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Présentation de l′Institut de Prévention en Algérie
Présentation de l’Institut de Prévention en Algérie F. ILES
Objectif L’objectif de notre communication est de présenter l’INPRP à ce congrès dans le but de développer une collaboration future, dans le domaine de l’amélioration des conditions de travail qui est l’objectif primaire de notre institut, avec des organismes similaires ou avec des consultants internationaux. Méthode Depuis le mois d’octobre 2004, l’Institut national de prévention des risques professionnels (INPRP), sous la tutelle du ministère du travail et de la sécurité Sociale, que nous dirigeons est opérationnel. La création de notre Institut vient en fait compléter le dispositif de la sécurité en matière de prévention, ainsi que la mise en place du Conseil national d’hygiène sécurité et de médecine du travail par ailleurs. Il s’agit ainsi d’investir Arch Mal Prof Env 2006
Résultats-Conclusion – Développer notre institut par un apport d’expérience et intégrer dans nos études et recherches des partenaires internationaux dans l’amélioration des conditions de travail. – transfert de méthodologie. – boîte et outils pour sa réalisation. – INPRP veut initier et conduire une action collective, elle doit mettre en place une méthodologie d’intervention par un système qui doit réunir de nouveaux partenaires. – agir pour une prévention durable.
Prévention durable des TMS : des enjeux pour la médecine du travail ? Premiers résultats d’une recherche nationale pluridisciplinaire F. COUTAREL1, F. DANIELLOU1, B. DUGUE1, A. LANDRY, S. CAROLY2, Y. ROQUELAURE3, P. DOUILLET4 1. Lab. d’Ergonomie des Systèmes Complexes, Université Bordeaux 2 2. Centre de Recherches en Innovations Socio-Techniques et Organisations Industrielles, Université Grenoble 2 3. Lab. d’Ergonomie et de Santé au Travail, CHU d’Angers 4. Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail, Lyon.
Objectif Le principal objectif de la recherche présentée est de discuter des conditions d’une prévention efficace et durable des troubles musculo-squelettiques (TMS). L’évaluation des interventions est donc un élément central de la recherche. Notre but est de décrire le contexte, les objectifs, les choix méthodologiques, et les premiers résultats d’une recherche pluridisciplinaire de trois ans, dont le terme est prévu fin 2007. Nous mettons néanmoins volontairement l’accent sur les aspects qui concernent directement la médecine du travail. Les deux constats suivants se trouvent à l’origine de ce projet : 407
ER
dans la prévention car c’est le domaine privilégié de la gestion du risque accidents du travail et maladies professionnelles. Notre institut a un rôle essentiellement de promotion et d’amélioration des conditions d’hygiène et de sécurité en milieu de travail par des prestations de conseil assistance et effectue des études techniques, des études et recherches scientifiques, ainsi qu’une action d’information et de formation. Notre présentation axera surtout sur les missions de l’INPRP et les différents mécanismes pour un partenariat durable international pour des études de recherches et une méthodologie efficace.
JEUDI 1
national du travail (OIT). L’analyse de la situation sur le terrain, à travers les rapports et bilans des services de médecine du travail, montre la discordance entre le développement, assez appréciable de la médecine du travail, et les retards et insuffisances considérables en matière d’hygiène, de sécurité industrielle, d’ergonomie et de toxicologie industrielle. Aussi les médecins de travail, souvent confrontés seuls aux multiples aspects des conditions de travail et des risques professionnels, se sont investis dans des disciplines connexes de la médecine du travail en ayant recours dans certains cas à des formations complémentaires en ergonomie, en toxicologie et en hygiène industrielle notamment. Les exemples d’action pluridisciplinaires les plus remarquables ont en fait concerné surtout des inspections conjointes par les inspecteurs du travail et les médecins du travail, des actions ponctuelles des services de prévention de la Caisse des assurances sociales en liaison avec les services de médecine du travail ou de enquêtes sur les risques professionnels menées sous la direction de médecins du travail dans le cadre de travaux de recherche.. Cependant le différentes institutions ou organismes ne disposent que de très peu de profils spécialisés autre que les médecins du travail, ce qui met ces derniers en première ligne face aux risques professionnels même lorsque des actions pluridisciplinaires sont menées. En conclusion, l’interdisciplinarité tarde à être ancrée dans la pratique courante du médecin du travail.
