RP6 La scoliose idiopathique de l’adolescent

RP6 La scoliose idiopathique de l’adolescent

IMAGERIE DE L'HEPATOBLASTOME CHEZ L'ENFANT. A PROPOS DE 20 CAS IMAGERIE DES MASSES KYSTIQUES INTRAPERITONEALES DE L'ENFANT M CHELLAOUI, L CHAT,N ALL...

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IMAGERIE DE L'HEPATOBLASTOME CHEZ L'ENFANT. A PROPOS DE 20 CAS

IMAGERIE DES MASSES KYSTIQUES INTRAPERITONEALES DE L'ENFANT

M CHELLAOUI, L CHAT,N ALLALI, F ACHAABANE, D ALAMI,A NAJID, R DAFIRI RABAT- MAROC

S KRIAA, A LAIFI, C HAFSA, M ZBIDI, R JOUINI,M GOLLI,A NOURI, A GANNOUNI MONASTIR - TUNISIE

Objectifs : Montrer les différents aspects radiologiques de l'hépatoblastome chez l'enfant. Matériels et méthodes : Vingt cas d'hépatoblastomes colligés dans le Service de Radiologie Pédiatrique de l'hôpital d'Enfants de Rabat de 1987 à 2004. Tous nos patients ont bénéficié d'une échographie abdominale, une tomodensitométrie abdominale et une radiographie pulmonaire de face. Nous avons étudié l'âge, le sexe, la masse (son siège, sa taille, son échostructure, sa densité, son rehaussement à la TDM, ses rapports vasculaires), les métastases et son évolution. Résultats : Il s'agit de 9 garçons et de 11 filles, âgés de moins de 7 ans avec une moyenne d'âge de 22 mois. La tumeur siège le plus souvent à droite, est volumineuse, hyperéchogène dans 15 cas, hypodense dans tous les cas, hétérogène dans 15 cas, contenant des calcifications dans 8 cas et des zones de nécroses dans 9 cas. L'atteinte vasculaire est notée chez 15 patients. Les métastases sont : hépatiques (1 cas), pulmonaire (1 cas) et ganglionnaires dans 3 cas. Conclusion : L'hépatoblastome est de loin la plus fréquente des tumeurs hépatiques malignes primitives de l'enfant de moins de 3 ans. Son diagnostic repose sur les données de la biologie et de l'histologie. L'imagerie en coupe montre la masse le plus souvent volumineuse et hétérogène, contenant des calcifications et des zones de nécroses dans la moitié des cas, associée à une atteinte vasculaire. Elle permet un bilan lésionnel précis utile au chirurgien et un suivi post-thérapeutique. Mots clés : Foie, tumeur maligne - Pédiatrie

Objectifs : Décrire les aspects radiologiques et proposer une démarche diagnostique devant une masse kystique intrapéritonéale chez l'enfant. Matériels et méthodes : Etude rétrospective de 71 cas de masses intrapéritonéales entre 1995 et 2004 âgés de quelques mois à 12 ans. Tous les patients ont bénéficié d'une échographie abdominopelvienne. La TDM a été pratiquée dans la majorité des cas et I'IRM dans 4 cas. Résultats : Vingt trois cas de kyste de l'ovaire, 20 cas de duplication digestive, 18 cas de lymphangiome kystique intrapéritonéal, 8 cas de kyste de cholédoque et 2 cas de kyste mésentérique dont un est calcifié. L'échographie abdominale a permis de c o n f i e r la nature kystique de ces masses dans tous les cas. La TDM abdominale a permis de bien étudier les rapports de la masse. L'IRM a c o n f i é l'origine biliaire dans les 4 cas et a permis le typage selon la classification de Todani. Excepté 3 cas de kystes de l'ovaire ponctionné, tous nos patients ont eu une confirmation histologique après exérèse chirurgicale. Conclusion : Le kyste de l'ovaire est la masse kystique intrapéritonéale la plus fréquente chez le sexe féminin. Tous sexes confondus et en dehors du kyste de l'ovaire, la duplication digestive est la masse la plus fréquente chez l'enfant. L'échographie abdominopelvienne suffit pour confirmer la nature liquidienne et d'approcher le diagnostic, la TDM étudie mieux les rapports de ces masses. "' Mots clés : Pédiatrie, tumeur - Abdomen, kyste

