. . . R&sum& . . . . . . . . .des . . . .communications . . . . . . . . . . . . . . . orales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .......
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LA MORT AU SERVICE D’ACCUEIL ET D’URGENCES. .\ PF Deauin Martine E Hazouard, R Lanotte, D Per SAU medilal et rka m&kale, C&J Bretonneau, F37044 Tours c&z??’ Objectifs: la mortalit& au SAU est peu Ctudike. Mourir juste ap& avoir franchi les portes de I’h6pital traduirait-il une hospitalisation trop tardive.. ou inutile? M&hod=: analyse des dossiers de tous les patients (pts) d&Cd& (dcd) au SAU en 1996, groupCs en 3 classes selon le mode d’entrke dans le processus conduisant au d&s: “Q$ = absence de maladie (Mie) connue ou Mie n’affectant pas le pronostic vital (PV) ?I moyen terme; “chroniaup” = dtcompensation rapide d’un Ctat de santC prkaire affectant le PV 6 moyen terme; “fin de vie” = pts en soins palliatifs pour une Mie engageant le PV g court terme. RCsultats: 46 patients dcd au SAU en 1996 soit 0,36% des venues 6ltmentaires, Lge 77zkl4 (46 2 94), sex ratio 0.48. “&z&Y 8 AVC, 4 a&t cardiorespi primitifs. 3 echecs de I& au SAlJ (1 dissechon aorte, I hypothermic 21’C. 1 choc h&mxmgique), 5 divers; “m: 8 insuff respi aiguds et 5 chocs, diagnostic dtio sowent imp&is, 3 divers; “fin de vie”: 9 cancers avec m&a, 1 SLA. aigu (n=20) chronique(n=16) tin de vie (~10) p @e (annbs) 7Mll 84?9 63+15 0,001 sex ratio 0.3 0,37 I 0,18 cancer o/20 4/16 Y/10 0,cQOl d4me”cx2 o/20 4116 o/10 0,019 donucile-maison de retr 13-6/20 4.lo/16 9-1110 0.03 hospi mois p&&dent 1120 5116 6110 0,006 hospi semaine p&ddente 1120 306 4/10 0.06 4120 dd pendant transport 3116 O/IO 0.32 r&a card&respi au SAU 5116 o/13 1110 0,08 sdjour SAU (min) 196 (0 h 1020) 334 (0 a 1715) 244 (15 B 900) 0.39
Conclusions: le d&s est une issue rare dans un SAU mCdica1. 11 conceme: (a) des pts jusque 18 en bonne santC apparente, admis le plus souvent pour AVC avec un tableau neuro rapidement dipasd; le caractkre brutale et 1’6volution rapide et impr&isible ne laissent pas d’altemative 2 l’hospitalisation; (b) des pts Lg&, vivant souvent en maison de retraite. moins autonomes, avec des tableaux intriqks et complexes; I’hospitalisation y est peut-&tre la kponse k adapde (trop tardive?) ?I une situation d6ji dCgrad6e.e; (c) des pts en fin de vie, sortis rkcemment de l’hbpital, pour lesquels la mort au SAU (dans des conditions non adapt&s) traduit une mauvaise organisation des soins palliatifs f un mauvais khange d’informations entre service hospi et m6decin de famille.
