mière intention dans leur diagnostic. L'IRM est indiquée en préd'adapter le geste opératoire pour confimation et cartographie thérapeutique. "i"; Mots clés :Poignet, compression
Conclusion : Les clefs du diagnostic, outre l'absence de corps étranger calcifié sur les clichés simples, sont la déformabilité de l'image lors de la mobilisation de l'articulation, contrairement à ce qui se passe pour un corps étranger, son apparition seulement en position forcée, sa disparition progressive lors du retour en position neutre, et sa réapparition en position de stress. "' Mots clés : Main, anomalie - Echographie
ADAMANTINOME DU TIBIA. A PROPOS DE DEUX OBSERVATIONS M CHELLI BOUAZIZ, A MANAMANI, A DAGHFOUS, M AMOURI, MS DAGHFOUS, MF LADEB TUNIS - TUNISIE Objectifs : L'adamantinome des os longs est une tumeur maligne très rare de l'adulte jeune. Sa localisation préférentielle est le tibia. Nous rapportons les observations de deux jeunes patients ayant un adamantinome du tibia. Matériels et méthodes :Les patients âgés de 7 et 16 ans ont consulté pour une tuméfaction de la jambe, évoluant depuis plus d'un an. Le bilan radiologique a comporté des radiographies, une échographie et une TDM de la jambe. Une imagerie par résonance magnétique a été pratiquée dans un cas. Résultats: L'examen clinique a objectivé une tuméfaction de consistance dure, indolore, sans signe inflammatoire ni adénopathie satellite. Le bilan biologique était normal. Les radiographies ont montré une ostéolyse géographique diaphysaire entourée par un liseré d'ostéocondensation, de topographie intra-corticale (n = l), et cortico-médullaire (n = 1) sans signe radiographique d'agressivité. A l'échographie, les lésions étaient hypoéchogénes hétérogènes non vascularisées au Doppler. La TDM a c o n f i é la topographie de l'ostéolyse, et l'absence de masse des tissus mous adjacents. De plus elle a mis en évidence chez un patient une deuxième petite localisation intracorticale homolatérale. A I'IRM les lésions étaient en hyposignal T l et un hypersignal hétérogène en T2. Le diagnostic a été confirmé histologiquement après résection chirurgicale. Conclusion :L'adamantinome est une tumeur très rare. La localisation tibiale et l'aspect radiographique sont évocateurs du diagnostic. La TDM et I'IRM sont utiles pour étudier l'extension de la tumeur et rechercher d'autres localisations à distance. " Mots clés : Os, tumeur bénigne
LE PHENOMENE DE VIDE bb INTRA-ARTICULAIRE : PlEGE DIAGNOSTIQUE EN ECHOGRAPHIE. A NE PAS CONFONDRE AVEC UN CORPS ETRANGER INTRA-ARTICULAIRE
MALADIE D'ERDHEIM-CHESTER :ASPECT DES ATTEINTES OSSEUSES
Objectifs : Décrire les aspects des atteintes osseuses dans la MEC, en insistant sur deux aspects méconnus : la périostite et l'atteinte épiphysaire. Matériels et méthodes : Onze patients avec une MEC prouvée par analyse immuno-histochimique ont été inclus. Tous les patients ont bénéficié de radiographies du squelette et d'une scintigraphie. Un scanner des fémurs (n = 2), du crâne (n = 10) et une IRM des membres inférieurs (n = 7) ont été réalisés. Résultats :Tous les patients avaient une atteinte des os longs alors que le squelette axial et les extrémités étaient normaux. L'ostéosclérose bilatérale et symétrique de la diaphyse des os longs était présente pour 52 localisations (26 paires) (98 %) des 53 atteintes osseuses. L'ostéosclérose était hétérogène dans 65 % des cas. Les lésions concernaient la diaphyse et la métaphyse dans 44 cas (81 %). Une atteinte épiphysaire partielie était notée dans 24 cas (45 %). Une pénostite était présente dans 35 (66 %) et une endostéose dans 50 (94 %) des 53 os longs atteints. Une atteinte du crâne et des os de la face était présente chez 2 patients (20 %). L'IRM montrait un remplacement du signal normal graisseux de la moelle osseuse par une infiltration hétérogène L'extension des lésions osseuses, l'atteinte épiphysaire et la périostite étaient très bien documentées par l ' m . Conclusion :L'atteinte osseuse est centrale dans la MEC. La pénostite et l'atteinte des épiphyses ne sont pas décrites dans la littérature et méritent d'être recherchées. "" Mots clés :Histiocytose - Os, anomalie
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Objectifs :Différencier en échographie un épanchement gazeux intra-articulaire intermittent d'un corps étranger en échographie. Matériels et méthodes :Les épanchements gazeux intra-articulaires sont le plus souvent dus au passage en phase gazeuse de l'azote dissous dans le liquide synovial lors de la mise en dépression de la cavité articulaire. Ce phénomène bien connu sur les clichés simples et en TDM, où le gaz est facilement visible, est plus délicat à voir en IRM et n'a jamais été décrit à notre connaissance en échographie, où le gaz arrête les ultrasons et peut mimer un corps étranger. Résultats :Chez une patiente la mise en extension d'une articulation métatarso-phalangienne mit en évidence une structure intra-articulaire allongée, hyperéchogène ne correspondant à aucun corps étranger calcifié ou ossifié sur les clichés simples. Cette structure se déformait lors des mouvements de l'articulation en se moulant sur la surface cartilagineuse de la tête métatarsienne. Elle apparaissait bmtalement lors de la mise en flexion dorsale de l'orteil, puis disparaissait progressivementlors du retour de l'articulation en position neutre. Un cliché pris dans la même position de flexion dorsale de l'orteil retrouva l'épanchement gazeux.
