14 h 30
Durée: 30 minutes
PATHOLOGIES MEDULLAIRES CERVICALES NON TRAUMATIQUES DE L'ENFANT ESchmitt Nancy - France
ORL 5307
Correspondance: e,schmitt@chu-nancy,fr
Objectifs: Savoir reconnaître les signes cliniques évocateurs d'une pathologie médullaire. Savoir choisir la stratégie des examens à réaliser. Connaître le mode de réalisation d'une IRM cervicale en fonction de la pathologie suspectée. Connaître les pathologies les plus fréquentes. Points clés: Polymorphisme des modes de révélation. Importance de l'examen clinique général et neurologique préalable. Adaptation des explorations à la pathologie suspectée. Rôle de l'âge dans les orientations diagnostiques. Résumé: Les modes de révélation des pathologies médullaires de l'enfant sont très variables: cervicalgies, attitudes vicieuses, raideur. .. L'examen clinique général et neurologique est impératif. Il peut être normal. L'exploration médullaire se fait en IRM. C'est un examen long qui nécessite une immobilité totale. La préparation de l'enfant est importante (sédation, prémédication, biberon ... ). Elle permettra d'obtenir une imagerie de qualité pour, au mieux poser le diagnostic étiologique, ou dans les autres cas orienter la prise en charge thérapeutique (limites exactes de la lésion si prise en charge chirurgicale, recherche de pathologie associée ou d'autre localisation ... ). Les pathologies les plus fréquentes chez l'enfant sont les malformations (associées ou non à des anomalies de charnière) et les tumeurs. Mots clés: Moelle épinière, anomalie - Pédiatrie, tumeur - Moelle épinière, tumeur
Traumatismes de la face
Modérateur: Francois Lafitte
14 h 00
Durée: 30 minutes
CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT CONNAITRE H RajhL A Salem, S Mhiri, M FelfeL R Hamza, N Mnif Tunis - Tunisie Correspondance: hatem.rajhi@yahoo,fr
LES TRAUMATISMES CERVICAUX CHEZ L'ENFANT
Objectifs: Connaître les principales fractures de la face. Connaître la sémiologie tomodensitométrique pour classer une fracture transversale de la face. Savoir préciser sur le compte rendu radiologique les éléments décisifs dans la prise en charge d'un traumatisme de la face. Points clés: Fracture des os propres du nez: les radiographies standard sont suffisantes. Disjonction fronto-zygomatique: préciser les lésions associées de l'orbite. Fracture fronto-orbito-nasale : rechercher les lésions associées du système lacrymal, de l'orbite et de l'étage antérieur de la base du crâne. Fractures transversales de la face: préciser le type selon la classification de Le Fort. Résumé: Pendant ce cours, nous allons tout d'abord décrire les principales fractures de la face, puis, à l'aide de cas radio-cliniques, donner des éléments pratiques simples pour reconnaître et classer la fracture. Enfin nous insisterons sur les éléments que le radiologue doit préciser au chirurgien pour chaque type de fracture de la face. Mots clés: Massif facial, traumatisme
PJourneau Vandœuvre-lès-Nancy - France
14 h 30
15 h 00
Durée: 30 minutes
Correspondance: p,journeau@chu-nancy,fr
Objectifs: Connaître les éléments anamnestiques de gravité en fonction de l'âge. Connaître les traumatismes particuliers du rachis cervical supérieur et inférieur. Connaître les indications des explorations complémentaires. Connaître les principales modalités de prise en charge. Points clés: Méconnaissance de la pathologie traumatique cervicale du petit enfant. Spécificité de la localisation traumatique cervicale supérieure ou inférieure en fonction de l'âge. Indications limitées des clichés dynamiques. Installations précises à respecter lors des explorations complémentaires. Résumé: La compréhension de la traumatologie du rachis cervical chez l'enfant dépend de l'anatomie et de la physiologie en fonction de l'âge de l'enfant. Le poids de la tête, l'immaturité du tonus axial, l'orientation des surfaces articulaires et la persistance de zones de croissance rendent compte de la localisation préférentielle des lésions au niveau du rachis cervical supérieur chez le petit enfant. A l'inverse la maturation progressive chez le grand enfant rapproche leurs lésions de celles de l'adulte et se situe essentiellement au niveau du rachis cervical inférieur. Ainsi l'analyse lésionnelle, le choix des explorations complémentaires et les modalités de prise en charge doivent tenir compte de ces différences et de l'évolution physiopathologique en fonction de l'âge. Mots clés: Rachis, traumatisme - Pédiatrie, traumatisme - Moelle épinière, traumatisme
Durée: 30 minutes
ASPECTS POST-TRAUMATIQUES ET POST-OPERATOIRES DE L'OEIL ET DE L'ORBITE F Lafitte, P Koskas, 0 Bergès, JD Piekarski Paris - France Correspondance:
[email protected]
Objectifs: Connaître les différents types de fractures et leur complication à court et moyen terme. Connaître les principales lésions oculaires post-traumatiques. Reconnaître les principaux matériaux intra-oculaires et intra-orbitaires. Points clés: Le scanner sans injection est l'examen de première intention. Il doit être réalisé en urgence en cas de diplopie, de baisse de l'acuité visuelle, ou de suspicion d'éclatement du globe. L'échographie est souvent utile en complément pour les lésions du globe. Les corps étrangers végétaux sont de diagnostic difficile. Le déplacement des matériaux post-opératoires (greffon, éponge ... ) peut être à l'origine de complications à distance. Résumé: Les fractures de type « blow-out » sont les plus fréquentes. Le scanner permet de faire le bilan des lésions post-traumatiques (fractures, emphysème, hématome), de dépister des complications urgentes (incarcération musculaire, compression ou embrochement du nerf optique), et de visualiser la plupart des corps étrangers (métal, verre, plastique ... ). L'échographie est réalisée en complément surtout pour les lésions du globe (hémorragie, décollement de rétine ou de choroïde, rupture sclérale, corps étranger). L'IRM permet Je diagnostic de certaines complications secondaires (myosite, corps étranger végétal, déplacement d'une éponge). La reconnaissance de certains matériaux fait appel au scanner ou à l'IRM. Mots clés: Orbites, traumatisme
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