TRANSLATED
ABSTRACTS
OF ARTICLES IN NUTRITION
NUEVOS ASPECTOS SOBRE LA ETIOLOGIA, BIOQIIIMICA Y TERAPEUTICA DE LA ENCEFALOPATIA PORTO-SISTEMICA. UNA REVISION CRITICA. Hay acuerdo cientifico sobre que la encefalopatia porto-sistemica (EPS) esta causada morfol6gicamente por shunts pot-to-sisttmicos y bioquimicamente por 10s componentes de la sangre venosa portal Se ha establecido una correlation directa entre el grad0 de EPS y la glutamina, el product0 terminal de la detoxicacion de1 amonio. En la EPS, el amonio es probablemente el responsable de todo el daho causado a 10s astrocitos y a las neuronas. Este efecto toxico de1 amonio es debido a la sintesis de glutamina intracerebral. Despues de varios pasos metabolicos, 10s wales han sido discutidos en detalle, todo el daho en las celulas cerebrales esta finalmente causado, de forma directa o indirecta, por un deficit energetico. La hiperamoniemia y la EPS estan bien detinidas, aunque son formas distintas de alteration. Por lo tanto, el amonio no es el I&O factor decisive en la patogenesis de la EPS. Se ha llevado a cabo un analisis detallado y critico de todos 10s estudios sobre el tratamiento de la EPS con aminoacidos. Este analisis revel6 una correlation estrecha y directa entre la dosificacion, tanto cuantitativa coma cuahtativa, de aminoacidos y el grade de EPS. Por ello cabe asumir una correlation dosis/eficacia estrecha y directa. Las aheraciones en la homeostasis de 10s aminoacidos plasmaticos y en 10s neurotransmisores monoaminbgicos cerebrales, son probablemente factores patogenicos importantes de la EPS. Un cofactor fundamental en la eficacia de cada tratamiento adecuado con aminoacidos, podria ser una reduction substantial en la production de amonio endogeno. Las benzodiacepinas fisiol6gicas tambih pod&n jugar un papel importante en la patoghesis de la EPS, cosa que no ocurre con la neurotransmision sinergica de 10s sistemas glutamato y GABA, 10s wales es&r alterados principabnente en la EPS. Se discuten crhicamente la patogenesis establecida y las terapias propuestas, las cuales a su vez e&n estrechamente relacionadas
EVDIJJlION DEL’tiAT NUDUTIONNELET PROFlL DE MORBlDDl?CHEZ DES PBRSGNNl3S&l&S AU’IDNOMES:BlUDEL4WZUDlN.4LESUR 10 ANS. Les apports alimentaims jouent un role important au tours du vieillissement. Darts cette &rule, nous &rivons les modifications de la sante physique observe-s au cows d’une &rule longitudinale sur 10 ans chez des sujets &g&s. Parmi les 304 participants en bonne sant6 inclus dans I’&ude (age median : 72 ans au debut de Wude en 1980) 97 (342%) &aient en bonne sant6 10 am ap&s en 1990; 74 (265%) 6taient affaiblis ou maledes, 54 (19,196) etaient d&4& tandis que 57 (20.1%) Went sortis de l&de. lea femmes qui pr&entaient (en 1980 et 1981) des apports &rg&iques int&ieurs ou supthieurs aux AJR habituelles (25 a 30 kcal/kg) etalent les plus susceptibles de s’atfaiblir, de davenir malade ou de d&&&r en 1990 que celles ayant des apports 6nergetiques cormspoudant aux AIR moyens (< AIR : OR = 3,3, CI : l&8,6; > AIR : OR = 3,4, CI : l,l-10,7). De plus, les femmes dent les apports prot6iques &aient sup&ieurs B la fourchette moyenne de 0.8 a 1,2 g/kg de poids (1,2 B 1.76 g/kg en 1980 et 1981) tendaient a presenter rnoins de problemeS de writ6 au des dix am&es suivautea que celles ayant des apports prot@ies infthieurs a 0.8 g/kg. Cela sugg&re que les besoins prot&ques moyens des sujets gg6s sent sup6rieurs a ceux 6tablis en 1985 par le comite d’experts FAO/OMS. Enfin, la reduction de I’apport 6usrgetique etait plus marq& chez les sujets &es qui sont d&&es ou qui sont sortis de l’&ude il la suite dune maladie.
