Actes du colloque ‘Berkeley’ (26–28 Septembre 1985)

Actes du colloque ‘Berkeley’ (26–28 Septembre 1985)

h=irtory ofEuropean Idem, Printed in Great Britain. Vol. 7. No. 6, p. 553, 1986 COLLOQUE 0191-6599/86 $3.00+0.00 Pergamon Journals Ltd. ACTES DU ‘...

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h=irtory ofEuropean Idem, Printed in Great Britain.

Vol. 7. No. 6, p. 553, 1986

COLLOQUE

0191-6599/86 $3.00+0.00 Pergamon Journals Ltd.

ACTES DU ‘BERKELEY’ (26-28 SEPTEMBRE

1985)

PREFACE Pourquoi un colloque sur Berkeley a la Maison Francaise d’oxford? La commemoration du tricentenaire de la naissance du philosophe (1685-1985) a et& honoree de diverses manifestations internationales, a Newport et a Dublin en particulier, oti l’oeuvre et la personne de Berkeley sont l’objet d’ttudes regulitres et possedent valeur de symbole. Mais pourquoi done ce paradoxe, a la Maison Francaise, d’un colloque consacrt a un philosophe anglo-irlandais? Des 1982, l’heureuse initiative en revient a Mr Bruno Neveu, alors Directeur de la M.F.O. Convaincu que le role de la M.F. n’etait pas seulement d’importer et d’exposer un peu de culture francaise Outre-Manche, mais de dtvelopper et resserrer les liens entre 1’Universitt d’Oxford et les universitts francaises, Mr Neveu se saisit de l’opportunite que fut l’achkement de notre these d’Etat sur Berkeley pour nous demander d’organiser un tel colloque. Les noms prestigieux de Messieurs Warnock, Urmson et Ayers, specialistes oxoniens de Berkeley, permettaient en effet de faire de la M.F.O., pour quelques jours, le lieu de reunion de chercheurs d’horizons t&s divers. Nous remercions Mme Monica Charlot, Directeur de la Maison Francaise aujourd’hui, d’avoir soutenu ce projet jusqu’a sa realisation et jusqu’a son terme; nous remercions Mr Le Conseiller Culture1 de 1’Ambassade de France pour son intervention efficace aupres du Minis&e des Relations Exttrieures; enfin nous remercions tout particulierement Mr Denielou, President de 1’Universiti de Compibgne, qui nous a constamment encourages de son pouvoir et de sa confiance, ainsi que la Sub Faculty of Philosophy d’oxford qui nous a favorists d’une subvention qui symbolisait l’inttret de tous les philosophes oxoniens pour cette entreprise. Que, de surcroit, Mme R. Maxwell et Mr Talmor accueillent genereusement les actes de ce colloque fera passer a la posttrite des ttchanges qui meritaient de peser sur l’avenir des recherches berkeleyennes. Genevieve

Brykman

Universitt de Technologie de Compikgne

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