15 h35
Durée : 7 minutes
COLOSCANNER : INSUFFLATION AUTOMATIQUE AU CO2 VERSUS INSUFFLATION MANUELLE A L'AIR AMBIANT M CADI,S OCACIR,O LUCIDARME, P GRENIER PARIS - FRANCE Objectifs : Comparer l'effet de l'insufflation automatique au CO2 à l'insufflation manuelle à l'air sur la distension colique et sur l'acceptabilité de l'examen. Matériels et méthodes :Une distension colique a été obtenue par un insufflateur automatique de CO2 EZEM (n = 25) ou par insufflation manuelle à l'air ambiant (n = 25). La distension colique a été analysée rétrospectivement sur chacun des 6 segments coliques par deux opérateurs indépendants avec un score de distension variant de O à 3. Un formulaire de satisfaction comprenant 18 questions quantifiant leur préférence par rapport à la coloscopie classique, leur satisfaction et l'inconfort provoquée par l'examen a été soumis à chaque patient. Résultats : Le score moyen de distension pour l'ensemble des patients et des segments coliques était de 2,5 pour l'insufflation automatique au CO2 et de 2,3 pour l'insufflation manuelle à l'air. Une gêne ressentie, à été rapportée par 80 % des patients après I'insufflation à l'air ambiant et 60 % après insufflation au CO2 (p = 0,02). Parmi les patients ayant déjà eu une coloscopie classique, 64 % ont préféré le coloscanner. Conclusion :L'insufflation colique au CO2 améliore l'adhésion des patients au coloscanner et permet d'obtenir une distension colique comparable à celle obtenue lors d'une insufflation manuelle à l'air. I Mots clés : Côlon, tumeur - Endoscopie virtuelle, technique d'exploration
15 h 4 5
15 h 5 5
Durée : 7 minutes
LE COLOSCANNER A L'EAU : UNE TECHNIQUE PERFORMANTE POUR LE DIAGNOSTIC DES CANCERS COLIQUES C RIDEREAU-ZINS (l), C AUBE(l), N DIB(1), P PESSAUX (1), F PILLEUL (2), J DUMORTIER (2), Y GANDON(3). D HERESBACH (3), M A PIERREDON-FOULONGNE (4), M DEBILLY (5) (1) ANGERS - FRANCE, (2) LYON- FRANCE, (3) RENNES - FRANCE, (4) MONTPELLIER - FRANCE,(5) BESANÇON - FRANCE Objectifs : Evaluer les performances du coloscanner à l'eau pour le diagnostic des cancers coliques. Matériels et méthodes : Dans une étude multicentrique, 194 patients d'âge moyen 68 +/-14 ans, suspects de cancer colique ont été inclus prospectivement. Tous les patients ont eu un coloscanner à l'eau. La référence a été la coloscopie et/ou la chimrgie. Soixante-et-onze patients avaient une tumeur maligne (68 adénocarcinomes, 2 lymphomes, 1 tumeur neuro-endocrine). Les indices habituels de performance ont été calculés. Résultats : Les 71 tumeurs ont été diagnostiquées par le coloscanner à l'eau. Les 6 erreurs ont été 6 faux positifs. La sensibilité et la spécificité du coloscanner à l'eau pour le diagnostic de cancer colique étaient donc respectivement de 100 et 95,l %. La valeur prédictive positive et négative étaient de 92,2 et 100 %. A noter que 6 diagnostics ont été faits par le coloscanner alors que la coloscopie était incomplète et négative jusqu'au moment de son interruption. Conclusion : Le coloscanner à l'eau est un examen simple de réalisation, rapide d'apprentissage et dont les très bonnes performances diagnostiques en font une technique valide pour le diagnostic de cancer colique. Mots clés :Côlon, tumeur maligne - Cancer, chirurgie - Endoscopie
Durée : 7 minutes