1997. VOL.
13, NO. 6
vii
GASIR~MIEPERCUT~
ENDOKWIQUE: SUMhONG-lERhtE. la gastrosmmie patwan& endascopique (GPE) est une technique de choix pour l’ahmentation ent6raIe au long coins, mais le suivi a long terme n’en a W que peu &&it? Le but de ce travail &it de suivm des patients sous nutrition en&ale par GPE au long cows et d’baluer lea complications et lea taux de survie. Entre janvier 1991 et juin 1995, nous avons etudie 136 patients (cancer 49%. affections non can&euw 51%; hommes 68% et femmes 32%) ap&s pose dune GPE. Cent vingt-huh patients ont 6te suivis pendant plus de 31 jours. La d&e moyenne de la nutrition par GPE &it de 277 f 358 jours (31 a 1590) 17% des patients ont repris une alimeutation orale, 34% ont poursuivi tine nutrition enterale et 49% sont d&d&. Trois p.cent des patients ont p&sent6 des complications majeures : LIE. pneumopathie d’inhalation, un abc&s sous-cutan6, deux “buried bumper syndrorw”. Quatorze p.cent des patients ont pr&senm des complications tniueures : 8 bouchages de sondes, 4 dt$lacements et six infections du site de GPE. Pour l’ensemble des 136 patients, la probabiht6 de smvie &it de 90.5% a 1 mois, de 52% a 6 mois, de 42% a 12 mois et de 35% B 24 mois. Apr&s 180 jours, la probabihte de survie devenait significativement ditf&ente (p -Z0,02) entm les patients can&reux et non canc&ux. I.am&hawclesurvie&ait de 64% pour les non canctkeux et 39% pour les canc&eux, et cette tendance ne se modifiait pas ap&s deux am.
EIW?TS DE L’.&GEET DU SBXESUR LA MASSEOSSEUSE, IA COMKWDON CORWREUJZ EfLE l&TABDlJSMEhvERG&lDUEC!BFZL’HoMME. Les m6canismes a l’origme du gain de masse grasse & la partie sup&ieure du corps et leurs relations avec la perte de masse osseuse avec l’&ge sont mal COMUS. @atxe groupes de patients (n = 119; 60 femmes, 59 hommes) apparies pour le poids, la taille et I’index de masse corporalle mais differwits pour page (< ou > SO am) et le sexe ont 66 6tudiQ par absorptiom&rie biphotonique (DXA) pour determiner la composition corporelle et par calorin&ie imlirecte Pour &shier le m&abolisme &rerg&ique de repos. Ia masse grasse au niveau du tronc et des bras (p c 0,Oi) mais pas &s jambes augmentah avec l’age chez les hommes, conduisant a une augmentation continue du rapport des masses grasses des parties mp&rieures et in&ieures du corps avec K&e (r = 0,45; p < 0,001). Chez les femrnes, la masse grasse totale demaurai t stable sans influence de I’apparition da la rn6nopause mais il existait une redistribution des masses grasse avex l’&ge(r = 0.43, p < 0,001) avec un rapport de distribution plus &ve chez les fennnes &%!S. masse ma@ totale de tous les segments du corps &ait plus Blev6e chez les hommes que chez les femmes ind@endamment de l’ige (p c 0,001) et plus faible chez les sujets &es que chez les sujets jem i&perxlamment du sexe. Chez les hommes, mais pas chez les femrnes, la masse maigre au niveau des memhres diminuait avec Kge (r = 0.57, p < 0,001) tandis que le rapport masse grass&nasm maigre augmentait. Le contenu mineral osseux (CMO) &ah con+16 avec la masse grasse chez les femmes quel que soit l’&ge et chez les hommes jeunes, mais pas chez les hommes &g& Avec l’avanc& en sge, la proportion de la masse maigre rep&sent& par le tissus osseux diminuait chez les femmes (r = 59, p -Z 0,001) mals pas chez lea hommes. La d&pause &rerg&ique de base diminuait avec I’&ge dans les deux sexes. L’oxydation des prot6ines et des glucides 6tait comparable dam tous les groupes. L’oxydation des lipides globale et par kg de masse ma&e diminuait avec I’gge chez les hommes ( r > 0.36, p < 0,Ol) mais pas chez les femmes, alors qu’elle augmentait paralIi?lement B la masse grasse chez les femnuw (r = 0,61, p < 0,03), mais pas chez les hommes. Au contraire, l’oxydation lipidique par kg de masse grasse diminuait parallelement a la masse grassa chez les hommes (r = 0,61, p < 0,001) mais pas chez les femmes. Nos r&ultats sugg&ent que le vieillissement affecte dit&amnss.nt la composition corporelle et le m&abolisme &erg&Iue en fonction du sexe. Cela conduit it une r&h&on de l’oxydation des lipides, a accumulation de massegrassedanslapartiesu~~ducorpsetB”nepectedemuscle squelettiqw chez les hommes. Chez les femmes, il se produit une augmentation du rapport des masses grasses des parties sup&ewes et int&iaures du corps et une perte osseuse, cette deruike &ant tbnction de la masse grass& La