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350 Communications POSTERS Posters divers P33-02 Evaluation dela procedure dephotopherese al'aidedu nouvel appareU XTS dela Societe Therakos, F.S...

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Communications

POSTERS

Posters divers

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Evaluation dela procedure dephotopherese al'aidedu nouvel appareU XTS dela Societe Therakos, F.SCHOONEMAN, ETA/3USSEMENTFRAN(:AlS DU SANG -WRRAINE- CHAMPAGNE Site de Nancy, AIIeIWe deBourgogne, 54511 Vandoeuvre lesNancy Introduction: La photopherese extraeorporelle (PEe) est appliquee maintenant depuis environ 10 ans. Lagrande majoriredes etudes publiees l'ont ere avec Ie moniteur UVAR de la Sociele THERAKOS. Un seul moniteur equipe du necessaire adequat realise i la fois Ie recueil des cellules mononucleees et I'irradiation au cours d'une seconde etape. Depuis un an, nous utilisons la nouvelle version de cenemachine, XTS. Carac:teristiques de Ia procedure: Uniponcture strict - AC = HEPARINE - trois i sixcycles sont necessaires pour obtenir les cellules mononueleees. ZOO procedures ont ele effectuees au coon de 1999 avec I'XTS. Prom des patients: 5 Gvh, 3 Sezary, 1 Sclerodermie, 1 Mycosis Fungolde, 1 Lichen Plan, 1 Epidermolyse Bulleuse. La premedication (8MOP) est faile soiten ORAL (MELADINlNE) soil dlrectement dans la poche de recueil (UVADEX). Risultats techniques: Duree 169± 29.7 mn, Temps deprelevement 114 ± 24 mn, Temps d'irradiation = 36.9 ± 27 mn, Volume duconcentre or 281 ±27mi. CMN =2.73 10' ± 1.8, lITE=2.02 % ±0.64. Les avantages de I'XTS sonl: silence, automatisme, mcilleure gestion de I'irradiation, Les inconvenients: VEC toujours important. pas de possibilite d'utilisalion chez I'enfant, nombreux problemes techniques I Les effets cliniques sont superposables aux resultats obtenus avec I'ancienne version.

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SUM DES GREFFES ALLOGENIQUES DE MOELLE OSSEUSE PAR PCR MULTIPLEX FLUORESCENTE DE SHORT TANDEM REPEAT.

Hemapherese therapeutique. BOan actuel : quel avenlr avec, quelle tutelle ?

F.Comeau, F. Hall,I.M Boiron,A.Pigneux, O. Marit, 1. Reiffen, O. Vezon, Elablfssemenl Francais du Sang - Aqullalne Limoustn; Bordeara. et, Service Des Maladies du Sang, H6pilal Hauf.U"ique, Peuac; Franc«

Nous avollS suivi les greffes a1logeniques de moellesd'un panel de patients a l'aide de sequences courtes reperees en tandem et du gene de I'amelogenine. Notre approcheI etela suivante; 11 Extraction de I'ADN du donneur, du receveur et d'6cbantillollS posttransplantation, puis dosagequanlitatifde I'ADN par spectrophotometric. 2J Amplification des 6cbantillons IlI'aide d'amorces tluorescentea de SIR. utilisees en medeeine legale [VWA, raoi, TPOX ET CSF (ClTV, Promega)] par PCR multiplex. 3/ Separation de fragments PCR par electrophor~ capillaire sur l'analyseur gc!Detique ABI PRISM 310 utilisant le logiciel Genescan pour etudierles wiles des fragments et determinerles aires sow la courbe, Now avollS analyse! un eventailde 31 patients. Tow etaientlnformatifs pour au moins un marqueur sur la PCR ClTV. 17 (55%) cas ewent en sex mismatch et suivis avec Ie gene bien COMU de I'amelogenine. 7 (22%) t!taient informatifs pour certains degres de mis appariement compares lUX allelesdu donneur, Nous avons prepare IDle courbo standard en melangeant dans des proportions differentesdeux ADN presentaDt au moins IDl allele different sur un ou plusieursSTR. En ampliflantet anaIysantles 6chanlillons d'ADN post transplantation, now proVOIlS dc!terminer I'etendue de la prise de greffe en comparanl It II eourbe standard. Cette approche apporte une sensibilite de detection, dependant du marqueur, d'environ S% Il 1% d'ADN de donneurou receveur, La PCR multiplexe Ouorescente de loci informatifspermet, ilia difft!rence de la PCR monoplexe, d'analyser plus d'un marqueur AIa fois, augmentant la conflancedans Ie suivi de transplantation de moelleosseuse.

