scgg&nI qoc ks LHJUla nc mt w kPPu’apasrWuilkpo~IieldcaoissrmccgCnttique.
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D’um~~6lla~1leprCdictio4dcuilkaudtbul
du tikmnt es~ xmblabk & kur milk &gainstanvalsousuai(emcnt.D‘~~kpotcntied de ch,x
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czaxaeh scxuels r5I mod&, saris mctwtn~aIion to&awe psychotogiqw dc la PP csI bonnc. En d&ision de non-u-aikment un c0ntrBle clinique I’AOcstn&&retousks6mois.Iln’ap&s&d~ d’cifn secondaim dcs LHRHa Pow k fonction pmduction. ccci demande g &we confim~? par le
fomlcs peu cvolutivcs. Che4 ks lilka ayanl uric PP, noIre s&ma de prise en charge BXUCI cst k suivant : m B la I.liRH B la premibe Cvaluatia~ pour exclurc une cause p&iph&qbc de pubd plccoce et d&crmina k rappwt pit Wpic FSH. S’il y a uric augmentation dcs gonedofrophincs Ion du Ics~, un ex~l~n ncumradiologiquc (scanmr cF&al ou imagcti par r&onancc magn&iquc) est fniI pour cxctwe uw awnalk intfacIGcnnc mspon.wMe dc In PP. La decision de ~raitmtwR par LHRHe cam prism si la rpilk p&lilt es~ suphitum de plus dc 5 cm B la Itilk cibk. Ccci CSI habiIuelkmcnI asswie P des signcs cliniqucs tl biologiiues d’csuo#nisation marqutsuneavamd’40>2anselunrapponkspies de gonadovophincs 5 46-I IS]. Si le ticement cst debutt. il KI parrsuivi au minimum 2 Ms. Chez les lilks ;yanl uric fotme peu Cvoluliw, k d&&ppemcnl des
cI la cas de et de. de rcrecul.
RBFWNCES
Effete des agonistes de la LHRH SIN les tailles d4flnitives dims les pubertb prkoces et les p&es taillw m enrdocriniennes JC Grel,
J Zellcr,
Lc but du lraitcmcnr frcinaleur par Its agonisIcs de la LHRH dans Its p&et& p&oces cs&wble : inknwnprc lc dtvcloppement pubettairc er ses co&quences psy~hologiqucschezkjcunccnfanI ;pr&enirIartduciion dc taillc fin& lift a I’cxposition ptimaIurte dcs cadilag~s de croissant aux St&ides scxucls. Lcs ef:CIS des anulogucs de la LHRH sur le dtveloppcmcnc pubtrtairc cl la physiologic de l’axe gonadolrope OnI & rapidcmcnt p&is& d&s Let pcPmi&s an&s d’utilisalion de ces products [I .2]. En revanche. Its donnCcs sur la loille &finiIive de ces paIicnIs sont plus rCcenlcs et leur analyse e.sI compliqu& par pluskurx faf!eurs. D’un!pan.ks:l~lsdcjugemusonIpu~f~ sur le plw mdthodologiqw : tille p&We avant t&emen~dontcncon~lesmultiplcscarrscsl’~~lk cible g&nCtique ou comparaison P des gruupcs histori-
M Roger, JL Chaussain
qws d’enfants ayant eu une @c~+ pr6cocc cenlrale. D’auIrc par& ks enfanIs Iraitcs pour uric pub& pn?coce cenvalr conslituent un groupe h&Grog&e, Iant en terme d’Pge dc ddbut qu’en (crme d’tvoluIiviIC. Enfin, ks premiers r&lw p&Q&s ont cower& des patients t&b-s tiivcmcnt pvdcs produio donI I’effet frcinatcur &it incomplet. Cepcndanl, dcs n!sulraIs &ents indiquent qu’unc pa& du d&kit statunl indui t par la pubend p&ccc cst rcs~auti par k mikmcnt frciniueur. En marge de l’utilisarion &i agonistes de la LHRH dans lea pub&s prtcms la l&on largiz~r.: ;;‘j~ due que a plus hard vicnt la p&e& plus on cst grand I) a su5cite des IentaIivcs Ih&peutiques de frcinage de la pub& chet des enfants ayanr un pronc& staeral faible saris pathologic cndoninienne.
