P63 Pour une analyse économique des processus de production en radiothérapie: recherche des inducteurs de coûts dans deux services hospitaliers

P63 Pour une analyse économique des processus de production en radiothérapie: recherche des inducteurs de coûts dans deux services hospitaliers

634 Au&es thbmes vi&.. L’irradiation corporelle totale et la radiothkrapie conformamkdicales, ont requ une irradiation exteme de 55 Gy en moyenne ti...

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Au&es thbmes

vi&.. L’irradiation corporelle totale et la radiothkrapie conformamkdicales, ont requ une irradiation exteme de 55 Gy en moyenne tionnelle sont bien individualities. L’absence d’inducteurs de co&s (extremes : 50-66 Gy), une chimiothkrapie concomitante par significatifs dans I’anaIyse multifactorielle pour l’activitt aconten5-fluorouracile et cisplatine et une curiethtrapie compltmentaire g tion et simulation >>refkte la diversitt des pratiques. et nkcessite prohaut debit de dose dtlivrant une dose moyenne de 12,5 Gy bablement une analyse globale du processus aprkparation du traite(extremes : 6-20 Gy). Les tumeurs Ctaient de stade I (I 2 patients), ment ,>, 1 la fois en termes de cot& et en termes de qualitk IIa (20 patients), IIb (cinq patients) ou III (13 patients). Conclusion. - Les camckkistiques et la diver& des inducteurs retmuR.@suftats. - Le taux de rCponse ttait de 96 8, avec 85 % de v&s dam c&e &de ne pennettent pas en I’&at de les int&rcr dans un kponses compktes cliniques et 81 % des kponses compktes histosystkme de financemenf mais doivent &E la premikre ktape dans l’tlalogiques. Le taux de survie globale Ctait de 78 % B 1 an, 33 % & 3 ans et 21 % & 5 ans. Une rechute locale est survenue dans 32 8 boration &indices de coiYits relatifs (ICR) en radiothkapie exteme, permettant de d&ire les diffkentes phases du traitement @@ation du des cas, une rechute a distance dans 16 8. La toldrance dtait acceptxaitement ; dosimkrie : traitement ; contr6le de qualiti). L’analyse Bconotable avec un taux de toxicitk aigu& de grade 3 et 4 de 6 % et un mique en radioth&apie doit aussi tenir compte dans le pmcessus de prw taux de toxicitd tardive de grade 3 et 4 de 4 8. Les facteurs de production des exigences de qualie (pm&dums, contr6le de qualiti), et du nostic dkfavorable retrow& dtaient la longueur de la tumeur (plus r&&at final exprimk en terrnes de survie et de qualiti de vie. de 5 cm) et le stade (stades IIa, IIb et III par rapport au stade I). Conclusion. - Ce traitement est r&&able et bien tolCr& il a permis d’obtenir un taux de survie il 5 ans de 21 % mais le taux de rechute locale restait important. L’impact potentiel de la curiethkraP64 Traitement des cancers indiffkrenciks du cavum (UCNT) dans pie & haut d&bit de dose est actuellement tvaIut dans I’ktude randole centre tunisien mide 9702 de la Fondation franqaise de canctrologie digestive et N Bouaouina 1, H Barraj 1, K Bouzouita2 de la Socitd fran@se de radiothCrapie oncologique qui compare ‘Service de cancCrolonie radiothkraoie, 2service ORL. CHU une chimio-radiothtrapie associke ou non B une curiethkrapie endoFarhat-Hached. Sousse, Funisie . luminale a haut dkbit de dose chez des patients atteints d’un cancer de l’oesophage non op&k pour raisons m&kales. Objectif de I’ktude. - Le cancer du cavum est la premikre tumeur maligne des voies a&digestives sup&ewes en Tunisie. 