F. SOIOONEMAN

ETABUSSEMENT FRANCAIS DU SANG -LORIWNE -CHAMPIaGNE Site de Nancy, A ~ de Bourgogfle, 54511 Vandoeu",..les Nancy

Introdudlon :L'hemapherese therapeutique a aubi dans lea ann~1 70-80 un CSSOI' considerable du fait de I'utilisation de$ separateurs de cellules. Nous sommea • un tournant de eeae discipline, d'autant plus que deux directions IIOUS sonl offenes: soit integralion dans I'EFS, soil sutonomle dans I'hOpital sous forme d'unilh fonctionnelle. Dans ceue perspective, now anaIysons notre activite de service d'hemaphe~ th~rapeulique en cernantlea avantages et lea inconv~nients de ces ~volutiollS. AI'ehe et vit map he'rm tMr~utfque:activite sur 10 ans U.V.A T.P. E.P. C.T. E.C.P. C.S.P. 69 1989 641 t3 0 18 5

1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998

484 636 608 676 641

21 14 16 16

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9

526 539 451 352

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13

16 6 16

15 17 10 42 43 47 24 26

6 16 25 79 142 137 169 181 163 254

0 0 204 183 121 205 257 134 136 201

108 49 53 57 44

44 21 28 7 0

20 1999 21 On note des evolullonsfondamentales : Augmentauon de$ c"Uules Souches (CSP), augmentation des Pbotopheresea (UVA). baisse des £Changes Plasmatiqucs (EP), stabilisation de$ Erythraphereaea mCP) el des Cytapht!reses therapeutiques (CT). disparitlon du traiternenl du plasma (TP).

• Evolution adminislrlltive, il semble que I'H~mapht!rese Iht!rapculique puisse aller au CHU, lIUrtout CSP (avec Ia therapiecellulaire).

Transfus Clin Bioi 2000 ; 3

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Recuell de cellules souches sanguines Ii partir du nouveau programme AMICUS (BAXTER)

Evaluation des gretronl bematopoietiqlteS tr}opreserva: companison de troistedtniquel til cytometrie ell On

F.SCHOONEMAN ETABUSSEMENT FRAN(:AlS DUSANG -LORRAINE -C/W,fPAGNE SiftdeNancy, Avenue deBourgogne, 54511 Vandoeuvre ItS Nancy Introduction: La societe BAXTER a developpe recemment un nouveau programme de collecte de cellule! mononucleees. Nous nous proposons de donner les premiers resultats obtenus en routine sur I'utilisation de cene procedure, Materiel et methodes: Necessaire i usage unique adapte au recueil de cellules mononucleees, P1astique de la poche : PL 2410. Moniteur : AMICUS. - La collecte s'effectue en nux eontinu par cycles - I scule chambre pour la separation de cellules- Lacollccte s'effeetue i l'exterieur de lacentrifugeuse. AC=ACD. F.A. 1211 - prom despatients: 16 patients ontdonne leurs cellules moncnucleees, Age: 4S (II - 62) 6 Sexe FIM '"' 818 - Poids 63 (40·88) - Diagnostic: Myelome 8, LMNH 4, LAMlRc I, Hodgkin I, LMC I, Sarcome d'Ewing 1. Abords veineux peripheriques pour 14patients. • Resultats : ~ VST L • 8,1 ± 1,6 - ACD Cons L = 0,71 0.2Duree (mn) : In ± t6- VoL Cell. Collecte/cycle =6S10.1 ml fmd.uiU: Vol ISH 22 ml- GB x 109.13,816,5 -CD34 (l0~ 260 ± 530 - Efficacile colleete = 61120 %. Hematocrite 6,3 ± 1,20/0- CMN = 65116 %.VST. volume sanguin !raite. CMN =cellules mononucleees, CODclusloD: 11 s'agit d'une procedure automatisee avec faible perte plaquettaire et une bonne recuperation des CD 34. Elude i poursuivre: comparaison avec d'autres precedes, possibilile d'utilisalion si C034 < 20 x 10' dufait d'un meilleur rendcmenL