IMAGERIE DE LA CALCINOSE TUMORALE M CHELLI BOUAZIZ, H JLASSI, A MANAMANI, MS DAGHFOUS, MF ~ADEB TUNIS - TUNISIE Objectifs : La calcinose tumorale est une affection rare et bénigne du sujet jeune à caractère familial qui consiste en un dépôt de matériel calcique dans les tissus mous péri-articulaires. Les auteurs rapportent cinq cas confirmés histologiquement en soulignant l'apport de l'imagerie au diagnostic. Matériels et méthodes : Les patients âgés de 9 à 57 ans ont consulté pour une tuméfaction péri-articulaire de la hanche (n = 2), du coude (n = l), du pied (n = 1) et de la cheville (n = 1). Ils ont été explorés par radiographies (n = 5), échographie (n = 2), TDM (n = 2) et IRM (n = 2). Résultats : La tuméfaction était douloureuse (n = 5) évoluant depuis 3 mois à 1 an. La calcémie et la phosphatémie était normales. Les radiographies ont montré des calcifications amorphes péri-articulaires d'aspect caractéristique. A l'échographie, la masse était constituée de multiples cavités à contenu liquide plus ou moins échogène et séparées par de fines cloisons. La TDM a montré une masse calcifiée multiloculée rélisant un aspec en « nid d'abeille B. L'IRM montre une masse multicloisonnée, de signal bas en T l et hétérogène en T2. L'imagerie a objectivé le niveau hydrocalcique à l'échographie (n = l), TDM (n = 2) et IRM (n = 1).
Conclusion : Il s'agit d'une affection rare. En imagerie, l'aspect en « nid d'abeille » est très caractéristique. Le niveau hydrocalcique signe le diagnostic. Le traitement est chirurgical. Mots clés : Parties molles. calcification
ETUDE ANATOMIQUE EN ECHOGRAPHIE DES LIGAMENTS EXTRINSEQUES DU CARPE X COUTOULY, L PESQUER, P OMOUMI, L BARAMIN, F TRANQUART, L BRUNEREAU TOURS - FRANCE Objectifs : Mettre en évidence en échographie les ligaments palmaires et dorsaux du carpe. Matériels et méthodes :L'étude est réalisée sur 10 poignets indemnes de tout antécédent traumatique. Une échographie est réalisée sur la face palmaire et dorsale de chaque poignet par un seul opérateur sur un échographe (Toshiba Applio) possédant une sonde de 15 Mhz. Le segment proximal, le corps, et le segment distal des ligaments sont recherchés selon les données anatomiques de la littérature. Une IRM est pratiquée sur chaque poignet sur un imageur (GE) de 1,5 Tesla. Deux séquences sont réalisées : Un TSE T l en coupe fine de 2 mm dans le plan axial et sagittal. Une analyse des trois segments est réalisée. Résultats : Les résultats de l'échographie sont corrélés pour chaque segment de tous les ligaments décelés à ceux de I'IRM. Plusieurs variantes anatomiques sont mises en évidence. La face dorsale est la mieux explorée par échographie. Conclusion : L'échographie permet une étude des principaux ligaments extrinsèques du poignet notamment sur la face dorsale. "g" Mots clés : Poignet, anomalie - Ligaments - Echographie
IMAGERIE DE L'HYDATIDOSE OSTEO-ARTICULAIRE Y OULD HMEIDI,MB KHADHRAOUI,I HASNI,N ARIFA, W GAMAOUN, R BENHMIDA,K TULI GRAIESS SOUSSE- TUNISIE Objectifs :Présenter un CD-Rom d'auto enseignement d'usage facile permettant une meilleure connaissance en imagerie de I'hydatidose ostéo-articulaire et des problèmes diagnostiques qu'elles soulève. Matériels et méthodes : Support CD-Rom, mode HTML Front-page de consultation facile, transférable par la voie du net. Résultats :Cette présentation comporte 2 volets : une partie théorique résumant les principaux aspects épidémiologiques, physiopathologiques, parasitologiques, cliniques et radiologiques de l'hydatidose osseuse. Une partie comportant des cas cliniques d'hytatidose osseuse, vertébrale et périphérique, colligés au CHU Sahloul de Sousse (Tunisie). Mots clés : OS, parasitose
IMAGERIE DES INFECTIONS RACHIDIENNES TUBERCULEUSES : DIAGNOSTIC ET EVOLUTION C BERTIN,D ZEITOUN-EISS,D HERITIER-GRENIER, P GRENIER, E DION PARIS- FRANCE Objectifs : Décrire le rôle de l'imagerie dans le diagnostic et le suivi des infections rachidiennes tuberculeuses. Matériels et méthodes : Analyse à partir des observations de dix patients suivis sur plus d'un an de l'intérêt des radiographies standard, de I'IRM, du scanner et de la ponction, dans le diagnostic et le suivi des infections rachidiennes tuberculeuses. Résultats :Les atteintes tuberculeuses du rachis sont devenues très fréquentes avec des lésions multiples et étendues. L'analyse des
radiographies standard, réalisées parfois de façon répétée, permet d'évoquer le diagnostic. L'IRM permet l'analyse précoce des modifications osseuses, discales et surtout des parties molles. C'est I'examen qui permet d'établir le diagnostic. L'analyse bactériologique et anatomopathologique est réalisée sous contrôle de l'imagerie. Le scanner est l'examen de choix pour l'évaluation des lésions osseuses. Le suivi sous traitement concerne initialement la réduction des lésions des parties molles puis, plus tardivement, la reconstruction osseuse. Conclusion :Le rôle du radiologue est central dans le diagnostic des infections rachidiennes tuberculeuses, basé sur I'IRM et la ponction. Le suivi doit être réalisé de manière simple et repose essentiellement sur les radiographies standard. " Mots clés :Rachis, infection - Tuberculose
KIT D'ENSEIGNEMENT : ASPECT IRM DES LESIONS TUMORALES ET PSEUDO-TUMORALES DES PARTIES MOLLES DES DOIGTS V BRUN,C MUTSCHLER, V VUILLEMIN-BODAGHI, A SOBOTKA, E MASMEJEAN, G FRIJA PARIS - FRANCE Objectifs :Proposer une revue iconographique des lésions les plus fréquemment rencontrées. Matériels et méthodes :La séméiologie a été décrite à partir de l'étude rétrospective des examens IRM réalisés depuis août 2000, date de l'ouverture de notre établissement. Pendant cette période, 54 patients ont été explorés en IRM pour une lésion des parties molles des doigts. Toutes les images présentées ont été corrélées aux données chirurgicales et anatomo-pathologiques. Résultats : Nous proposons une stratégie d'exploration, présentons la gamme diagnostique des pathologies les plus fréquentes (kystes para-articulaires, tumeur à cellule géante des gaines, malformations vasculaires, tumeurs glomiques, lipomes, schwannomes, corps étrangers.. .) et détaillons la séméiologie de chaque lésion. La grande majorité des lésions étaient bénignes, seule une masse correspondait à une histologie maligne (sarcome épithélioïde). Conclusion : Les lésions des parties molles des doigts sont bénignes dans leur très grande majorité. L'exploration IRM permet de confirmer la présence d'une masse, de préciser sa topographie, d'orienter le diagnostic et l'éventuel geste thérapeutique. Mots clés : Parties molles, tumeur - Main - Enseignement
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LES TUMEURS OSSEUSES DU PIED M CHELLI BOUAZIL T SOHUN, S KALLEL,MF LADEB TUNIS - TUNISIE Objectifs : Décrire le profil épidémiologique,la présentation clinique et radiologique et les caractéristiques anatomopathologiques des tumeurs osseuses du pied. Ce travail est présenté sous forme de CD-ROM multimédia. Matériels et méthodes : Cent cas de tumeurs osseuses du pied confirmées histologiquement ont été colligés dans notre institution durant les vingt dernières années. Résultats : Les tumeurs du pied représentent moins de 3 % de l'ensemble des tumeurs osseuses. Cette faible incidence expose à des erreurs et à des retards diagnostiques. Très peu de grandes séries ont été publiées dans la littérature. Quatre-vingt-cinq pour cent de ces tumeurs sont bénignes. Les radiographies posent souvent le diagnostic, mais la TDM et 1'IRM sont nécessaires pour le bilan d'extension et la planification opératoire. La plupart des tumeurs osseuses bénignes du pied sont cartilagineuses et se localisent essentiellement au niveau de l'avant pied. Les tumeurs kystiques se voient au niveau des métatarsiens et l'arrière pied. Le talus est le siège de prédilection pour l'ostéome osteoïde. Le chondrosarcome est la tumeur osseuse maligne primitive la plus fréquente suivie par la tumeur d'Ewing et l'ostéosarcome. L'arrière pied, plus particulièrement au niveau du