation