Cephalees recentes au sau

Cephalees recentes au sau

8-10 avrill998 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ...

180KB Sizes 0 Downloads 49 Views

8-10 avrill998 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .XlIIes . . . . . .Journies . . . . . . . . .de. . la . . .SFUM . . . ..~.................. ,NEUROLOGIE

q I

I’

LES MENINGITES PURULENTES DE L’ADULTE. EXPERIENCE DUN SERVICE D’URGENCE FACE AUX RECOMMANDATIONS DU CONSENSUS DE M Andronikof. N Fortineau, F Barrau. G Pech. M-P Plave. Urgencas, HBpital Laennec -42, rue de SBvres -75007 Paris. Une confbrence de consensus (St Etienne, 1996) donne des recommandations (RC) concernant I’antibiothbrapie des meningites purulentes communautaires (MP). Entre 1993 et 1997, le service des urgences (U) a diagnostique 10 cas de MP chez des adultes. Nous avons applique r&rospectivement les RC B cas MS. Les principales caractBnstiques des dossiers des

1996.

Les RC,qui n’btaient pas applicables dans 2 cas sur 10 (bacilles B Gram - au direct du LCR) Btaient adapt&es au germe isole dans 7 cas sur 6. Notre attitude qui differait des RC dans 4 cas sur 8 &ait cependant adequate dans 7 cas sur 10. De plus, nous initions une antibiothbrapie d&s constatation de /‘aspect trouble du LCR, ce qui n’est pas pr&u dans les RC. Malgre la nature inhabituelle des espdces bactbriennes (5 MS sur lo), les RC n’ont &!tB mises en dbfaut que 3 fois sur 10. Mais devant tout LCR trouble, I’antibiothbrapie ne doit pas attendre m&me les premiers r&ultats de laboratoire pour Btre dbbut&e.

DELAI D’ANTIBIOTHERAPIE A CADMISSION DES MENINGITES BACTERIENNES. E PERROTIN. Service d’urgence et de r&animation ’ mkdicale. CHU Bretonneau 37044 TOURS CEDEX 1 La pr&ocit6 de mise en route de l’antibiothCrapie dans la prise en charge des mkningites bact&ennes (M.B.) est une recommandation classique ; le traitement “devrait &re d&but&’ dans Ies 30 minutes et tout retard est consider& comme injustifit. &$ : &valuer nos pratiques en mesurant le d&i BcoulC entre l’admission du patient et la premi&re injection d’antibiotique (A.B.). Wel et m&gpdes : sur 4 ans (9397) les malades admis aux urgences chez qui le diagnostic de M.B. a BtC retenu (bacttrie g la culture du sang ou LCR et/au hypoglycorachie et P.N. dans le LCR) et trait& par A.B. ont CtC inclus. Exclusions : M. non bacttienoe ; M. tuberculeuse ; admission directe hors urgence ; A.B. prkalable g l’admission ou d’une durCe < 5 j. I&&.&: 51 malades inclus 27 H et 24 F, Bge moyen 45 ans (16 ; 89), 27 avec germe identifi6 (Pneumo 11). 3 sont d&MCs. Aucun patient n’a &te trait6 dans les 30 minutes. Le d&lai moyen est de a16 (30 ; 975). Parmi les facteurs associ6s & un d&i plus long : v “autre que syndrome m&ningC fhbrile” (n = 30) 257 f. 56 vs 157 + 84 p = 0,041& DM avant la EL. (n = 9) 283 f 122 vs 201 + 167 p = 0,023. L’administration d’A.B. apres les urgences (n = 9) 427 F 256 vs ,. . . I 170 + 99 p = 0,024. ,, (n= 6) 419 k 295 vs 188 + 114 p = 0,014.m 1 + me de v (n = 17) 324 f 180 vs 172 -f 140 p = 0,017. Commeotaires : cette Ctude est en accord avec celles de TALAN et montre que le d&i d’antibioth&apie est long et inacceptable. II serait intkressant de disposer des dorm&es d’autres Cquipes dans le contexte du traitement des mCningites oh la litthture s’est exclusivement consacr&e ces demibres a&es au problkme de la rbsistance du pneumocoque. Une “culture mCdicale trop diagnostique” au detriment d’une “education pragmatique” pourrait &re une explication.

q R-LANoTTE:D. ’

CEPHALEES RECENTES AU SAU. - M.A.Maunouw - CSan Jose - Ph Bourrier Y. Lannehoa - D. Perroux - SAU - Centre Hospitalier - 72037 Le Mans Cedex. Nous avons conduit une Etude prospective pour Studier les patients admis au SAU pour cbphalees r&en&. Inclusion : Bge>l8ans, cephalees
I •n

II n’y a pas de diffbrence pour le delai d’admission, l’existence d’ant&dent migraineux, la description de la douleur, un score > 7 sur une EVA de douleur, la presence de vomissements, ou I’existence d’une autom6dicdon.

THROMBOSES

VEJNEUSES

CEREBRALES

AUX

URGENCES

:

Les thromboses veineuses c&rCbrales (TV0 sont consid&&es comme des affections rares et semblent &tre caps&e des neurotogues et des revues de neurologie. But de I”&ude : comparer les modalit& des presentations cliniques et la stratCgie diagnostique des TVC admises aux urgences & celles rapportkes dans la litthrature sp&ialide. Patients : analyse r&ros ctive de 17 cas de TVC observ&s sur une p&ode de 5 ans et dont p”.e &agnostic a Ct6 Ctabli dans un service d’urgence. M&odes : comparaison de cette s6rie avec 3 series franwises de patients dont le diagnostic de TVC a dti 6tabli dans un service de neurolo ie et rapport& dans la IittCrature (Bousser MG, Stroke 1985; Milan 8 re L, Ann Intern Med 1988). Resultats : NOhQsREDE MALADES AGE MOYEN CEPEIALEE AmE ISOLEE ABSENCEDE FocALIs*TloN COMITIhLlTE MANIF

PSYCFtWTRlQuES

DUREFDES SYMFTOMES LCR HEMORR/ NORMAL SIONEA SCANNER

/

BOUSSER (38) 40,2 (19- 72) 26% 47% 24

) MILANDRE 1 SERIEPERSONNELLE) (20) (17) 37.7 39.2 (20-73) (19-72) 10 % 35% 15 % 71 %

%

8 %

473 (IJ-7MS) 2015

20 % 10 %

35% 23,s %

9

3,s J (2 - 5 J) 317 29,4%

lO/ 5

15%

12%

Conclusion : Les TVC diagnostiquQs aux urgences n’ont pas la m&me symptomatol.ogie qu’en neurolo@e. I1 s’apt le plus squvent de cCphal6es a@% &&es Cvoquant une hemorrage mCmngte. Le scanner montre plus souvent un signe du delta parcque ces TVC (( arlent )) plus t6t. En neurologie? le LCR est plus socvent h& morragique., du fait d’un taux plus eled d’infarctus htmorragques qui sont classtquement plus tardifs.

145 ______-

Wan

Urg 1998

; 7 : 118-60 1