. . . Rhwnks . . . . . . . . .oh . . . .communications . . . . . . . . . . . . . . . orales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..------------------
MEDICAMENTE USE VOLGNTAIRES (IMV) DE L’ADULTE : ACHBMINEMENT ET PRISE EN CHARGE PREHOSPlTALJERE.C.*. C. Rev’. M. Femdiere**. P .F Deouin”. Lanotte** P Harrv *** D. Perrotin** *S.A.R.B et S.A.U. CHG Blois, l * S.A.U et Reanimation M&dicale CHU Tours, *** CAP Angers. Objectif : Evaluer chez les patients hospitalises pour IMV : le r&au d’ulerte (RA) -centre 1.5 (ls), pompiers (18), medecin de garde (MG), Centre Anti-Poison (CAP); le dihis d’alerte (DA) = entre I’IMV et l’alerte; le dt%i.s de secollrs (DS) = entre l’alerte et l’arrivee a l’hopital; le mode de transport (MT): vehicule personnel (VP), ambulance privCe (AP), pompiem (VSAB); t/- medicalisation Smur. M6thodes : Etude prospective bicentrique - un CHU citadin, un CHG rural- avec recueil de domks chez tomes les IMV admises au S.A.U. ou en reanimation pendant une pkiode de 2 mois. R&rltats : 124 patients, age moyen 37 am, [17-841, sex ratio l/2.3 CHG CHU Total % R4 1.51 14 32 46 37 18* 20 12 32 26 MG 10 14 24 19 INTOXICATIONS
1;’ aR
DA(min.) DS (min.)’ MT*
CAP
0
0
rien
10
10
Smur + Smur AP
2382266 75236 61k43 22 20
161+209 54218 45227 52 8 8
VSAB
0 20 1932236 60~25 52236 74 28 20
0
16
61% 23% 16%
VP 12 * CHG vs CHU : p
q
f’ I
EVALUATION DES PRESCRIPTIONS DE RAOlOGRAPHlE PULMONAIRE ET OES GA2 OU SANG OANS LES INTOXICATIONS VOLONTAIRES JY BREUREC A BAERT J BOUGET A w P LE BEUX JP CURTES Centre Antipoison de Rennes CHR PONTCHAILLOU 35033 RENNES Cedex 9 Objectif: decrire la frCquence de prescription de la radiographia pulmonaire et des gaz du sang chez les intoxiques volontaires admis dans un SAU, les anomalies reperoes et definir les situations oh ces prescriptions sont justifiables. Mithode: pour les 1845 dossiers de malades hospitalises en 1996 pour intoxication voloniaire au SAU il a eta recherche la frequence de prescription de la radiographie puhnonaire, des gar du sang, le nombre d’anomalies repekes. Ces anomalies ont Bte croisees avec les manifestations cliniques et les toxiques en cause afin de determiner quelles symptomatologies ou quels toxiques sont associes a une anomalie. RI5tUltitS:
we traitement
46.2
44
Les situations ob une anomafie a oil reveke sent pour la radiographie pulmonaire la pneumopathia et pour les gaz du sang la pneumopathie, I’asthme, I’existence d’un coma. Conclusion: la radiographie pulmonaire et les gaz du sang ne sont pas prescris de maniere systematique. En dehors des comas air cette prescription est constante, l’intergt diagnostique etfou therapeutique guide la prescription. Une histoire clinique en faveur dune pneumopathie justifie la realisation de la radiographie pulmonaira et des gaz du sang.
