TRANSLATED ABSTRACTS OF ARTICLES IN NUTRITION 1998, VOL. 14, NO. 2
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FNRJCIgBBNARGR.gNB,ACID!SS GRAS o-3 BT NUCi&TtDBS SIJR IJ3 SYNDRGMB W R&GNSE INHAMMA’TOIRBSYSB?hiIQUR BT LB SYMXGMB DE D&WANCB MULTMSCPRALE. But du travail : Evahter I’intluerkce dune nutrition en&ale enrichie en arginine, acidea gras o-3 et nucl6otides (Impact@) sur la tr@ence de syndrormde&ponsein&mmato Ire systemique (SIRS) et de d6wlance multivisc6rale (MOF) chez des patients s&Arennmt agreas6. M&bode : Treme-deuz patients (ISS 220) ont 6t6 inchts darts cxatte&t&s prospective, contnWe, randomis&, en double aveugle. Les critAres principauz 6taient la fr6quence & SIRS et de MOF. Ies c&Ares secondaims Went les pammAnes de la r6pon.w intlammstoire et immunitaire, la fr6quem dss infections, la mortalit et la d&e d’hospitalisation. Vingt-neuf patients (trait& : n=16; contr6les : n=l3) ant & retemts pour l’analyse statistique. RCsultats : Darts le groupe trait& le nombre de jours SIRS par patients &ah significativement diminuk au cours des 28 jours de suivi. Cette difference &it plus particuhArement matquke entre le 8” et le 14” jour (p
?? INFLUENCE DES ACJDBS AMIN& SUR LA
STABiLll% DE L’ACTDE ASCORBIQUE DANS LES -FOURNUIWIlONPARBNdWE nYrAIE. Cette &I& h&e la stabilitk de l’acide ascorbique et de son d&iv6 I’acide
W INFLUFNCE DES: TKWI&ROIS
SUR L4 PEROXYDA’IIONDES IblUSIONS LIPlDlQWSIh7RAVElNELJSESDANSLE.S-DBNPT. J_e contem en tocoph6ml a 6th d&em& da116 4 emulsion9 lipidiques
commerciales Abase d’huile de soja. Une &hode HPLC sur colomre dial a 6t6miseaupointpourlaquamiticatioudesisomAmsdntocoph#m1dansces 6mulsions. La cotwntmtion en peroxydes a W &ah& par une m#mde iodotmkique et le pH a W mesur6. Lea concentrations initiales de tocophknl : 17-23mg!l, g : (Toc)de3des46mulsionsA2O% 6taientdumAmeordre(a 4 mg/l, y : 88-129 mg/l, 6 : 4044 agIl). IA qua&me avait un contemt plus lev6 en a-Tee (172 mg/l) du fait d’une suppl6mentation au tours de la ~~A~conservationenpocbeEvApendant34j~A4(pC,A I’abri de la lumi&e, une 6mulsion lipidique A 20% non enricbie en Tot pkmte un contemr en peroxydes de 9,18 mmoul (environ 450 fois plus que dans les 6mulsions contrks comervkes en &con de verre) avec en pa&Ale une~ondesw~tiom~im~&Toc(a:61,6%, y : 86,5%, 6 : 88.9%). La compamison des activites anti-ozydantes entre 6mulsiom de contenusditXrentsena-Tot apidem@ 20% : 156.29 m@l vs Intralipi~ 20% : 8,7.5 mg/l) montre que celle au contenu le plus 6lev6 en a-Tot pr@ntait une perozydation significativement plus 6lev6e (33.63 vs 6,3 mmohh pO.001) et une. d&ompositionxcrue de I’a-Tot (51,696 vs 8,7X). Cela &it ass&6 Aune diminution plus importaw du pH (1,9 vs 1,O unite pH). Aim& A la difikmce de l’activit6 amioxydante des concentmtiom habituelles da-Tot (20 mgQ dans les 6mulsion.s lipidiques A 20%, une. suppHmentation Aune concentration de l’ordre de 160 mg/l induit un effet pro-ozydant lorsqw les 6mulsions sont conserv&s en pocks EVA.