11 pose un P63 Pour une auaIyse bconomique des processus de production en double probltime de contrale local et g&&al. L’objectif de ce traradiothdrapie : recherche des inducteurs de coats dans dew vail &it d’kvaluer les rksultats thkrapeutiques de ce cancer chez les services hospitaliers malades du centre tunisien V Favrel 1, P Pommier 2 Matt+iel et m&odes. - Cent soixantedouze cas de cancer indif‘Service de radiotht+apie, h6pital Bellevue, CHU Sain&ienne, Mrencid du cavum (UCN’I’) trait& au CHU Farhat Hached de Sousse 42055 Saint-ktienne cedex, Zsewice de radioth&apie. centre Uonentre 1980 et 1993 ont tt& colligks. L’Qe moyen des patients &it Bkrard, 69008 Lyon, France de 40,7 ans avec deux pits de frkquence entre 15-19 ans et 50-54 ans (extremes : 1 l-73 ans). L.e sex ratio &it de 3. Sur le plan histoObjectif de f’&de. - 11 s’agit d’une analyse de la production en logique, il s’agissait de carcinomes indiff&enci& dans 54.4 8 des radioth&apie par la description des activites du processus tbbrapeucas et de carcinomes peu difffkencits dans 45.6 % des cas. La &partique, et de la recherche d’inducteurs de co&s par activiti, dans deux tition des malades selon la classification de l’UICC/AJC de 1986 est services hospitaliers, le service de radioth6rapie du centre r&ional de comme suit: Tl : 4,6 %, T2 : 27,9 %, T3 : 20,5 %, T4 : 47 8 ; NO : lutte contre le cancer de Lyon (centre L&n-Bkard) et le service de 19.7 8. Nl: 13.3 %, N2: 20.3 %, N3: 40.6 8, Nx: 6.1 %: MO: radiothkapie du centre hospitalier uniwrsitaire de Saint&ienne, du 100 %. Le traitement a repose sur la radioth6apie dClivr&e dk le 15 juin au 30 ao& 1997. Le point de vue adopt6 &ait celui de l’h6pital. cavum et les ganglions cervicaux B une dose moyenne de 72,5 Gy Mak+iels et m&odes. - Le processus de production a 6t.k dtfini (extrgmes : 67.5-75 Gy), II raison de ciuq fractions de 2 Gy/sbance comme la prise en charge d’un patient en radiothkpie exteme ambupour 138 malades et de quatre fractions de 2,5 Gy par semaine pour latoire. Le processus est divid en &apes tlkmentaires (activitks), 34, et un &alement de 49 B 108 jours. Soixante-cinq patients ont rqu caract&ist?es par une uniti de temps et de lieu : consultations ; <> (contention-simulation, scanographie dosim& 29 cas. L’association d’adriamycine et de cisplatine a 6tB utiliste trique, mise en route de l’irradiation) ; dosimktrie ; traitement et chez 51.2 % des malades et le protocole BEP (blComycine, Cpirubi<> (curatif/palliatif, recherche clinique, complexit&) ; de ces mktastases sont survenues au tours des 3 premitres an&es. paramkt~~s spkifiques de chaque activitk ; donnks Ii&s au personnel L’btude unifactorielle des facteurs pronostiaues a montrb uue I’lee soignant et a I’organisation (don&es qualitatives et quantitatives) et le supkrieur a 40 am (p = 0,005). le &xe ma&in @ = 0.03 j, le syk service d’origine. Le travail effect& a Btb valorisk par le temps drome parantoplasique (p = 0,003), le stade T (c, = 0,006). le stade N consommk par categoric de personnel, le matMe consommable en (p = O&01) avaiek une influence pkjorativk signiftckve sur la unit& physiques, et les kquipements lourds, par le temps d’occupation survie globale, que I’Lge supCrieur g 40 ans @ = 0.01) et le stade T des locaux. Des paramktres statistiquement signitkatifs d’induction de &taient des facteurs de pronostic dkfavorable pour le contrBle local, cofit ont CtC d&erminCs. au sein de chaque activitt, par analyses uniet que le stade N @ = O,OOOl), la fixitd des ganglions cervicaux factorielles et multifactorielles. Au total. 795 fiches ont Ctk colic&es. (p = 0.01) et le syndrome. parakoplasique @ = 0,Ol) avaient une R&dtats. -- On retrouve le poids des variables likes A I’activitC influence pkjorative significative sur le contr6le a distance. L’Ctude (par exemple : pour la Ire consultation : patient connu ou non du sermultifactorielle des facteurs pronostiques a montrk sue I’Lee suo& vice), et & deux wit&es : le niveau de complexitk de la dosim&ie, et rieur g 40 ans (‘p = O,OOi), le sindrome par&topTasique I’inclusion du patient dans un protocole de recherche clinique. Le (p = 0,006) et le stade N (p = 0.0001) avaient une influence sienifi(cniveau de complexit v du processus therapeutique, caract&istique cative sur la survie. de 1’activitC <