RI1 Traitement endovasculaire des anevrismes geants de la carotide intracranienne

RI1 Traitement endovasculaire des anevrismes geants de la carotide intracranienne

Radiologie lnterventionnelle TECHNIQUES AVANCEES D'INFILTRATIONS RACHIDIENNES SOUS CONTROLE TOMODENSITOMETRIQUE TRAITEMENT ENDOVASCULAIRE DES ANEVRISM...

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Radiologie lnterventionnelle TECHNIQUES AVANCEES D'INFILTRATIONS RACHIDIENNES SOUS CONTROLE TOMODENSITOMETRIQUE TRAITEMENT ENDOVASCULAIRE DES ANEVRISMES GEANTS DE LA CAROTIDE INTRACRANIENNE A JNIRI,A ELKHARRAS,S BENKADA, A EL QUESSAR, MR EL HASSANI, N BOUKHRISI, M JIDDANE N CHAKIR, RABAT- MAROC Objectifs : Préciser l'intérêt du traitement endovasculaire des anévrismes géants de la carotide intracrânienne. Matériels et méthodes : Dans une étude rétrospective allant de 1992 à 2003, nous rapportons 12 cas d'anévrismes géants de la carotide intracrânienne. La TDM est réalisée dans tous les cas, l'IRA4 et 1'ARM dans 6 cas, l'artériographie dans tous les cas et l'embolisation dans 10 cas. Résultats : Nos malades présentent 10 anévrismes sacculaires et 2 fusiformes. Leur siège est carotido-caverneux dans 5 cas, carotidoophtalmique dans 6 cas, et termino-carotidien dans un cas. Le traitement est fait par voie endovasculaire dans 10 cas, les 2 restants avaient un polygone de Willis non fonctionnel. Les résultats sont bon dans 10 cas. Conclusion : L'anévrisme géant de la carotide intracrânienne est une pathologie relativement rare, mais qui peut présenter des complications redoutables. Le scanner, 1'IRM et I'ARM déterminent le siège et le type d'anévrisme. L'artériographie a un rôle majeur dans le traitement grâce à l'embolisation de ses lésions. Mots clés :Artères carotides, anévrisme -Artères carotides, radiologie interventionnelle

TRAITEMENT ENDOVASCULAIRE DURANT LA PERIODE DE VASOSPASME DES ANEVRISMES INTRACRANIENS ROMPUS M Dia J SEDAT, K KECHABTIA, C RAFFAELLI NICE- FRANCE Objectifs : Démontrer la faisabilité du traitement endovasculaire des anévrismes intracrâniens rompus durant la période de vasospasme cérébral. Matériels et méthodes : Sur une période de quatre ans, onze anévrismes intra-crâniens rompus s'assoziant à une hémorragie méningée (7 communicants antérieurs, 1 sylvien, 1 carotidien, 1 vertébral et 1 du sommet de l'artère basilaire) ont été traités par voie endovasculaire en période de vasosopasme, ces anévrismes ayant été découverts après bilan artériographique réalisé à l'admission des patients 5 jours à 1 mois après l'épisode initial de rupture anévrismale. Résultats : Sept anévrismes ont été occlus à 100 %, 3 à 99 % et 1 à 95 %, sans entraîner de complications thrombo-emboliques en aval. Conclusion : L'embolisation des anévrismes intracrâniens en période de vasospasme permet de traiter ces lésions de manière plus précoce que la neurochirurgie classique, évitant ainsi les complications, souvent plus graves, d'une seconde rupture. Mots clés : Artères cérébrales, radiologie interventionnelle

P BRUNNER (1), A GANGI(2), P-Y MARCY (3), S GUTH (2), P CHEVALLIER (3), F FUERXER(1), JM CUCCHI (l), E CAZAUX (l), N AMORETT (3). S BERTRAND (l), A CHARRIER (l), M-Y MOUROU (1) (1) MONACO - MONACO, (2) STRASBOURG- FRANCE, (3) NICE- FRANCE Objectifs : Décrire les différentes techniques d'infiltrations rachidiennes sous contrôle tomodensitométrique. Les différentes approches (position du patient, voies d'abord, préformation des aiguilles d'infiltration) sont détaillées. Les divers produits localement injectés sont évalués (corticoïdes, sérum salé, anesthésiques locaux de longue durée, analgésiques). Matériels et méthodes : Chaque année, plus de 900 infiltrations rachidiennes sont réalisées sous contrôle tomodensitométrique. Elles participent à la prise en charge des : sciatiques, cruralgies, névralgies intercostales, névralgies cervico-brachiales, névralgies d'Arnold. Les lombalgies, dorsalgies, cervicalgies peuvent également constituer des indications d'infiltrations ciblées. Les patients sont évalués deux semaines puis six semaines après le geste. Résultats : Les infiltrations rachidiennes sont des techniques pouvant donner des résultats satisfaisants dans diverses situations cliniques. L'utilisation de diverses substances et de certaines approches atypiques, autorisées par le contrôle TDM, permettent encore d'améliorer ces résultats. Conclusion : Le contrôle TDM autorise la réalisation de gestes infiltratifs rachidiens de grande précision permettant ainsi de délivrer une concentration élevée d'agents thérapeutiques au contact de la structure cible. Mots clés : Rachis, ponction

EVALUATION DE LA SONDE DE NUCLEOTOMIE PER CUTANEE DE DECOMPRESSION DANS LA THERAPEUTIQUE DES LOMBOSCIATIQUESSUR CONFLIT DISCO-RADICULAIRE RESISTANTS AU TRAITEMENT MEDICAL N AMORETT (l), V FROMENT-LEONE~ (1), F HUCHOT (1), P FLORY(1), R AGOPIAN (2), JN BRUNETON (1) (1) NICE- FRANCE, (2) MONTPELLIER - FRANCE Objectifs : Evaluation de l'efficacité des nucléotomies percutanées de décompression sous contrôle tomodensitométrique et scopique. Matériels et méthodes : D'octobre 2003 à janvier 2004, 10 patients souffrant de lombosciatiques sur hernie discale postéro médiane ou foraminales non exclue résistantes au traitement médical et aux infiltrations foraminales ont bénéficié d'une nucléotomie de décompression (dekompressor* percutaneous discectomy probe stryker) sous contrôle radiologique. L'évaluation de l'amélioration de la douleur était réalisée par EVA avant et après la procédure à 48h, 57,514,530, 560. Résultats : Sept patients (70 %) à 2 mois ont noté une diminution de la douleur de plus de 80 %, 2 patients une disparition de la sciatique avec persistance de la lombalgie, 1 patient n'a noté aucune amélioration. Aucun échec technique ni aucune complication n'ont été constatés. Conclusion : La nucléotomie de décompression discale semble être une technique efficace et faisable dans le traitement des lombosciatiques sur conflit disco-radiculaire résistantes aux traitements classiques. Mots clés : Disque intervertébral, radiologie interventionnelle