10 h 5 0
Durée : 7 minutes
ROLE DE L'IMAGERIE DANS LE SUIVI POST-THERAPEUTIQUE APRES ULTRASONS FOCALISES (ABLATHERM) DU CANCER DE LA PROSTATE. ETUDE PROSPECTIVE AVEC CORRELATION ANATOMO-PATHOLOGIQUE
11 h 10
Durée : 7 minutes
INTERET DU DOPPLER COULEUR DANS LE DEPISTAGE DES FOYERS TUMORAUX RESIDUELS APRES TRAITEMENT HIFU DE LA PROSTATE : AllENTlON A L'HORMONOTHERAPIE
C ROY, B SAUER, S TETEKPOR,H LANG,C SAUSSINE STRASBOURG- FRANCE
O Rouviin~,F MÈGELECHEVALLIER, JY CHAPELON. A GELET, R BOUVIER,F BOUTITIE,D LYONNET LYON - FRANCE
Objectifs : Définir le rôle de 1'EER-Doppler et de I'IRM-ER après traitement par ultrasons focalisés. Corrélation avec l'anatomopathologie des biopsies systématiques. Matériels et méthodes : Vingt-cinq patients (42 examens) traités sur une période de 2 ans explorés à titre systématique en EER-Doppler et IRM-ER (3 plans SpT2, EGTl axial dynamique Gd) tous les 6 mois et PBP à 6 et 12 mois. Les PSA variaient de 2 à 5 nglml. Corrélation topographique entre l'imagerie et les résultats anatomo-pathologiques des PBP. Résultats : Neuf patients avaient une PBP positive. Les PBP négatives ont révélés une nécrose ischémique étendue. En EER-Doppler et IRM-ER, la loge de résection était bien visible et le parenchyme restant hétérogène de façon diffuse avec vascularisation anarchique à l'examen Doppler et prise de contraste modérée diffuse en IRM-ER. Trois zones circonscrites hypoéchogènes hype~ascuiariséessuspectes en EER-Doppler dont 2 positives en PBP. En IRM-ER, 8 nodules suspects en hyposignal SpT2 et hype~ascularisationintense dont 7 PBP positives. Les localisations tumorales n'étaient pas superposables à celles de la période diagnostique initiale. Conclusion : L'IRM-ER est l'examen le plus sensible pour détecter une récidive ou la persistance de tissu tumoral après ultrasons focalisés. Les éléments séméiologiques sont identiques à la période préthérapeutique. L'aspect hétérogène diffus est banal. "'Mots clés : Prostate - IRM, tumeur maligne
Objectifs :Evaluer l'intérêt du Doppler couleur (Dc) pour guider les biopsies de prostate après traitement par ultrasons focalisés de haute intensité (HIFU) de la prostate. Matériels et méthodes :Des biopsies de prostate sous Dc ont été réalisées chez 82 patients traités par HIFU transrectaux 2-24 mois auparavant. Vingt-quatre patients avaient reçu une hormothérapie avant le traitement HIFü. Un score Doppler subjectif a été donné à tous les sites biopsiés (O =pas de flux ; 1 = flux minimal ; 2 = flux suspect). Les résultats du Dc ont été comparés aux résultats des biopsies. Résultats : Le Dc était un prédicteur significatif des résultats de la biopsie en analyse univariée et multivariée site par site. Cependant, seulement 36/94 sites avec cancer résiduel ont été diagnostiqués en Dc (score de 2). Un Dc négatif ne doit donc pas empêcher la réalisation de biopsies randomisées. Il y avait une interaction significative entre les performances du Dc et les antécédents d'hormonothérapie. Le Dc était un prédicteur significatif et indépendant des résultats de la biopsie en l'absence d'hormonothérapie (odds ratio : 4,4 ; IC à 95 % : 2,5-7,9 ; p < 0.0001) mais pas en cas d'antécédent d'hormonothérapie (odds ratio : 1,3 ; IC à 95 % : 03-3,4 ; p > 0,s). Conclusion :Les biopsies de prostate guidées par Dc sont un apport utile aux biopsies randomisées post-HIFU mais uniquement chez les patients qui n'ont pas reçu d'hormonothérapie. " w Mots clés : Prostate - IRM, tumeur maligne - Radiothérapie