APPORT DU COLOSCANNER DANS LE BILAN D'OPERABILITE DU CANCER COLORECTAL STENOSANT M CADI,AS SALABERT-BLANCHET, O LUCIDARME, JC VAILLANT, P GRENIER L HANNOUN, PARIS- FRANCE
Objectifs :Evaluer l'apport du coloscanner pour les tumeurs coliques infranchissables par l'endoscope. Matériels et méthodes : Dix-huit patients porteurs d'un cancer colique sténosant ont bénéficié d'un coloscanner. L'examen a été réalisé avec un scanner multidétecteurs 16 coupes Lightspeed GEMS". Deux acquisitions ont été effectuées l'une en décubitus dorsal thoraco-abdomino-pelvienne après injection de contraste et distension colique à l'air et la deuxième en procubitus. L'examen du côlon a été effectué grâce aux logicielx Autodissection@et Colonography. Résultats : La tumeur siégeant sur le recto-sigmoïde (n = IO), sur le côlon transverse (n = 5) et sur le côlon droit (n = 3) a été correctement identifiée. Les résections ont été : 8 colectomies gauches, 2 résections recto-sigmoïdiennes, 3 colectomies droites et 5 colectomies subtotales. Douze lésions synchrones (9 polypes, 3 adénomes) ont été mises. La stratégie chirurgicale a été ainsi modifiée 4 fois, la résection a pu être élargie (colectomie sub-totale n = 3, recto-sigmoïdectomie,n = 1) par rapport au geste initialement prévu en l'absence d'exploration du côlon d'amont. Conclusion : Le coloscanner permet, outre un bilan d'extension métastatique complet, une étude fiable du côlon en amont d'un cancer infranchissable. Dans cette série, le coloscanner a pennis dans un cas sur 3 d'étendre la colectomie à des lésions précancéreuses. B Mots clés :Côlon, tumeur maligne - Endoscopie vimieile - Cancer, chirurgie
16 h 05
Durée : 7 minutes
EVALUATION DE LA REPARTITION DE LA GRAISSE ABDOMINALE EN IRM ET CORRELATION AUX MARQUEURS DE RISQUE VASCULAIRE DU SYNDROME METABOLIQUE V ROULLIER(1), P DUCLUZEAU (l), C CAVARO-MÉNARD (l), F ILLOUZ (l), G CALMON(2), C AUBE(1) (1) ANGERS - FRANCE, (2) VÉLIZY- FRANCE Objectifs : Evaluer la relation entre le rapport tissu adipeux viscéral (VAT) et tissu adipeux sous-cutané (SAT), mesuré par IRM, et les risques vasculaires et hépatiques dans le syndrome métabolique. Matériels et méthodes : Une coupe axiale unique en écho de gradient Tl in et out phase était réalisée au niveau de la vertèbre L3 chez 30 patients ayant un syndrome métabolique. L'âge moyen était de 56,2 +/-8 ans, et le BMI de 33,4 +/-4,3 kg/m2.Le rapport VATJSAT était automatiquement calculé par un logiciel développé dans le service. Ce rapport était comparé aux paramètres anthropométriques, métaboliques et vasculaires du syndrome métabolique. Résultats :A tour de taille équivalent, le rapport VATISAT est > à 50 % pour les 213 des patients. Parmi les paramètres anthropométriques, le rapport taillelhanche est le paramètre clinique le mieux corrélé au rapport VATISAT (r = 0,65). Dans le groupe de patient ayant un rapport VATISAT > 50 %, la leptine sérique est significativement diminué (p =0,01), les ALAT significativement augmentés (p < 0,05), l'épaisseur de l'intima carotidienne et le diamètre aortique augmenté (respectivement p = 0,02 et p = 0,Ol). Conclusion : La mesure IRM du rapport VATISAT est un indicateur facilement réalisable et utile pour évaluer le risque hépatique et vasculaire du syndrome métabolique. IMots clés :Abdomen, métabolique - IRM, technique d'exploration Quantification
16 h 15: Pause