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d&ydrcewnbique, dam lea m&urges pour nutrition parent6rale totale (NFQ. L’intluerw du type de poche et des solutions commercr‘ales dkcides amines surladegradation&I’acideascorbiqueAeteevalueeAI’aided’une~~ HPIC. La stabiiite de l’acide ascorbique 6tait nwilleum dans les poches muhicouches par rapport aux pochea EVA. Les r&uhats imiiquaient, dam lea pocks muhicouches, une d&dation i&ale rapide plus @ortame darts lfe m6langes pour NPT contenant des acides amines, sans dimhmtion de I’activit6. Au contraire, la d&adation dam les m&ngea contenant des agents r&lwteurs (Vamine 14 et F&mine III 85%) &ait in&iente A 10%. L’acide d6hydmexorbiquedontladegradstionestparagAleAcelle de Wide asmrbique contribue AI’activit6 vitaminique totale. La~ondeI’acideascolbiqueetdeaon~~6tait~~en~~ d’ah darts lea poches multicouches. Nous en conchtom que lea m4langes pour NPT p&par& en poches muhicouches peuwnt Atre somnis A une conservation plus longue surtout si la solution d’acides ami& contient des agents nkiuctems. Cela est principakment Ii6 Al’effet teni& de la poche visA-vis de I’oxygAm, re+tonsable de I’oxydation de I’acide asunbique. Les m&mges consew& en poches EVA devraient 6tre utili&s darts les 2 A4 jours suivant leur p¶tion, en fonction de la solution d’acides amh& utihs&.
Nutrition 14:v-viii, 1998 OElsevier Science Inc. 1998 Printed in the USA. All rights reserved.
ELSEVIER
PQuP&IGUBP.~R~~ON: Bwix~x~&wwr ALB~LBIAPIN. Cette &ude avait pour but & &pot&e auz &uhats contradictoires dea &ales cliniques sur 1’etXe.t de la dilution sur le d6veloppement de phl6bites. Deux s&es d’ezpkiences ant 6t6 r&Ii&es chez le lapin avec des cot&ions de perfusion variables. Dam la premiere, les lapins ant mcu une pafusion daus une veine de l’oruille pendant 12 heurea soit de 120 ml/kg d’une solution A (784 mGsm&g; 10 ml&h) soit de 144 ml/kg de cette solution diluke A82% (648 mOsmkg; 12 ml0rg.h). Dans la seconde, les animaux ant mu pendant 24 heures soit 120 ml/kg d’tme solution B (718 mGsm&g; 5 ml/kg.h) soit 168 mlkg de cette solution dihtk A 72% (514 mOsnakg; 7 mbkgh). Lea veines ant W pr6leveeS 24 heures aprAs I’arr& de la perfusion et soumises A un ezamen histopathologique. AprAs 12 heures de perfusion, et pour des quantitds comparables de nutriments perfues des mcdifications des vaisseaux 6taient observks chez 6 des 8 lapins recevant la solution A, mais settlement chez 1 des 8 lapins recevant c&e solution dih&. AprAs 24 heums de perfusion, des modifications &aient observks chez 6 des 8 lapins rexvant la solution B mais pas chez ceuz recevant la solution dihsk Aimi, la dilution r&kit ou supprime lea aR6rations vascu&ea quelles que soient les conditions. Ces r&hats n&rent que I’osmohdit6 de la solution perfusk est unfacteurimpmtamdud6veloppewntdephMbitesindependammentdela vitesse et du volume de perfusion; de plus, la dilution eat un moyen effectif pour diminuer le risque. de phHhite induit par la perfusion.
0899-9007/98/$19.00 PI1 SO899-9007(97)00463-2