Iatropathologie chez le sujet âgé.

Iatropathologie chez le sujet âgé.

356 disciplinaire au sein d’equipes methodologiquement et au fait tations europeennes relatives ment des mtdicaments visant pathologies et les symptom...

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356 disciplinaire au sein d’equipes methodologiquement et au fait tations europeennes relatives ment des mtdicaments visant pathologies et les symptomes avec l’avande en age.

Comptes rendus de reunion bien formees des reglemenau developpea corriger les apparaissant

Pharmacologic des demences et neurophysiologie clinique. J.M. GuCrit (Cliniques universitaires Saint-Luc, UCL Louvain-enWouwd, Belgique). Le choix d’une strategic neurophysiologique optimale doit &tre guide par la physiopathologie. Trois types de travaux fondamentaux permettent de prevoir les anomalies neurophysiologiques associees aux deficits cholinergiques centraux dans la maladie d’ Alzheimer : - une denervation cholinergique focale du cortex cerebral favorise l’apparition d’activites lentes dans ce foyer. Elle justifie le recours aux techniques d’analyse frequenticile et cartographique de I’EEG ; - les ondes P300 et la VCN sont modulees par le systeme cholinergique : I’apparition d’une P300 serait permise, entre awes, par une inhibition du systeme reticulaire activateur par le systbme septo-hippocampique lors de la detection d’une adequation entre le but et l’action ; - I’acetylcholine est presente au niveau retinien ; une denervation cholinergique peut d&s lors entrainer des alterations des potentiels Cvoques visuels. Une dissociation entre PE visuels normaux a l’echiquier et pathologiques au flash a et6 proposee comme critere de maladie d’Alzheimer debutante. Plusieurs precautions methodologiques doivent &tre prises en vue d’introduire ces tests dans la pratique courante : choix des groupes de reference, problbmes inherents a la definition de standards diagnostiques et a l’identification des composantes de la P300, existence d’anomalies neurophysiologiques dans la depression.

Iatropathologie chez le sujet IgC. 0. SaintJean (Service de gkriatrie, hdpital europken Georges-Pompidou, Paris, France). En depit d’une litdrature abondante consacree aux accidents iatrogenes chez les malades

ages, peu de donnees concernent specifiquement les sujets demerits. Or, ceux-ci sent au centre de ces accidents iatrogenes compte tenu des types de medicaments consommes et des troubles cognitifs qui pourraient constituer un facteur de risque majeur. On tvoquera les specificit& geriatriques des effets secondaires induits par les medicaments utilises dans les demences ou ce qui dans certaines formes de demences expliquent des accidents particuliers. Mais plus specifiques sont les chemins des accidents iatrogenes en geriatric, et l’on insistera sur le role de facteurs facilitant que representent les troubles cognitifs. Six facteurs principaux doivent &tre CvoquCs : - tenir compte de I’atypie semeiologique des situations morbides des malades ages ; - savoir ne pas tout traiter et hierarchiser les priori& ; - respecter les specilicites de la phannacologie du grand age ; - tenir compte des modeles de morbidite geriatrique ; - Cvaluer le rapport benefice/risque en terme d’esperance et de qualite de vie ; - savoir remettre en cause les prescriptions a chaque renouvellement de traitement. Des politiques de prevention des accidents iatrogenes chez les malades dements sont tout a fait modelisables mais tardent a etre mise en place.

EEG expbrimental et variations des rdponses pharmacologiques en fonction de I’Lge. C. Sebban, B. Tesolin-Decros (Luboratoire de biologie du vieillissement, hdpital Charles-Foix, 7, avenue de la Re’publique, 94205 Ivry-sur-Seine cedex, France). L’etude du vieillissement du systeme de regulation noradrenergique chez le rat a CtC abordee en comparant les modifications EEG induites par differents reactifs chez des animaux LgCes de 8 mois (adultes) et 22 mois (ages). Au niveau presynaptique les produits administres ont et6 la clonidine (0,005 et 0,Ol mgkg i.p.), la yohimbine (O,l, 0,25 et 0,5 mg/kg i.p.). A ce niveau presynaptique les resultats montrent, chez les animaux ages, un effet plus important de l’agoniste a2, moindre de l’antagoniste a2, et une inhibition plus