P. Sanatine, 1-1. Latailladc. F. Lassailly, c.~, A. Sancbc:z, Ph. BouriD, CIS desAmes JeanJII1/iard, l, rue till L' Rooul Batany. SP 410. 92141 Clamart ; Loboratoirt d'/nunll1Io/ogit c.Ullttirt. L' evaluation des gtdI'ons de c:eUuJes souches Mmatopoletiques cryOCOnscMs repo5C surla quantificatiOD des cellules CD34' parcyto~c enDux d leur aptitude i former des colonies CD milieu semi-solidc. Dcvamla conslatation d'une f3ible corrClsion entre les ~ des analyses rCaIistIes avant et IIp'Cs cryoconservation, nous avons teste trois protocoIes techniques difl"crcnts associant ou DOn au marquage CD451CD34 (protocole de Sutherland) IDle lyse des globules rouges ct une Mluation de la viabilite celluJaire parinalrporation d'lodwcde ProPdium: (i) lyse. (0) IysC + IP, (iii) non Iy~ + IP. Avant congelation, les ~tats en tcrme de pouI'CCIItage de cellulcs CD34' pII' rappm aux 1cucocytcs tolauXd CD terme de viabiIi~ De' pcrmellelll pas de dilTCn:nclcr Ic:s trois protocolcs. Par contre, apres dCcongelation it semble lpIC la methode (il) dOIInc des poun:ent3ges de CD34'plus elMs (2,OI%± 1,84% (i); 2,82%:1: 1,67%(0)d I,'''.U 1,22% (iii) . Nous IYODS ensuite compuR Ics~tats des efficacices de clooage par CD34 (nombrc de colonies IIIOIDbrc de cellules CD34' mises CDculture) de chaquc pretevemcnt avantet IprCs ayoconservation CDutihSllllles ~ de quantification CD34'obtenus me lestroisproCocoles testes. NosJisultats scmblcnt montIer lpIC Ie JX'OfOCOle (iii) donDc anemeiDcure correlation avanI et apres ayoconscrvatioD (respcctivement 49,3% ± 0,03d 49% :l:0,05>, les protocoles (i) d (ii) doanant des valeurs ~us ClcvCes IVIIIt congelation qu',pIts (rcspecdvemcnt 37% :l: ~A. vs. 26%:t 10% (i) d 42% :t 13". vs. 25% :t IrA. (Ii». Unc etude ~us approCoodic des kbantiDons apes dc!congeJation imegrant i Ia fois les ailtres ~ d fonctioonels devr.lit nous pcrmettrc de tranchcr entre la ~ (ii) d (ill).

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Evolution des consommations des concentres de globules rouges chez les trans piantes cardiaques entre 1996 et 1999 i I'Hopital Cardiologique de LYON

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L. Garin', M. Raba2, B. Du Ores 1•• IUnilt d'hemovigilance, Hopital CardioJogique, 69500 BRON ,. } EFS Rhone Alpes •Site de Lyon Les transfusions de concentn!s de globules rouges (COR) chez les patients transplantes cardiaques dans notre institution ont ete evaluees entre 1996 et 1999. L'analyse weIc que si les patients n'ayant pas beneficie d'une assistance circulatoire avant lagreffe ont ete relativement peu transfuses durant laperiode peri-operatoire (J()' J3), les patients prealablement sous assistance ciculatoire ont ete significativement plus transfuses. De plus, alors que 12% a25% des patients sans assistance circulatoire n'ont pas dutout ete transfuses, ceux ayant beneficie d'une assistance circulatoire ont tous ete transfuses. Consommation des CGR en eriode "-0 • toire : CGR sans assistance avec assistance p JO·.JJ c:Irwlafolre drtuJafolre 0,02 1996 2±S n=52 lOtS n 0,007 1997 2±2 n=4 24±l3 n= 1998 l±2 n=48 IOt4 n=5 0.004 0,028 1999 1±2 n=34 IOt7 n

