10 h 2 0
Durée : 7 minutes
10 h 4 0
Durée : 7 minutes
IRM DU CARCINOME PAPILLAIRE RENAL : CARACTERISATION ET BILAN D'EXTENSION AVEC CORRELATION ANATOMO-PATHOLOGIQUE
EVALUATION DE L'EFFICACITE DE LA TOMODENSITOMETRIE MULTIDETECTEUR POUR LE DIAGNOSTIC DES PATHOLOGIES DE L'ARBRE URINAIRE
I CHAWI,S EL GHALI,E KAYO,H LANG,C SAUSSINE,C ROY STRASBOURG- FRANCE
L PÉLOQUIN, P AUDET, O PROSMANNE MONTRÉAL - CANADA
Objectifs : Définir les caractéristiques IRM du carcinome papillaire rénal et évaluer son rôle dans la suspicion diagnostique et le bilan d'extension de ce type tumoral. Matériels et méthodes :Vingt-huit patients (32 tumeurs ; 0,5-8 cm) explorés en IRM avec des séquences ESpTl, EGpTl in /out, TSEpT2 et EGpTl dynamiques avec Gd (6 acq toutes les 30s). Corrélation avec l'anatomie-pathologique après chirurgie. Résultats : Vingt-cinq sur trente-deux lésions étaient hypo-intenses (16 homogènes, 9 hétérogènes) en pT2 et 7/32 relativement hyperintenses et/ou hétérogènes. En anatomie-pathologique, la différence de signal en inIout était de 0,13 % ce qui élimine une composante graisseuse. L'analyse quantitative après Gd montrait un rehaussement maximum variant de 24 % -73 % (m = 56 %) et un temps de montée de 70s-150s (m = 125s). A l'anatomie-pathologique, 10 lésions hétérogènes en IRM étaient hémorragiques, 6 étaient nécrotiques ; 29 lésions étaient de stade p Tllp T2 et 3 de stade p T3a (un microscopique). Pour l'extension locale, I'IRM avait Se : 91 %, Sp : 96 %, VPP : 95 %, VPN : 96 % et efficacité : 95 %. Conclusion : Le diagnostic de carcinome papillaire rénal peut être évoqué en IRM sur une sémiologie caractéristique : hyposignal homogène T2, rehaussement modéré, tardif et lent après Gd. Le bilan d'extension y est fiable. Mots clés : Rein, tumeur - IRM, tumeur
Objectifs : Évaluer l'efficacité de la tomodensitométrie multidétecteur pour l'évaluation des pathologies de l'arbre urinaire supérieur chez les patients avec hématurie. Matériels et méthodes : Étude rétrospective (octobre 2002 - septembre 2003) portant sur 151 patients ayant eu une tomodensitométrie (appareil 4 ou 16 barrettes) pour hématurie. Tous les examens ont été révisés sur le plan technique puis pour recherche de pathologies urinaires. Les autres trouvailles rénales et extra-rénales ont également été recensées. Tous les dossiers cliniques ont été révisés, incluant lorsque disponibles : profil de coagulation, analyse urinaire, cystoscopie, pyélographie et corrélation pathologique. Résultats : Les examens ont été jugés techniquement adéquats (opacification complète ou de plus de 75 % des deux uretères) dans 65 % des cas. Au total, vingt-sept examens (18 %) se sont avérés positifs pour expliquer l'hématurie : calculs rénaux (18 cas), lésions tumorales du bassinet (3 cas), lésions vésicales (6 cas). Aucune discordance clinico-radiologique n'a été observée. Un pseudo-polype et six tumeurs vésicales, trois cystites, trois microkystes vésicaux et trois hypertrophies prostatiques ont été visualisés en cystoscopie seulement. Quatre-vingt-sept patients ont eu d'autres diagnostics, certains significatifs pour le patient. Conclusion : La tomodensitométrie multidétecteur, s'avère techniquement adéquate et efficace et devrait être l'examen de choix pour l'évaluation des pathologies de l'arbre urinaire supérieur. Mots clés : Génito-urinaire, tumeur - Génito-urinaire, calcification - Scanographie, technique d'exploration
10 h30
Durée : 7 minutes
