IHE : standardisation des échanges en radiologie

IHE : standardisation des échanges en radiologie

myélinisation. Ne pas hésitez à refaire une IRM après la fin de la myélinisation. Mots clés: Encéphale - Pédiatrie - Bonnes pratiques 16 h 40 Durée:...

160KB Sizes 3 Downloads 44 Views

myélinisation. Ne pas hésitez à refaire une IRM après la fin de la myélinisation. Mots clés: Encéphale - Pédiatrie - Bonnes pratiques

16 h 40

Durée: 20 minutes

DE LA SITUATION CHRONIQUE A LA SITUATION AlGUE (RETARD PSYCHOMOTEUR ET DEFICIT NEUROLOGIQUE AIGU) B Husson Le Kremlin-Bicêtre - Fronce Correspondance: [email protected]

Objectifs: Connaître l'indication de l'IRM et connaître sa rentabilité diagnostique dans deux pathologies de présentation opposée, le retard psychomoteur (RPM) et le déficit moteur aigu. Connaître les principales anomalies retrouvées. Points clés: Dans le RPM, l'IRM n'est pas systématique, sa valeur diagnostique est faible. Dans le déficit moteur aigu, la réalisation rapide de l'IRM recherche un accident vasculaire artériel. Résumé: Le RPM est un motif fréquent de consultation. Les étiologies sont multiples. L'IRM n'est pas un examen de première intention. Son indication est posée après un examen neurologique (recherche de dysmorphie, anomalie du périmètre crânien ou déficit neurologique) et général (taches cutanées évocatrices par exemple). Un caryotype et des examens de biologie moléculaire permettent égaIement de poser des diagnostics comme le syndrome de l'X fragile pour lesquels l'IRM est inutile. En cas de RPM isolé, la rentabilité diagnostique de 1'IRM est faible. Elle peut montrer des malformations du corps calleux, du cortex ou du cervelet, des anomalies de signal de la substance blanche et surtout des anomalies peu spécifiques comme une visibilité accrue des espaces de Virchow Robin. A l'inverse, le déficit moteur aigu révélant dans la majorité des cas un accident ischémique artériel est rare. L'IRM doit être réalisée rapidement pour confirmer le diagnostic et apprécier l'étendue des lésions. Elle permet de rechercher une pathologie vasculaire causale (dissection, artériopathie aiguë transitoire, moya... ). Dans des cas plus rares, l'IRM peut montrer des lésions de type inflammatoire révélant une sclérose en plaque. Mots clés: Encéphale - Pédiatrie - Bonnes pratiques

17 h 00

Durée: 20 minutes

ANOMALIES DE CROISSANCE ET EXPLORATION HYPOPHYSAIRE N Girard, S Pineau, F Chapon Marseille - Fronce Correspondance: [email protected]

Objectifs: Connaître les principales causes de retard de croissance. Connaître les principales causes de puberté précoce. Savoir réaliser une IRM hypophysaire en tant que partie du système nerveux central. Points clés: L'exploration hypophysaire des anomalies de croissance d'origine centrale doit inclure la région hypophysaire, la région pinéale et le parenchyme cérébral. L'exploration hypophysaire doit chercher les causes tumorales. La cause tumorale principale d'un retard de croissance est le craniopharyngiome. Les causes tumorales principales d'une puberté précoce sont les gliomes, hamartomes du plancher du V3, germinomes et tumeurs pinéales. Résumé: L'exploration radiologique hypophysaire en dehors de l'urgence est représentée par l'IRM. Celle-ci est réalisée en séquence sagittale Tl, T2 en coupes fines et 3D Tl Gadolinium. S'il existe une pathologie tumorale de la ligne médiane, une acquisition Tl sagittale Gadolinium doit aussi être réalisée dans le plan du canal spinal (afin de rechercher une dissémination). Les causes de puberté précoce d'origine centrale sont multiples et incluent: tumeurs intracrâniennes, radiothérapie; Hydrocéphalie: malformation, acquise séquellaire (méningite néonatale) ; traumatisme: périnatal, autres; infections: méningite (tuberculose, bactérienne), encéphalite, toxoplasmose,

syphilis; autres: McCune-Albright, NFl, Bourneville, Russell-Silver, hypothyroïdie, épilepsie; idiopathique: sporadique, familial. Les tumeurs à rechercher sont les gliomes, hamartomes du plancher du V3, germinomes et tumeurs pinéales. Les causes centrales de retard de croissance sont aussi multiples: idiopathique: sporadique (isolé ou associé à d'autres déficit anté-hypophysaires), familial génétique (isolé ou panhypopituitarisme) ; malformations: dysplasie septo-optique de De Morsier, fentes faciales, holoprosencéphalie, méningo-encéphalocèle sphénoïdal, aplasie-hypoplasie hypophysaire; tumeurs; traumatisme, infections: méningite bactérienne, encéphalite virale; hypophysite ; radiothérapie. La tumeur à rechercher est le craniopharyngiome. Mots clés: Hypophyse - Pédiatrie - Bonnes pratiques

17 h 20

Durée: 10 minutes

DISCUSSION GENERALE: RECOMMANDATIONS DE LA SFIPP ET DE LA SFNR

IHE: standardisation des échanges en radiologie Séance organisée par le groupe de travail SFR-4i et le GMSIH

Responsable: Philippe Puech

Objectifs pédagogiques Mieux comprendre ce que signifie IHE et à quoi cette initiative se dédie. Savoir quels profils il faut demander aux constructeurs pour garantir l'interopérabilité des équipements radiologiques. Découvrir les orientations technologiques qui participent au développement d'un dossier commun en imagerie.

Modérateurs: Philippe Puech, Bernard Gibaud 16 h 00

Durée: 20 minutes

IHE - PRESENTATION - NOUVEAUTES EN 2008 EPoiseau Rennes - Fronce Correspondance: [email protected]

Objectifs: Rester informer sur les développements d'IHE. Connaître les nouvelles en matière de maturation d'IHE au niveau international. Savoir quels nouveaux profils d'intégration peuvent être demandés aux fournisseurs lors de la rédaction d'appel d'offre. Points clés: On retiendra qu'IHE Europe tout comme IHE international ont maintenant une structure juridique. lHE continue de développer de nouveaux cadres techniques afin de répondre à la demande des utilisateurs avec notamment un profil sur le suivi de la dosimétrie. IHE développe également des outils de test et s'est engagé à les mettre à disposition des vendeurs et des utilisateurs. Résumé: En résumé, IHE est toujours d'actualité, permettant une meilleure interopérabilité des systèmes de santé. Pour le radiologue, IHE permet non seulement une plus grande disponibilité des données utiles à la réalisation de son acte, mais également une diffusion facilitée de son diagnostic. Mots clés: Normes - Recommandations

1319