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Communicanons
Fibrose X Br&hignac’,
laWale E Oziol’,
du cou : trois observations A Le Quellec’,
D&rite en 1975, la fibrose lat&ale du cou (FLC) est une affection rare, dont le diagnostic est dilicat et le traitement non codif%. II s’agit d’adultes jeunes, un homme de 23 ans et deux femmes de 20 et 43 ans, dont deux ont eu un traumatisme cervical dans les 3 mois pr&dents. Le mode de r&Zlation est une masse lat&ocervicaie, avec trismus dans un cas, et atteinte des necfs IX, X, XI et XII dans un autre cas. 11 existe dans les trois cas un syndrome inflammatoire biologique saris ti&re. La thyroi’de est normale dans les trois cas. L’imagerie par rf%onance magnktique nuclkaire montre dans deux cas des l&ions fibrosantes engamant la carotide interne. Le diagnostic est affirm6 par biopsie chirurgicale avec examen anatomopathologique confirmatif, et immunomarquages nkgatifs. Les cultures de mycobact6ries sont stkriles. Ces FLC sont isolkes, saris atteinte mkdiastinale ni r&trop&iton6ale. Une corticoth&apie a& prescrite dans les trois cas, avec reponse immtiiate dans un cas et &hec dam ies deux autres, justifiant
Homocystkine P Mercib’,
: Dix-neuf patients s6lectionn& sur leur jeune ??ge (14 hommes et cinq femmes. ige median : 40 ans), saris facteur de risque vasculaire identifit? (dyshpid&mies. HTA, diabkte).
Coronariens test posinf (/I = 8) Coronariens test n&&f (!I = I I) Tkmoins (!I = 2/) */J < 0.00s
: *zs p < 0.00l
JL Dupond’
le recours au cyclophosphamide qui permet la gu&ison avec 15 ans de recul dans un cas, et au mkthotrexate qui stabilise les l&ions dans le dernier cas. Les FLC appartiennent aux fibroses systkmiques idiopathiques dont elles partagent les caractkres anatomiques : absence de malignit histologique ; potentiel kvolutif s&&e avec envahissement des organes nobles de voisinage : vaisseaux. nerfs, muscles... ; topographie volontiers p&u&ielle faisant actuellement discuter la responsabiliti d’une art&ite initiale dans leur pathogknie. Leur 6volution est chronique, marqu6e par les difficult& du traitement, comme en atteste l’absence de consensus thkrapeutique en cas de corticorksistance.
lService de midecme inleme et immunologic chmque, h6pi&/ JeanMinjoz, 3, bd F/eming, 25030 6esangon cedex ; 2sewice de m6decine deme, CHU Montpe//ier, hepita/ Saint-g/o;, 2, avenue Ben%-San& 34295 MonpeKer cedex 5, France
et coronaropathie P LeMetaye?,
L’homocyst6ine (HCy) est un acide amin soufrt? intervenant dans le m&abolisme de la mkthionine. L’hyperhomocyst& n6mie (hyperHCy) plasmatique est un facteur de risque vasculaire independant qui doit actuellement .Stre pris en consid& ration. Le but de notre etude est d’exposer les r&ultats de la recherche d’une hyperHCy chew des sujets coronariens jeunes. Putients
AJ Ciurana’,
P Gosse*,
avant 40 ans
F Parrot3, C Conri’
ont eu un dosage de I’HCy plasmatique h jeun et 6 heures apr&s test de charge ?I la mkthionine (100 mg/kg de poids). Les fonctions hkpatiques et r&ales 6taient normales. Les r6sultats ont t%6cornpar& 2 21 sujets tkmoins sains non coronariens (I 2 femmes et neuf hommes, Sge mkdian : 3 1 ans). R&druts : L’HCy 2 jeun est consid&?e comme &lev&e si le taux est > 10,5 pmol/L (moyenne + deviation standard) et I’HCy apres charge si le taux est > 40 pmol/L. Huit patients sur 19 (42 70) ont un test positif, 11s ne sont pas diffkrents pour l’%ge, I’IMC et la consommation de tabac des I 1 autres patients ayant un test negatif (58 %). Cwc!w~~n : Dans notre s6rie de sujets coronariens jeunes, une hyperHcy est frkquente et nkcessite d’ztre recherchke par un test de charge en mkthionine. L’HCy 2 jeun n’est, Zi notre avis, pas suffisamment discriminante. En effet, mgme si I’ HCy est en moyenne plus klevee, quatre patients sur huit ont un taux de base normal (< 1OS pmol/L). lSe~ice de mkdecine inteme ef patbo/og/e vascdaire, zservice cardio/ogie, h@ifa/ SainFAndG ; 3/aborato~re de chromatographie, hhpifa/ Pekgrin. 33075 G-W 6ordeaw Ffance
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