DIAGNOSTIC DES PYELONEPHRITES AIGUES (PNA) DU REIN TRANSPLANTE EN ECHOGRAPHIE : APPORT DES AGENTS DE CONTRASTE A DUVAL, J-M CORRÉAS, E MORELON, Z JRAD,D EISS, O HELENON PARIS - FRANCE Objectifs : Evaluer l'intérêt de l'échographie de contraste pour le diagnostic des PNA du rein transplanté (RT). Matériels et méthodes : Trente-cinq patients suspects de PNA ont bénéficié d'une corrélation TDM (n = 32) ou IRM (n = 3) (27 PNA avérées, 8 infections autres). Chaque greffon était étudié (Philips, HDI5000) en mode B, Doppler couleur (DC) et puissance (DP), en mode non linéaire intermittent avant et après injection de LevovistB (Schering SA). Le contraste des zones pathologiques était mesuré par ROI (Cpatho - Ccortex normal) avant injection puis jusqu'à disparition du contraste. A partir de 20 lésions, un seuil de $5 dB était déterminé pour affirmer la présence d'une lésion et permettre une évaluation objective des performances des séquences en échelle de gris. Résultats : Les sensibilité et spécificité de chaque modalité étaient calculées pour chacune des lésions (47 lésions focales, 6 pseudo-tumeurs et 24 abcèslmicroabcès). - Lésions focales : sensibilité B = 21 %, DC = 32 %, DP = 26 %, contraste = 83 % ; spécificité B = 100 %, DC = 100 %, DP = 100 %, contraste = 73 % - Pseudo-tumeurs : sensibilité B = 33 %, DC = 50 %, DP = 75 %, contraste = 100 % ; spécificité B = 96 %, DC = 93 %, DP = 100 %, contraste = 89 % - Abcès : sensibilité B = 43 %, DC = 52 %, DP = 46 %, contraste = 93 % ; spécificité B = 100 %, DC = 100 %, DP = 100 %, contraste = 100 % Conclusion : L'échographie de contraste apparaît comme une technique de choix pour le diagnostic de la PNA du RT. Cependant, il existe de nombreux artefacts liés à l'hétérogénéité du rehaussement. Mots clés : Rein, infection - Produits de contraste - Ultrasons
10 h 50
Durée : 7 minutes
L'ADENOCARCINOME DE L'OURAQUE : ASPECTS EN IMAGERIE ET CORRELATIONS RADIO-ANATOMOPATHOLOGIQUES J-P AKAKPO (l), M-F BELLIN (2), Y BADACHI (1), A GUIBAL (1). S MERRAN (l), N GRENIER (3), L LEMA~TRE (4), O HELENON (1). A DELCOURT (l), P GRENIER (1) (1) PARIS - FRANCE, (2) VILLEJUIF - FRANCE, (3) BORDEAUX - FRANCE, (4) LILLE - FRANCE Objectifs : Notre but est de définir le rôle de l'imagerie pour le diagnostic et le bilan d'extension de l'adénocarcinome de l'ouraque et de comparer les données radiologiques aux résultats anatomo-pathologiques des lésions réséquées. Matériels et méthodes : Nous avons revu les dossiers de 10 patients suivis dans 4 centres pour adénocarcinome de l'ouraque. Les données radiologiques (scanner : 10 ; IRM : 3 ; échographie : 10 ; U. 1. V. Et/ ou cystographie : 3) ont été analysées pour évaluer la morphologie tumorale (taille de la lésion, homogénéité, contours, signal en IRM, importance de la prise de contraste) et l'extension. Résultats : Le diamètre moyen des lésions était de 3,5 cm. La tumeur était hétérogène dans 6 cas sur 10. Des contours irréguliers et un rehaussement net après injection de produit de contraste étaient observés dans 10 cas. Toutes les tumeurs avaient une extension antérieure à partir du dôme vésical. L'envahissement de la paroi abdominale antérieure était observé dans 1 cas, confirmé lors de la résection chirurgicale. Une extension ganglionnaire était observée dans 2 cas. Toutes les tumeurs ont été réséquées. Conclusion : Plusieurs techniques d'imagerie sont utiles au diagnostic précoce de l'adénocarcinome de l'ouraque ; scanner et IRM permettent une cartographie précise des lésions. Mots clés : Génito-urinaire, tumeur maligne
I