Transfus Clin Bioi 2000; 3

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Modele expErimental visant • itabUr DIl lien entre GVIID el GVL : Exemple clJoi1i, 1a LAM. A.Eljaafari I, X.Thomas',J. Bienvenu', O.Salles', G.SouiDet', M. MichaUet', J. Banaud I L. Mane~ L Gebuhnr I d D. Rigall. IUS L)'CfI. Banque de 7lr.na et CeUuIes. Hdpilal £. HerrioI. PavIJ]OfI I. j Plactd'A/'J()fflIai. 69417 LYON Lon d'lIletransplllltatioo m&.lullaire, I'efret OVL est IOUvent ficilit6 pa' II OVHD. Dans ce travail DOllS IVlll'IS c:hm:h6 i en comprendre lesm6canismes. Pour ce faire, nous IvonS etudi6 refret des C)'lokines sccretc!cs pendant II OVHD, lID' Ie dcvenir des blastes issus de LAM. Des QlInJu mixtes IymphOC)Uires entre IUjeu HU·DR difrmnu llIIt 616 effecnm. I.e swnagcant de ces cultures I etiI recueilli puis utilis6 poor Qlltiver des bides de LAM 4 au , provenant de , patients difrt!nDts, en COlDpanQal avec un milieude culture classique (RPM! + Il!rum hUIDain). L'aspcctph6D~iquc et fanctionnel de ces blastes I a10n 616 InaIys6. Sur Ie prill ph6D~ique : Noa ri!sultats moolrent que I'expressioa do mol6cules telles que CD40, CDS4, HlA-DQ, DRet tlwe I est btement lugmSlI6c plI' IeRI1IJ8ea11t HLA DR. alon queni 87·1 ni B7·2 ne lOOt modifi6es. Par aillCUB, lIufpgenique HlA-DRdifflralt induit Ieii'rccoonaissance aussi bien PU'des lymphocytes T autoll>gllCS que des lymphocytes HLA·identiques, • en juga p8I' II fa1c prolif
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Communications

P33-08 Methode de purification preparative des poJynueJeaires neutrophiles humains par Ie MACS (MonoeJonal Antibody Cell Separation).

J. Coste', C. Segarra',C.Dressayrel , T.Comm~, J. Marte. I LaboraJoire de Biologie MoTecu/aire. EFS Pyrerll!eJ-Medilerranee. 34094 MompelJier Ceder 5 .. lLaboraJoire de Biologie CeIJuIaire. UM IL 14000 MompelJier. Us Polynucleaires Neutrophiles (PNN), 8SSIrCllt la premiere ligne de defense de I'organisme contre les infections bactt!riennes et fongiques. Des transfusions deneutrophiles sont reaJisees chez les sujetsneutropeniqucs ne rc!pondant pas • I'antibiothl!nipie. Mais les PNN portent' leur surfilce des

antigenes (Humain Neutrophil Antigens, HNA) responsables d'aUoimmunisations. Les connaissances sur les Iocalisatioos et fonctions de la majorite des UNA impliquc!s sont encore tres incompletes, Cornme le phenotype d'une cellule est determine par son expression genique, nOllS souhaitons etudier Ietranscriptome du PNN par Ia methode duSAGE (Serial Expression of Gene Expression). La caractt!risation des transaits, requiert une preparatioo tres pure et non a1tt!r6e des PNN. Au cours de Iatechnique du MACS, les PNN sont fixes sur des billes IIUIgnc!tiques couplc!es • un anticorps mmoclonal anti-CDI S. Apres incubation, la suspension marquee est dc!posc!e dans une colonne de separation placc!e dans unsysteme aillUlnte qui va retenir les billes. Apres lavages pour eliminer Ies cellules cmtaminantes non fixees (c!rythrocytes, plaquettes, mooocytes et lymphocytes), la colonne est d6s0lidaris6e de I'aimant Us PNN sont allrs elues. so millions de PNN ontpu ~tre ObtCIIUS avec un degre de purDIe de 99.6 ~•• partir de 20 ml desang. La purete a eteverifi6e par Cytornc!trie de Flux par des anticorps anti-CD4S couples au FlTC. Le couplage des PNN aux anti-eo11 b-FITC a permis de verifier I'absence d'altc!ratioo des PNN. En cmclusiOll, c:ette methode simple etrapide pennet d'obtenir des PNNavec un rendement bnportant, dont les ARNpuis lesARNm peuvent etre extraits pour lamise aupoint duSAGE.