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LE TEMPS DE SOIN MEDICAL SELON LA CLASSIFICATION CLINIQUE DES MALADES DES URGENCES (CCMU). F.BerthieI’,3, S.Monnereau’, W, B.Branaer’, A.Turbide’, D.Baror?. ‘SAU, 2DIM 49325 CHG Chalet - ‘CHU Nantes - ‘CHU Rennes. m : La CCMU individualise des groupes de patients (pt) y compris psychiatriques (p.p.) ayant un cotit et un temps de soin non medical t&s different [I]. En est-il de m&me pour le temps de soin medical ? MBthode : Inclusion prospective du i/5 au 3016195. Recueil : CCMU, temps de soin medical (TM) et paramedical selon des Bchelles de pondkration [I]. RBsultats : Le TM median est de 19’ [extr&mes : O-1691. La CCMU individualise des temps de soins mbdicaux (TM) croissants et t&s diffbrents (~~10’~). CCMU IV et p.p. n’ont pas un TM diffbrent. (m8diane. sxtr&nes)
INFLUENCE DES TAUX D’OCCUPATION SUR LA DUREE DE SEJOUR AUX URGENCES J-B. Gillet, P. Vandenbossche, D. Van Pee, P. Lalovaux,&. Bodart, J. Jamart, P. De Coster - Cliniques Universitaires UCL de Mont-Godinne, B-5530 Yvoir, Belgique. Introduction : L’attente est une plainte frbquente des patients des services d’urgence (SU). Afin d’en expliquer les causes, nous avons examine l’influence de 4 facteurs explicatifs : I’lge du patient, le taux d’occupation du service de destination, le comportement du service, et I’envoi par mkdecin traitant. Mathiels et mhthodes : Tous les patients admis & I’hbpital par le SU en 1996 et n’ayant pas sejournk dans I’unitb de court sejour, sont inclus. La durGe de sejour (DdS) aux urgences est mesurbe et encodbe en temps reel dans une base de donnke prospective. Rbsultats : 2894 patients rbpondaient aux crit&es, et les donnbes ont BtB obtenues chez 2236 patients. La DdS moyenne des patients hospitalisls est de 4 h 32 min, f 176 min (mediane 233). L’bge est corn% avec une augmentation de la DdS (r = 0.284, p < 10”). Suivant que le patient est admis par les pompiers ou est envoy& par son mbdecin traitant, la DdS passe de 160 B 275 minutes. La DdS est significativement diffkrente suivant les Stages de destination (p < 1O’5) et corr&e au taux d’occupation (r = 0.113, p < 10-5). Une rbgression logistique s6lectionne les 4 variables comme facteurs prbdictifs d’une DdS de plus de 4 heures. Conclusions : les facteurs explicatifs des dukes de sejours aux urgences doivent dtre identifibes avant d’envisager les mesures de correction Bventuelles. Si le r6le des taux d’occupation, ou de I’envoi par m6decin traitant parait facilement comprehensible, des Etudes compkmentaires devrait expliquer I’influence de l%ge et celui des services d’aval dans le cadre d’une politique de qualitk des soins impliquant I’hbpital dans son ensemble.
INDICATEURS CHIFFRES DU REFERENTIEL DES URGENCES. ETUDE DE FAISABILITE ET PREMIERS RESULTATS. V. Jumel, A.M. Menn. I Kopferschmitt. F. Carpentier. G. Bleichner. Groupe de rkdaction du l&f&entiel, CH. V. Dupouy 95107 ARGENTEUIL. Un tifkrentiel des crit&es d’kvaluation des services d’urgence a iti &labor& nar un grouse de travail. Le riferentiel comuorte un chaoitre de 101 indicateuk”chi!fr& destine & Bvaluer les moyeni et I’activit&.*Le but de ce travail est d’ktudier la faisabiliti de la saisie de ces indicateurs et de dormer une premikre estimation des valeurs recueillies. MCthode : Le rkfkentiel des Crit&res d’Evaluation a iti accept6 par le C.A. de la SFUM en septembre 1997. Le choix des indicateurs a Ctk fait “a priori” et non sur I’expkience. I1 s’agit d’indicateurs concemant I’environnement, l’accueil des urgences, I’UHCD et le coot. Le questionnaire des indicateurs chiffrks a Ctk adressC a une centaine de services choisis par proximitt+ par les membres de la commission. Les donnkes ont ttt exploit&s sans contr6le des chiffres foumis. RCsultats DOW auelaues indicateurs : Le seul indicateur connu _~ -
%i
15-140
15-66
w---w * ‘Kruskal-Wallis.
15-156 *
15-156 I
Anova du Ln et test de Scheffd
Conclusion : Le temps selon la classe CCMU. pour 4300 admissions/an
15-778 Ns
‘p
de soin medical La recommandation [2] pourrait btre
25-164 *
NS : non significatif
est different d’un mbdecin pondkrbe.
[l] F.Berthier. M.Andreu, M.Bourjac. D.Baron, B.Branger, A.Turblde. Analysis of cost and of non-mailcal care load of patients seen in an Accident and Emergency Department. The importance of Clinical Classification of Emergency Patlents. Eur J Emerg Med 1598 [accept6 apr&s revision] [2] GBleichner. Guide des outds d’tvaluation aux urgences 1996, SFUM. Amette
R&n
Urg
1998
; 7 : 118-60
donnCes chiffries permettant I’analyse de leur acti& est faible. NCanmoins, les critkres les plus classiques sont connus par 2 services sur 3. La qualitC de la base ne permet pas de foumir des valeurs moyennes fiables. Une modification du libellt de certains indicateurs est proposee.