JUIN
Le point sur le développement de la pluridisciplinarité
Objectif L’objectif de notre communication est de présenter l’INPRP à ce congrès dans le but de développer une collaboration future, dans le domaine de l’amélioration des conditions de travail qui est l’objectif primaire de notre institut, avec des organismes similaires ou avec des consultants internationaux. Méthode Depuis le mois d’octobre 2004, l’Institut national de prévention des risques professionnels (INPRP), sous la tutelle du ministère du travail et de la sécurité Sociale, que nous dirigeons est opérationnel. La création de notre Institut vient en fait compléter le dispositif de la sécurité en matière de prévention, ainsi que la mise en place du Conseil national d’hygiène sécurité et de médecine du travail par ailleurs. Il s’agit ainsi d’investir Arch Mal Prof Env 2006
Résultats-Conclusion – Développer notre institut par un apport d’expérience et intégrer dans nos études et recherches des partenaires internationaux dans l’amélioration des conditions de travail. – transfert de méthodologie. – boîte et outils pour sa réalisation. – INPRP veut initier et conduire une action collective, elle doit mettre en place une méthodologie d’intervention par un système qui doit réunir de nouveaux partenaires. – agir pour une prévention durable.
Prévention durable des TMS : des enjeux pour la médecine du travail ? Premiers résultats d’une recherche nationale pluridisciplinaire F. COUTAREL1, F. DANIELLOU1, B. DUGUE1, A. LANDRY, S. CAROLY2, Y. ROQUELAURE3, P. DOUILLET4 1. Lab. d’Ergonomie des Systèmes Complexes, Université Bordeaux 2 2. Centre de Recherches en Innovations Socio-Techniques et Organisations Industrielles, Université Grenoble 2 3. Lab. d’Ergonomie et de Santé au Travail, CHU d’Angers 4. Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail, Lyon.
Objectif Le principal objectif de la recherche présentée est de discuter des conditions d’une prévention efficace et durable des troubles musculo-squelettiques (TMS). L’évaluation des interventions est donc un élément central de la recherche. Notre but est de décrire le contexte, les objectifs, les choix méthodologiques, et les premiers résultats d’une recherche pluridisciplinaire de trois ans, dont le terme est prévu fin 2007. Nous mettons néanmoins volontairement l’accent sur les aspects qui concernent directement la médecine du travail. Les deux constats suivants se trouvent à l’origine de ce projet : 407
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dans la prévention car c’est le domaine privilégié de la gestion du risque accidents du travail et maladies professionnelles. Notre institut a un rôle essentiellement de promotion et d’amélioration des conditions d’hygiène et de sécurité en milieu de travail par des prestations de conseil assistance et effectue des études techniques, des études et recherches scientifiques, ainsi qu’une action d’information et de formation. Notre présentation axera surtout sur les missions de l’INPRP et les différents mécanismes pour un partenariat durable international pour des études de recherches et une méthodologie efficace.
JEUDI 1
national du travail (OIT). L’analyse de la situation sur le terrain, à travers les rapports et bilans des services de médecine du travail, montre la discordance entre le développement, assez appréciable de la médecine du travail, et les retards et insuffisances considérables en matière d’hygiène, de sécurité industrielle, d’ergonomie et de toxicologie industrielle. Aussi les médecins de travail, souvent confrontés seuls aux multiples aspects des conditions de travail et des risques professionnels, se sont investis dans des disciplines connexes de la médecine du travail en ayant recours dans certains cas à des formations complémentaires en ergonomie, en toxicologie et en hygiène industrielle notamment. Les exemples d’action pluridisciplinaires les plus remarquables ont en fait concerné surtout des inspections conjointes par les inspecteurs du travail et les médecins du travail, des actions ponctuelles des services de prévention de la Caisse des assurances sociales en liaison avec les services de médecine du travail ou de enquêtes sur les risques professionnels menées sous la direction de médecins du travail dans le cadre de travaux de recherche.. Cependant le différentes institutions ou organismes ne disposent que de très peu de profils spécialisés autre que les médecins du travail, ce qui met ces derniers en première ligne face aux risques professionnels même lorsque des actions pluridisciplinaires sont menées. En conclusion, l’interdisciplinarité tarde à être ancrée dans la pratique courante du médecin du travail.
JUIN
Le point sur le développement de la pluridisciplinarité