P33-10 EVOLUTION DE L UNITE DE CYTAPHERESE DUeNTS DETUNIS M.MAAMER, N. FOUDlIAILI, N. MOJAAT, L. BENHAMED, C.HAMDI, , A. BAROUDI, S. HMIDA. K. BOUKEF CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE L'activile II' apherese a demarre en 1991 auCNTS deTunis qui disposait alors de 3 machines Haemonetic's (I PeS et 2 VSO+). Le programme de plasmapherese, pourtanl reussie aupre.s des donneurs, a dil ~tre abandonnee • cause duprix derevient (prix Jugc trop eleve). £I, il a etcreserve aux femmes

immunisces vis l\ vis d'un antigcne erythrocytaire et nous avons parailleurs developpe ractivite de cytapherese, L'engrenage etantpris et I'aclivite

devenant visible, il fallait essayer d'intensilier I'activile derecrutement et de fldelisation de donneurs volontaires deplaquenes parla conversion de donneurs decompensation envolontaires , et par lasensibilisation et le recnnement denouveaux donneurs, Ainsi !'aclivite decytaphl!rese sediversilie deplus enplus:prclhemenl des plaquettes, des granulocytes, 1es lymphocytes, des cellules souches peripheriques et I'cvolution duservice est ainsi,

a :Evotution des plaquettes d' aphc!me : AMee 1994 I99S 1996 1997 1998 NbCPA IS 36 278 676 lOt I b : Evolution des donneurs volontaires deplaquettes ~nl!e

. DVP

1995 04

1996 15

1997 70

1998 148

1999 1245 1999 241

e : Evolution des programmes decytapherc!se programme plaquettes AUIOPBSC Lymphocytes Granulocytes AMee 1998 1999

1011 124S

04 30

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COLLECfE DE CELLULES SOUCHES PElUPHElUQUES POUR AUTOGREFFE AU CNTS DE TUNIS EN 1999,

Creation du centre de tnnsfusion de Limoges en 1948: objet d'une these de medecine to 1950 , un peu d'histoire.

M.MAAMER, L. BEN HAMED, N. MOJAAT, S.BOUHOULA, N. F.OUDHAJLI,A. BAROUDI, C.HAMDI, S. HMIDA, F. JENHANI, K.BOUKEF CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE En1999 ,trente cytaphCreses ontc!tc! realisees chez 13 patients par "unite de cytaphCrese du cnts deTunis. Les eytaphcreses ont ell! cffectuc!es surun seul type deseparateur dece!lutes sanguines,MCS 3pd'Heamoctic's ladose de3.10'6CD3/Kg, est jugee d'emblee necessaire alareconstitution hemalologique .us treize patients sont ages de 13 a56 ans (moyenne :38 ans).La palhologie etelamaladie deHodgkin dans 2cas, laleucemie aigue myeloide dans 4 cas,etlemyelome multiple dans 7 cas . Les patients enremission clinique complete sont stimules parduG-esF et des controles des CD34 dans Iesang circulant dupatient sont effectues regulierement apartir deJ8. Le chiffre de20 CDlhl a d'abord c!te fixe comme Ie minimum necessaire pour demarrer lescytaphen!scs mais des situations inherentes aIa maladie etlou ail malade etlou aI'organisation ont etc! lacause du demarrage de 13 cytaphereses avecun chiffre inferieur a 2OCD,J1I1. L'objectifa c!te aueint en I a4 cytaphceses avec une moyenne de2,3.Le volume sanguin moyen traite estde 1,38 YST avec des extremes de 2,39 a0,81 VST .Ladose necessaire alarealisation d'une greffe a ete collcclee enune cytaphcrese pour 8 patients soit 6$% des cas. Parmi ces 8 patients 5 sont alleint demyelome.J1 ya une bonn~ correlation entre Ie taux de CD,. dans Ie sang pcriphcrique etla quantile de CD 34 colleclee.

C.Boccaccio. lBonnct. Therapie cellulaire, IGR, 39rue Cami/le Desmoulins, 901805 J711ejuif L'oojecti! de la creation du CISde Limoges etait d'clablir un reseau de donncurs benC'.·oles. Les donneurs remunerCs restaient comme donneurs «d'urgence II, assuraient one garde et permcttaient de gerer la penurie, Le centre dcbuta avec 6 flacons et 6 donncurs remuncres pour atteindre ensuite 300 flacons et 50 donncurs. La consen..ation du sang etait tres breve(< 3 jours) mais Ics retours de sang non utilise etaient refusCs « impiloyablement II. Apartir du sang total. dans quelques cas Ie centre a recueilli par sCdimentation du plasma pour Ie traitement des brUles ou du sCrum de donneurs convalescents (polio, coqucluche. rougeole). Pour ces techniques lourdes, standardisation et reglementation Ctaienl alors reclames. AIa lecture de celte thi:se on peut constater qu'en SO ans les themes de Ia transfusion sont restes inchanges: recrutement des donneurs et fidClisation, sCcurite transfusionnclle et prevention de I'bCpatite, ~bilile, hemo\'igilance.