Man
Urg 1998 ; 7:118-60
q I’
EVALUATION OES PRESCRITIONS OU IONOGRAMME SANGUIN, OE LA NUMERATION FORMULE SANGUINE ET DE LA COAGULATION OANS LES INTOXICATIONS VOLONTAIRES. JY BREUREC A BAERT J BOUGET A BURGUN P LE BEUX JP CURTES Centre Antipoison de Rennes CHR PONTCHAILLOU 35033 RENNES Cedex 9 Objectikdecrire la frequence de prescription du ionogramme sanguin, de la numeration formule sanguine iNFS Plq) et de la coagulation cher les intoxiques volontaires admis dans un SAU. les anomalies rep&&es, et definir les situations ol ces prescritions sont justifiables. Mlthode: Pour les 1845 dossiers de malades hospitalises en 1996 pour intoxication volontaire au SAU, il a 818 recherche la frequence de prescription du ionogramme sanguin, de la numeration formule sanguine, de la coagulation sanguine, le nombre #anomalies reperoes. Ces anomalies ont BiC croisees avec les manifestations cliniques et les toxiques en cause.afin de determiner queller symptomatologies ou quels toxiques etaient associees a une anomalie. Rkultats: Examen # de prescription % anomalies ionoflramme 93.4 0.7 NFS Plq 82.7 11.7 Coagulation 54.7 1.8 Les situations 00 une anomalie a CtC revelee sont: - pour le ionoflramme :anorexie mentale, rhabdomyolyse, alcoolisme chronique. prise d’anti-inflammatoires non steroidiens, de paracetamol, de diuretiques antihypertenseurs. . pour la NFS Plq: pneumopathie. alcoolisma chronique. . pour la coagulation: alcoolisme chronique,prise d’anticoagulant, de paracetamol.. Conclusion: en dehors des toxiques pour lesquels certaines valeurs biologiques constituent un element du pronostic ou un reflet de la gravite de l’intoxication, les prescriptions du ionogramme sanguin, de la NFS Plq, de la coagulation peuvent gtre reduites et orientees par f’otat clinique du malade ou la therapeutique instauree. Leur caractere quasi systematique n’est pas justifil. L’hemoglucotest pourra gtre largement utilise pour surveiller la glycemie si necessaire.
FACTEURS PREDICTIFS A L’ADMISSION AUX URGENCES DE L’HOSPITALLSATION~RANSFERT EN REANIMATION DES INTOXICATIONS MEDICAMJZNTEUSES (KM). E. Casalino, S. Mhur S. Marrellec, D. Gauthier. A. Ramdani, A Fichelle. Service’ Urgences Mkdecine. HSpital Bichat-Claude Bernard. Paris. Obiectif: &ahter les facteurs predicitifs d’hospitalisation et de transfert en rkanimation des sujets admis aux urgences pour Ih4. Mkthode: tous les patients admis pour IM entre le l/1/96 et le 30/6/96. Les patients ont ete classCs en d’intoxication par benzo, tricycliques, benzo+tricyc, carbamaks, barbituriques, autres. Resultats : 408 IM ont &e recens&s. 115 pts ont etk hospitalids (28.2%) : benzo 33.70/a, benzo+tricycliques 6670/o, carbamates 89%, barbitmiques 67%, autres 22.8% (p=O.O0002). Sent associes aver l’hospitalisation (hospi, non hospi): l’&ge (36.6+15 vs 32.3flO; p=O.O3), le score de MattewRawson (troubles de la conscience, SML) (0.96fl.l vs 0.51ti.79 ; p==O.OOOZ), le mode d’arrivb (samu 15%, ambulance 19%, pornpiers 42%, propres moyens 23% ; p=O.O0002), la nrkessitk de flumaz&ril (16% vs 4.7% ; p==O.O004). 26/408 pts (6.4%) ont et& transfer& en rkrimation : benzo 7.2% benzo+tricycliques 33%, carbamates 44.4%, barbituriques 33%. et autres 3.7% (p=OOO16). Sont signiticativement associes au transfert en reanimation l’&ge (37.8f12 vs 33.8*12; p=O.O5), la frkquence respiratoire (19k5.6 vs 16.7~2.9; p-0.02) la TA systolique (114.5f20 vs 122.2f17 ; p==O.O3), et le SML (l.Sf1.3 vs 0.56kO.8 ; p==O.OOOOOl). 85% des patients avec un SML 12 sont admis en reanimation vs 15% des autres (p==O.O007). Les concentrations en benzo ne sont pas associkes ii l’hospitalisation ni au transfert en &a, par contre les concentrations en tricycliques sont sigoificativement associkes au transfert en reanimation (730*413 vs 165f166 ; p==O.O3). Conclusions : A l’arrivee aux urgences, des critires cliniques simples, tels que le type de produit ingkre, la s&kite des troubles de la conscience, la fiequence respiratoire et la tension arterielle systolique permettent de prevoir un transfert en reanimation.