RP6 Poster commenté - Mercredi 19 - 1 1 h 42 - Théâtre

LA SCOLIOSE IDIOPATHIQUE DE L'ADOLESCENT

PLACE DE L'IRM FCETALE DANS LA PRISE EN CHARGE DES AGENESIES DU CORPS CALLEUX

B DELORME, D LOISEL C LEPINARD, S TRIAU, F BOUSSION, A MOUMOUH, F SACCARDY,S VELASCO, E CABON, P VANDERMARCQ,E PAULET, C CARON-POITREAU JP TASU - FRANCE ANGERS POITIERS - FRANCE Objectifs :La scoliose idiopathique touche 2 à 4 % des enfants entre 10 et 16 ans. Ce travail illustre les aspects de cette pathologie et propose un compte rendu radiologique type. Matériels et méthodes :La scoliose est définie par une incurvation latérale du rachis de plus de IO0, accompagnée d'une rotation vertébrale. Les principaux facteurs de risque de progression de la scoliose sont une grande angulation initiale, la découverte précoce et le sexe féminin. Le risque évolutif d'une scoliose est estimé selon la méthode de Cobb, le test de Risser et la courbe de Duval Beaupère. Résultats :Les différentes techniques d'acquisition du télé rachis sont abordées. A partir de ces clichés du rachis en entier, les différentes mesures à effectuer sont expliquées : angle de Cobb, rotation des corps vertébraux, équilibre global du rachis dans le plan frontal et sagittal, équilibre pelvien dans le plan sagittal et test de Risser. Un compte rendu type est proposé, permettant de regrouper l'ensemble des mesures utiles au clinicien. Conclusion : La scoliose est une pathologie fréquente pour laquelle la radiographie standard a une place déterminante pour le diagnostic et le suivi. Un compte rendu type détaillant l'ensemble des mesures utiles devrait permettre une comparaison et un suivi évolutif fiable. " Mots clés : Rachis. déformation - Pédiatrie

Objectifs : L'objectif de cette étude était de comparer les résultats de 1'IRM fœtale et de l'échographie fœtale (EF) dans le diagnostic d'agénésie du corps calleux (ACC). Matériels et méthodes : Sur une période de 7 ans, 20 femmes ont étés prises en charges suite à la découverte échographique d'une agénésie complète du corps calleux (ACCC), dix patientes ont bénéficié d'une IRM fœtale. L'examen fœtopathologique constituait l'examen de référence (n = 10). Résultats :Dans le sous groupe des ACCC confirmés à l'examen fœtopathologique, (n = 8), 6 ont bénéficié d'une IRM qui était toujours concordante. Dans ce même sous groupe, à l'échographie, 5 étaient décris comme des ACCC, 2 comme des suspicions d'ACCC et une comme une suspicion d'agénésie partielle (AP). Dans le sousgroupe des AP confirmées à l'examen fœtopathologique, (n = 3), l'échographie et 1'IRM étaient concordantes dans tous les cas. Conclusion : Au vu de notre courte série, le caractère partiel ou complet de I'ACC semble être mieux précisé par 1'IRM que I'EF. Bien que le caractère complet ou non de 1'ACC ne semble pas influencer significativement le pronostic, 1'IRM permet également une recherche plus fine des malformations cérébrales associées, notamment les anomalies de la migration neuronales. L'IRM apparaît donc le complément indispensable et fiable à 1'EF en cas de suspicion ou de diagnostic d'ACC. " Mots clés : Fœtus, anomalie - Corps calleux - IRM