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Etude de la contamination inter·Echantillons du semiautomate (MAPI II, IMY) de cendltionnement du serum des donneun en paillette de congelation en azote Iiquide.

Groupes sanguins. thromboses veineuses profondes et infarc:tu5 dumyocarde

J. Devignes, It Kacenelen, F. Maire,O. Agulles,C. Janot' I E/abllssement

Regional de Transfusion Sanguine Lorraine Champagne SudBlatheque In/eregionale en azoteliqulde. Sue de Met»; 6, rue des Dames de Men B.P. 1012·j7036Me/% Ceder Des ~hantillons de serums de donneurs sent conserves par cong~lalion en azote liquidedans les biotheques d'~chantillons de I'Etablissement Fr~ais du Sang dans le but de con~les s~ologiques ulterieurs ou d'eventuelles ~ludes en biologie moleculalre. Le semi-automate utilis~ (MAPI ll , IMV) de conditionnement des serums en pailleues (CRYO BIO SYSTEM) traite des tubes-\!chantillons ouverts et le consommable de prise d'essai est manipull! direc:temenl par l'operareur. Dans le but d'etudier la contamination lnter-echentillons, les serums des paillellesde 5 donneursAgHbsncgaliCs connus, conditlonnes ap~s traitement par Ie MAPI d'un echantillon AgHbspositiC(ratio D.O. ~h.nlillon 10.0. seuil de 302; trousse ELISATEST SYSTEM m, ORTHO DIAGNOSTIC), ontctc contr61es pour la recherche d'AgHbs. Aucun resultat ne s'est averc AgHbs positif. De meme, les sCrums des paillenes de 10 donneurscontr61es n~gatiCs pour la recherche d' ARN VHC (Amplicor avec un seuil de detection de 1000 copies, COBAS, ROCHE), conditionnes apres traitement d'un ~chantillon dont le resultat de la recherche d' ARN VHC a cte trouve positiC par la m6me technique, ontctc contr61es pour Ia recherche d'ARN VHC. Tous les resultats des contr61es elaientncgatifs. Dans Ie, deux cas, les deux procedures preccdente,ont ~t~ repCtce, dcux foi,. Ainsi, la contamination inter-echantillens n'a pas ctc mise en cvidenceavec Ie, tests ~alises. Dan, le contexte d'ctude en biologie mcleculaire, it sera it n~anmoins necessaire de disposer d'un automate permettant le conditionnement de, cchantillons en paillenes sans ouverture des tubesechantillons et sans intervention de I'o~rateur lors de la prise d'essai .

Apport du Oivage Enzymatique dans la recherche de mutations ponctuelles l

B. Mercier I, E. Oga 2, C. Leroyet 2, V. Berteauh 1, J.J. Blanc 1, D. Moltier 2,

c.Faecl.~.

1 Laboratoire de GenCtiquc Mol~airc et d'Histoeom~libili1e, CHU de BREST, 46 rue Felix Le Dantec, 29275 - BREST ; 2 DCpartement de Medecine Interne et de Pneumologie, aru de Brest: 1 Departement de Cardiologie, CHU deBrest~, Etablissemenl Francais du sang - Bretagne, site deBrest Ces dernicres annees plusieurs facteurs g~ques ont ~ imjiiques dans les thromboses veineuses ell ou artCrielles. Nous Il\'ons compare les ~'3lena:s des groupes sanguins dans WlC coborte de 317 pltients 1l\"Ct Ihromboses veineuses profondes, une cohorte de 276 temoins des memes services, cliniques et 41699 00nneur5 de sang. La ~'3lence do groupe sangum A chez les patiClllS avec thromboses veineuses profondcs estde 48,9%. versus 38,7 et 40,3 '10 respectivement (p- llO-4, n a l ,69, le-I ,35-2,I1). A contJario, les rm-alenccs observW do groupe sanguin 0 sont de 35,6 , 47,1 et 46,2 rcspectivement. Aucune diffCrence Ii gnificative D'a tit observee concernant legroupe sanguin 8. Nous avons egalement ~ une coborte de 372 p31ients 1\"Ct inWaus em myocarde. La txMlence ~'ee do groupe sanguin A est de ,",We
Validation d'un double embaUage dfS tissus d'origine humaine abut thirapeutique