11 h o 0
Durée : 7 minutes
INTERET DE L'IRM DYNAMIQUE DANS LA CARTOGRAPHIE DE LA RECIDIVE LOCALE DU CANCER DE PROSTATE APRES RADIOTHERAPIE : CORRELATION AUX BIOPSIES
11 h20
Durée : 7 minutes
O ROUVIERE,O VALETTE, S GRIVOLAT, C COLIN-PANGAUD, R BOUVIER, JY CHAPELON, A GELET, D LYONNET LYON- FRANCE
CURE D'INCONTINENCEURINAIRE D'EFFORT PAR VOIE OBTURATRICE : RESULTATS PRELlMlNAlRES DE L'IRM POUR APPRECIER LE POSITIONNEMENT DE LA BANDELETrE P FERNANDEZ(1), Y ANSQUER (2), PF CECCALDI (2), L MANDELBROT (2), C CHAPRON (1), E SCHOUMAN-CLAEYS (1)
Objectifs : Evaluer I'IRM T2 et I'IRM dynamique dans la localisation des récidives locales du cancer de prostate après radiothérapie. Matériels et méthodes : Vingt-deux patients avec une récidive biologique après radiothérapie ont été explorés par IRM T2 et dynamique de la prostate. La séquence dynamique (30 secondes) a été répétée 3 fois après injection de Gadolinium. Tous les patients ont ensuite eu des biopsies de prostate. Les images IRM ont été interprétées par 3 lecteurs. Les résultats IRM et biopsiques ont été corrélés dans 10 secteurs prostatiques (les 6 sextants, les 2 zones transitionnelles et les 2 vésicules séminales). Résultats :Les biopsies ont montré une récidive dans 631147 secteurs prostatiques (19 patients). Les données T2 et dynamiques étaient concordantes avec les résultats des biopsies dans 81-95 et 107117 secteurs prostatiques respectivement (p < 0.001 et p < 0.01 pour les lecteurs 1 et 2, non significatif pour le lecteur 3). L'agrément interlecteur était meilleur pour les images dynamiques (K= 0.63-0.70) que pour les images T2 (K = 0.18-0.39). Les volumes tumoraux calculés sur les images IRM et le pourcentage d'invasion des biopsies étaient significativement corrélés chez les 3 lecteurs pour les images dynamiques mais chez un seul lecteur pour les images T2. Conclusion :Après radiothérapie de la prostate, les images dynamiques sont mieux corrélées aux résultats des biopsies que les images T2. Mots clés : Prostate - Doppler, tumeur maligne
Objectifs :Evaluation de l'Rh4 pour la visualisation et l'étude des posées par voie rapports anatomiques des bandelettes de ~elvicol@ trans-obturatrice pour incontinence urinaire d'effort afin d'en déduire les risques opératoires éventuels. Matériels et méthodes : Exploration IRM pelvienne en pondération T2 dans les 3 plans de l'espace chez 12 patientes de 52 ans d'âge moyen traitées par bandelette sous urétrale de Pelvicol@ par voie trans-obturatrice avec un délai moyen IRM-chirurgie de 3 mois. Résultats : La bandelette de ~elvicol' sous urétrale a été vue dans 100 % sous la forme d'un hyposignal T2. Cette bandelette était située en moyenne à 14 mm du col vésical. Au niveau du trou obturateur, la bandelette était située 18 mm en dessous et 32 mm en dedans par rapport au pédicule vasculaire obturateur. La bandelette était située à une distance moyenne de 43 mm en dedans des vaisseaux iliaques externes. Enfin, la distance entre le bandelette et les parois latérales de la vessie a été mesurée en moyenne à 10 mm. Conclusion : L'IRM permet la visualisation et l'étude précise des rapports anatomiques des bandelettes sous urétrales de type PelvicoE et confirme la sûreté de la voie transobturatrice vis-àvis des risques de plaies per-opératoires en soulignant le risque éventuel de plaie vésicale. Mots clés : Voies urinaires - IRM
(1) PARIS- FRANCE, (2) COLOMBES - FRANCE