EFFET!3 A COURTTERME DES ANALOCUES DE LA LHRH SI.JR LACROISSANCE, LA MATURATION OSSEUSE ET LA S%CtiTION DE GH La freination pubertaire par lea agonistes de la LHRH rakntil la vitesse de croissance qui aueint B partir de la detui&meann6dem&mentdesvaleursnom&svoire basses pour I’8ge. Par exemple, dans un groupe de 26 filles, lavitcasede~ pwede8.6f2.3cmlan avant traitement B SJ*l,8 c&an pendant la premi&e an& et ?I 4.4 k I .4 crrhn ii la fin du titemcnt dont la du& moyenne LXI de 3,9 an&s. Gene diminution de la vitesse de cmissawe est Ii& non seukment aux effec directs des sterdides sexuels sur k cartilage de croissaw mais @lentent B uoe diminution de la s&rCtion d’hormone de croissance. D&s k 6c mois du traitement, la s&r&ion sponlan6e WXmme d’hormone de croissaoce dCcroFl 131, de m&w que la .&r&n induite parks stimuli phannacdogiqws Certairts auteurs ont discuti le tile de I’augmentation & la masse corporelle dam cette diminution de la dc&ion d’bormone ck cmissance (41. TAILLES FINALES DES PATIENTS AITEJNTS DE PIJeER& ?&?OCE CENTRALE Le. dtfcit statural dcs enfants ayani cu une pubertt pr& coce centrale a I%? diverswent app&iC [S]. Dans une ttude pubI& par la Mayo Clinic en 1968 [6]. la tilk finale moyenne de 34 filks &it de 1533 cm (135.8 a 171.5 cm). Si ks signes avaiem commend avant 6 ans, latailklinalen’~taitquedel5l~cm(l35,8;116l~Fm). D’autres etudes [7] on! rappwt6 les &ulta~s chez des enfants uailees par progestatifs, don1 I’effet sur la tailk finaleestconsidtrtannmenul:lalailkfinale&2l~lles trait&s par ac&e de cyprocfrune etait de l53,3 cm. soit-8,5cm parrappm-tBleurtaillecibk.Onpeut done wtimer que la pe* slalurahz induite par une pub& prkoce est de 6 II 7% i-1 I cm) quand ks premiers sips surviennent avant 6 am Ed de 4% (465 cm) quand le &but se situc enbe 6 et 8 ans [ 81. Lcs don&s concemanl les mcms son1 limiti mais la reduction de tailk finale semble plus s&&e que clwz la filk. TAILLES FINALES APRI?S TRA.!lXMENT PAR ANALCGUE DE LA LHRH Paralklenwnt a leurs eft& sur la cmissaoce. les anal* gues de la LHRH r&Assent la ma~urzt~on osseuse d’oG une tilior;rion du rappon age osseux sur age staud d ck la bilk finale @dir [9]. Ccpendans assez
peudert%ullalsontwpubli6ssurleslailks!inaka effectiwment aueintes a@s anakgue de la LHRH. Oans l’hde de Wr ef ol [IO], la tailk finak ou presque finale & 44 enfanta trait& par d&&line souE-cutanCependantunemoyennede4ans&ait& 157fS,9cmchakafdlesetde 168f8Jcmcitezka gqnns. Ceue milk fmal,! etait sup&we de 5.2 cm (fiks) et de 6,7 cm (ganpns) h la taille pn?dile au # but du traitemenL En nwmche. la taille arteintc &it inft?rieure Bla tilk ciblede 6,4 et I2 cm, cbet ks f&s etkagarpmreqeaivementLcsr6su~~p Brwnercral [I I] sontsimilaires,chez I9 filkstmit&s pendant une moyenne de 3, I ans (4e de d&ut du trailemcnt 3,4 g IO.2 an5) et ayant un prono& sfautml initialdel52f1.4cm:la~lk~naleCtaitdel59fl.l cm soit voisinedela tailkciMe(l~,2f5,3cm). Lcs rcSultat.s obtenus par Kauli ef OL [ 121 cbez huit picntes so111 plus dkevanrs, mi chez da patientes ayant un pronostic statural initial plus dcfavorabk : la