C. Le MarCchalI , M·P. Audrezee. C. Fcrec

I Etablissement F'ranfals du Sangsilede Bretagne. 46. rue Ftlix u Dan/te. 29200Bres/.. J tabora/olre de ~nel/que Moleeulaire. ClJUBrest La recherche el I'identification do mutations ponctuelles 10m devenues esscnliollespout I'etudo des genes. Les teelmiques de depistagedes mutations commo Ie polymorphisme do confonnation des simples brins (SSCP" l'clectropho~so en gradient denaturant (DOOE) el Ie 5equen~ge prcsentenl des limite. el des conlraintes. Une nouvelle approche de Detection Enzymatiquedes Mutations (EMD) par une enzyme du cycle ccllu1lure (T 4 endonuclease VD) perroet de delector et de cliver les mesappariemenlS presentsau niveaudes hetc!roduplexes. Ce travail utilise I'EMD (kil PassportN Ph:umacia®) applique a un fragmenl de 906 paires de bases (exon 13 du gene CFTR).L'uulisation d'amorces marquees par IDl fluorochrome pennet I'analyse par un sequenc:eur automatique (ALFexprcss·Pharmacia®). L'ana!yse d'un panel de 48 mutationsdifferent« a I!valuc! Ia SeIlSlbilite do I'EMD i 96%. Dans un second temps, une c!tude prospcc:tJve en aveugle, de 71 c!c:hantiUons non l}'pI!$ ap~ analyse par DGGE, a pennis de eomparer les performancesde I'EMD et du sequen~age automatique en cycle. Les deux techniques onl dc!teete ~ ~hantillon. mutes dont un presentait Ia mutation originale 233~dcIA. La spCcificite de I'EMD cst de 95%, en eifel deux ~alltillons presentem des profilsde clivageanormau.x matgre une sCquence nonnale. Les perfomUll\ccs de I'HMO sont proches de celles des techniques plus ancieMe, (SSCP. DOGE). L'aulomatisation el Ia simplicit6 du cbvage enzymatiqnedes rntsappanemenlS pennettent son utilisauon pour de grandes series. L'EMD cst intc!ressante pourI'etude de sequenceslongues (> Ikbascs) , de plus, Ie posilionnemellt de Ia mUllltion (+1· Spaires de bases) est une aide prc!ciouse pour Ie sCquen~ge. Cependanl I'affinitc! de l'enzyme T4elldonucleaseVII pour certainsmtsappariementscst variable et les chvages non spl!cifiques rendentparfois I 'interpretation delicate.

Transfus Clin BioI 2000 ; 3

M Giraud I, F. ~ 1, Y. Nouaille do Gorcel , Ph. de Mi
Assurer I'integrilc! physiqued Ia sterilit~ en we de sa distnOutioD au bloc opc!ratoirc, ~ter les risqucs de cootaminations croisees dans Jes rCci{lients cryogt.nique&, ~iter las risques de
lire,

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Communications

P33-16

Genscreen Plus HIV Ag-Ab, un nouveau test de depiJtage combine des anticorps anti BIVilZ etde l'aotigene p24 MPh.BiroD, J.MBasse, IMJego, S.GadcIle Biorad; J boulevardRaymondPoincare, 92340Mames la Coque/Je. France

L'etude pItsentee demontre l'interet du nouveau test de depistage Gensaeen Plus IDY Ag·Ah (Biorad) pour rCduiJe la fenetre serologique cxistant entre I'infcction etI'apparition des anlicmps anti IDY. ~test~~~~~~~&~~~~ ]a

detection simuilaDCe des anlicorps anti IDYln et de l'antigene p24.

Compare au test Genscrecn IDYlI2 Version 2et• deux tests combiJis Ag· Ah commercialisCs, Gensaeen Plus IDY Ag·k pennel en moyenne une detection plus precoce des smconversious IDYl. On n'observe pas de dew entre Gcnstreen Plus mv Ag·AJ; et Genscreen IDYIn Vasioo 2 sur des sl!roconvmions contcoanl un faible laIx d'Ag. Gensaeen Plus IDY Ag-M est aussi sensible que le Geosacen IDYln version 2 dans Ia detection des sous-t}'pes IDYl groupe M et IDY2 alors que ]a detection des sous-types IDYl groupe 0 ~ renforcee. La ¢ifici~ obseMe sur one ~n de donncurs non selcctionnes ~ excellente.

Transfus Clin Bioi 2000 j 3