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La biologie de l’épilepsie vue de l’ordinateur
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La biologie de l’épilepsie vue de l’ordinateur La biotech Rhenovia Pharma (Mulhouse) spécialisée en biosimulation appliquée à la recherche de médicaments, annonce le premier simulateur des mécanismes biologiques de l’épilepsie, permis par l’informatique, qui ouvre sur de nouveaux antiépileptiques et l’identification des risques convulsivants de médicaments ou de l’environnement. Le simulateur est développé par le consortium RHENEPI initié par Rhenovia, labélisé par les pôles de compétitivité Alsace Biovalley et Lyonbiopôle. RHENEPI réunit aussi la biotech SynapCell et les équipes des Drs Antoine Depaulis (Institut des neurosciences de Grenoble/GIN) et Laurent Fagni (Institut de génomique fonctionnelle/IGF, Montpellier). Le simulateur modélise les mécanismes biologiques qui génèrent le signal interneuronal et simule le dysfonctionnement générant la crise. Il devrait contribuer aussi à la prévention des phénomènes épileptiques et à la découverte de traitements, permettre d’iden-
tifier des combinaisons médicamenteuses plus efficaces et plus sûres, d’accélérer le développement de nouveaux traitements (simples ou combinés) et de prévenir les risques d’épilepsie dus à l’environnement et à leur interaction : aliments, boissons, médicaments, polluants… «Le développement d’un simulateur informatique de l’épilepsie constituait un véritable défi scientifique, technologique et médical», dit le Dr Serge Bischoff, PDG de Rhenovia, directeur du programme RHENEPI. « Il a été relevé avec succès grâce à la conjugaison des talents au sein d’un consortium pluridisciplinaire, et au financement de l’Union européenne, de l’État, de la Région Alsace et des entreprises impliquées ». Ce simulateur représente un espoir pour les patients, tels ceux qui sont/ seront résistants aux traitements. Environ 30 % des patients répondent mal aux traitements, alors « il est trop souvent nécessaire de recourir à l’association de traitements, au risque de cumuler des effets indésirables sérieux », dit le Dr Laurent Vercueil, neurologue (CHU de Grenoble), secrétaire général de la Ligue française contre
l’épilepsie. « La biosimulation validée par des expériences sur modèles animaux d’épilepsie reconnus permet de vérifier rapidement certaines de nos hypothèses et surtout d’en formuler de nouvelles», explique le Dr Antoine Depaulis, directeur de recherche INSERM, directeur de l’Équipe Épilepsie au GIN. « Audelà de la mise au point de nouveaux traitements de l’épilepsie, la biosimulation est un atout considérable dans la réflexion sur la physiopathologie des formes d’épilepsie pharmaco-résistante ». Leader mondial de la biosimulation, Rhenovia a développé 4 simulateurs spécifiques : RHENOMS EPI (épilepsie), RHENOMS OPs (armes chimiques de type organophosphorées), RHENOMS COGNITION (troubles cognitifs associés à Alzheimer et schizophrénie), RHENOMS HUNT (Huntington). QQ J.-M. M. Source : Rhenovia Pharma. www.rhenovia.com Liens : www.synapcell.com GIN : http://neurosciences.ujf-grenoble.fr/ IGF : www.igf.cnrs.fr
P O U R U N E U T I L I S AT I O N E N R O U T I N E
MICROORGANISMES :
SPECTROMÉTRIE DE MASSE MALDI-TOF
En quelques minutes, l’automate Andromas permet l’identification d’une espèce à partir d’une colonie sur milieu solide ou provenant d’un flacon d’hémoculture, avec des taux d’identification supérieurs à 95%.
Ensemble, experts au quotidien.
Andromas SAS - Pépinière Paris Santé Cochin, 29 rue du Faubourg Saint Jacques, 75014 Paris - Tél : +33 9 51 41 37 72 - Fax : +33 1 56 77 30 31
La biologie de l’épilepsie vue de l’ordinateur La biotech Rhenovia Pharma (Mulhouse) spécialisée en biosimulation appliquée à la recherche de médicaments, annonce le premier simulateur des mécanismes biologiques de l’épilepsie, permis par l’informatique, qui ouvre sur de nouveaux antiépileptiques et l’identification des risques convulsivants de médicaments ou de l’environnement. Le simulateur est développé par le consortium RHENEPI initié par Rhenovia, labélisé par les pôles de compétitivité Alsace Biovalley et Lyonbiopôle. RHENEPI réunit aussi la biotech SynapCell et les équipes des Drs Antoine Depaulis (Institut des neurosciences de Grenoble/GIN) et Laurent Fagni (Institut de génomique fonctionnelle/IGF, Montpellier). Le simulateur modélise les mécanismes biologiques qui génèrent le signal interneuronal et simule le dysfonctionnement générant la crise. Il devrait contribuer aussi à la prévention des phénomènes épileptiques et à la découverte de traitements, permettre d’iden-
tifier des combinaisons médicamenteuses plus efficaces et plus sûres, d’accélérer le développement de nouveaux traitements (simples ou combinés) et de prévenir les risques d’épilepsie dus à l’environnement et à leur interaction : aliments, boissons, médicaments, polluants… «Le développement d’un simulateur informatique de l’épilepsie constituait un véritable défi scientifique, technologique et médical», dit le Dr Serge Bischoff, PDG de Rhenovia, directeur du programme RHENEPI. « Il a été relevé avec succès grâce à la conjugaison des talents au sein d’un consortium pluridisciplinaire, et au financement de l’Union européenne, de l’État, de la Région Alsace et des entreprises impliquées ». Ce simulateur représente un espoir pour les patients, tels ceux qui sont/ seront résistants aux traitements. Environ 30 % des patients répondent mal aux traitements, alors « il est trop souvent nécessaire de recourir à l’association de traitements, au risque de cumuler des effets indésirables sérieux », dit le Dr Laurent Vercueil, neurologue (CHU de Grenoble), secrétaire général de la Ligue française contre
l’épilepsie. « La biosimulation validée par des expériences sur modèles animaux d’épilepsie reconnus permet de vérifier rapidement certaines de nos hypothèses et surtout d’en formuler de nouvelles», explique le Dr Antoine Depaulis, directeur de recherche INSERM, directeur de l’Équipe Épilepsie au GIN. « Audelà de la mise au point de nouveaux traitements de l’épilepsie, la biosimulation est un atout considérable dans la réflexion sur la physiopathologie des formes d’épilepsie pharmaco-résistante ». Leader mondial de la biosimulation, Rhenovia a développé 4 simulateurs spécifiques : RHENOMS EPI (épilepsie), RHENOMS OPs (armes chimiques de type organophosphorées), RHENOMS COGNITION (troubles cognitifs associés à Alzheimer et schizophrénie), RHENOMS HUNT (Huntington). QQ J.-M. M. Source : Rhenovia Pharma. www.rhenovia.com Liens : www.synapcell.com GIN : http://neurosciences.ujf-grenoble.fr/ IGF : www.igf.cnrs.fr
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En quelques minutes, l’automate Andromas permet l’identification d’une espèce à partir d’une colonie sur milieu solide ou provenant d’un flacon d’hémoculture, avec des taux d’identification supérieurs à 95%.
Ensemble, experts au quotidien.
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