laiile pr&lhe avant lraitement &it en moyenne de 1453 cm et passe !I 1495 cm B la fin du traitement. La taille finale est en moyenne de El,8 cm soil une We infticurc a la taille cibk panmtale. Kkuer ef al [8] 0111 analy& ks don&es auaologiques de I31 !ilks ua&s dans dix cenhrs diff&ent$ en individual&m les patientes don! les premiers signes &aienr survcnuz avant ou aprir 6 arts. Get ks filksdontlaprberrta~marrCenbc6et8ans,latailk finale (157.5 f 0.6 cm) n’tit pa0 significativement diffdrente de celle d’un groupeconlrbie hiitorique. Par contre, dans les lorows ayant d&d avant 6 ans, la taille finale &ail de 160,4 f I,8 cm, soit +6.5 cm par mppoa au gmupe cootik hinoriquc. Dans une tirie r&me, nous avons observC I4 filks dont I’Age de ~&III pubenaire &tit de 6,3 f I.2 ans. traitt?es par triptorbline pendant 4,s annbes en moyennc. La taille moycnne & la fin du suivi &it de I57 f 8 cm avec un age osseux moyen de 13.2 ans. soit un ponostic statural 2 I62 cm pour la moyenne du grwpe. Les r&sultao sur ks milks d6fmiiives r&llcu (age osseux 2 IS arts &et Ifi lilk~) wnl jnwr I’iww limil& h un suwgrupc de palientes lraittes lardivemerit.
EFFETS STATURAIJX DE LA FREINATION PUBERTA!RE DANS LES PEIITES TA&LEIS NON ENDDCRINlEmES Lcs patients ayanl un d&it gOn+jwopt &Slilti KUdivementconsriwntun mo&k~analyserkscfftu & la caace en dmidcs scxucls wr la tissancc slaIufak [ 13J. !3cuJs la palkIlls substitis par la alxb
&acmep&t’&ede18~sontunttailktinaksqh ricurctk5,6ancnmoycnne~kurtailkcibk,aqui indique que I’impuMsntc a’wgmentc la tailk ftnak qwc’ilblprofondUsuncut~@o@. Municchi l r al [IS] ecu lestc ks ~ffus de la freinatiun puknrin. dan6 un ti aNAM Con& plaCeb0. ~IU I6enfantrdortIkpruaticsUturaiinitiolCtilh I’mbe da 149 cm. rappatrnt uric uugmcntaion du porortk suhml de 7 A 10 cm. Cqr ‘ml, kur suivi s’adte A la fin du milemcnt cl on ignue ri ccltc am& litxaiom du promrrlic sen cOnlirm& w k3 &ull8ts
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In tripordlinc I7 filler dent k prwc& atattual initial tuitdcI~*Icm.AIr~nderZ~ntcsdctrrilemen~ kpmoo4licrilaluJClailunCliorddefu@nmolwe mair rigifKative (IS! f 1.1 cm). Aprbs interruption du IraiWnent. on rrtis8e b une acc&nMion de la mdturati osmsc. sm ScccMion de I8 vilcsse de croissaw. d’& une pcrtc du bcncfw qui wait appnremmerit W oblcnu. CONCLUSIONS Lc Mnkf~~ stalural de I’utilisalifm de-s analogues de la LHRHdanskspubc~&prdFo~~~euppnku!~nt &ident dam lea forma qui d&tent WMI 6 w chez II fdlc. Quad la pubend commence envt 6 CI 8 ans. ks don&s ruxumui&s jusqu’ici sent contrwiict0iru, du fait csrentiellcment de I’hWugttiiti dcs poricn~~ trait& CI des crit&rcs ck jugement. L’analyse dttaill& d’un plus grand nombre d’obscrvations pcrmcltm de pr#ziser Its efkts dcs nnalogues dc lo LHRH dans cc sous-gruupc de palicnts. Darts Its piles ~aillcs idmpathiques, les cssais en COINS dcvraicnt rapidemer.r pxtnct~ de p&%x ks effclc dcs aponistes de la LHRH. Leur utilisation dsns ccttc indicntion doit &rc pour l’insianr CIR limit& aux er.sai\ thtrofwwiques.
RkFkRENCES I Kaplm SL Guti
MM. Clinical review 14: Pdqhymolo-