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Rythme veille-sommeil chez les infirmières de nuit : comparaison entre période de repos et période d'activité.
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Comptes rendus de rhnion
avec deux jours de repos ont participe ?I l’etude pendant les jours de travail. 11s ont Cte apparies avec un groupe de 20 travailleurs de jour permanent (Lge : 35 + 7 ans), altemant 5 jours consecutifs de travail (7 h-15 h 30) avec 2 jours de repos. L’activite a CtC enregistree a I’aide d’un actimetre. Les performances ont BtC tva1uCes pendant le travail toutes les 2 heures avec un ordinateur de poche. La melatonine (6-sulphatoxymtlatonine) a CtC dosee dans les urines de 24 heures. Chez les travailleurs de jour (jours de repos et de travail), et les travailleurs de nuit (jours de repos), le pit de la melatonine urinaire Ctait nocturne. Pour les nuits de travail, les six travailleurs de nuit avaient inverse leur rythme avec un pit de melatonine pendant le sommeil diume, alors que les 14 autres avaient conserve leur rythme (pit de melatonine pendant la periode de travail nocturne). Pour le test de temps de reaction de choix, les six travailleurs de nuit desynchronists compares aux travailleurs de nuit synchronises ont de meilleurs resultats. Ces six sujets n’ont pas de difference significative avec les travailleurs de jour. Pour les tests de memoire, les travailleurs de nuit desynchronises ont de meilleurs resultats que les autres travailleurs de nuit. Leurs resultats ont m&me tendance a &tre superieurs a ceux du personnel de jour. Les six travailleurs de nuit ddsynchronisb ont la facilite d’adapter leur secretion de mtlatonine aux changements rapides des horaires du travail. 11s sont plus jeunes et plus performants au travail que les autres travailleurs de nuit.
Rythme veille-sommeil chez les infirmiikes de nuit : comparaison entre p&Me de repos et p&ode d’activiti. M Rey 1, G Gazazian 2, C Geslin-Fabre 2, F Philip-Joet 3, D Poyen 2, Y Millet 1 (1 Service d’exploration fonctionnelle du systkme nerveux CHU Timone, Marseille ; Zservice de mPdecine du travail; ‘service de pneumologie CHU nerd, Marseille, France).
Pour Bvaluer I’organisation du rythme veille/ sommeil chez les infirm&es de nuit du CHR, trois inlirmibres de nuit d’un service d’urgence ont Cd enregistrtes pendant 24 heures (Medilog 9000) le demier jour de la periode de travail et le demier jour de la p&ode de repos. Six mois plus tard, elles ont rempli un agenda de sommeil. Ces infirmikes, celibataires, sans enfant, LgCes de 40, 46 et 38 ans travaillent de nuit depuis 18, 26 et 17 ans. Les durees de sommeil apprecites par l’agenda et mesurtes par enregistrement sont assez superposables. Entre les periodes de travail et de repos, la duree moyenne de sommeil varie de 6 h 06 + 12 min a 9 h 00 f 21 min. Cette recuperation s’effectue durant les deux premiers jours de repos : augmentation des dukes de sommeil lent 1Cger et paradoxal et du nombre de phases paradoxales (cinq versus trois). Cette etude justilie l’application des 35 heures qui permet l’attribution systematique de repos de trois jours conskutifs pour les personnels travaillant la nuit.
Ef’fets d’un sommeil nocturne de courte durCe sur le sommeil paradoxal et le sommeil lent, profond, du sommeil matinal de r&q&ration. G Dewasmes, P Signoret, A Nicolas, J Ehrhart, A Muzet (Laboratoire de physiologie et de psychologie environnementales, CNRS, Strasbourg, France). Dans ce travail, nous nous sommes inttressts aux effets de sommeil courts (SC) sur le sommeil de recuperation du matin, done B un moment de la journee oti l’interaction sommeil lent profond (SLP)/sommeil paradoxal (SP) est forte. Chacun des 8 sujets ttudits (20-25 ans) a Cte maintenu CveillC en chambre climatique entre 22 et 7 h (au confort thermique). Le sommeil (SD) Ctait ensuite permis a partir de 8 h. Dans deux autres conditions, un sommeil court (90 min) Ctait permis, soit a minuit (SCD), soit a 3 h du matin (SW). La duree du SLP est reduite au tours du SD d’une duree proportionnelle a celle cumul&. au tours du
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avec deux jours de repos ont participe ?I l’etude pendant les jours de travail. 11s ont Cte apparies avec un groupe de 20 travailleurs de jour permanent (Lge : 35 + 7 ans), altemant 5 jours consecutifs de travail (7 h-15 h 30) avec 2 jours de repos. L’activite a CtC enregistree a I’aide d’un actimetre. Les performances ont BtC tva1uCes pendant le travail toutes les 2 heures avec un ordinateur de poche. La melatonine (6-sulphatoxymtlatonine) a CtC dosee dans les urines de 24 heures. Chez les travailleurs de jour (jours de repos et de travail), et les travailleurs de nuit (jours de repos), le pit de la melatonine urinaire Ctait nocturne. Pour les nuits de travail, les six travailleurs de nuit avaient inverse leur rythme avec un pit de melatonine pendant le sommeil diume, alors que les 14 autres avaient conserve leur rythme (pit de melatonine pendant la periode de travail nocturne). Pour le test de temps de reaction de choix, les six travailleurs de nuit desynchronists compares aux travailleurs de nuit synchronises ont de meilleurs resultats. Ces six sujets n’ont pas de difference significative avec les travailleurs de jour. Pour les tests de memoire, les travailleurs de nuit desynchronises ont de meilleurs resultats que les autres travailleurs de nuit. Leurs resultats ont m&me tendance a &tre superieurs a ceux du personnel de jour. Les six travailleurs de nuit ddsynchronisb ont la facilite d’adapter leur secretion de mtlatonine aux changements rapides des horaires du travail. 11s sont plus jeunes et plus performants au travail que les autres travailleurs de nuit.
Rythme veille-sommeil chez les infirmiikes de nuit : comparaison entre p&Me de repos et p&ode d’activiti. M Rey 1, G Gazazian 2, C Geslin-Fabre 2, F Philip-Joet 3, D Poyen 2, Y Millet 1 (1 Service d’exploration fonctionnelle du systkme nerveux CHU Timone, Marseille ; Zservice de mPdecine du travail; ‘service de pneumologie CHU nerd, Marseille, France).
Pour Bvaluer I’organisation du rythme veille/ sommeil chez les infirm&es de nuit du CHR, trois inlirmibres de nuit d’un service d’urgence ont Cd enregistrtes pendant 24 heures (Medilog 9000) le demier jour de la periode de travail et le demier jour de la p&ode de repos. Six mois plus tard, elles ont rempli un agenda de sommeil. Ces infirmikes, celibataires, sans enfant, LgCes de 40, 46 et 38 ans travaillent de nuit depuis 18, 26 et 17 ans. Les durees de sommeil apprecites par l’agenda et mesurtes par enregistrement sont assez superposables. Entre les periodes de travail et de repos, la duree moyenne de sommeil varie de 6 h 06 + 12 min a 9 h 00 f 21 min. Cette recuperation s’effectue durant les deux premiers jours de repos : augmentation des dukes de sommeil lent 1Cger et paradoxal et du nombre de phases paradoxales (cinq versus trois). Cette etude justilie l’application des 35 heures qui permet l’attribution systematique de repos de trois jours conskutifs pour les personnels travaillant la nuit.
Ef’fets d’un sommeil nocturne de courte durCe sur le sommeil paradoxal et le sommeil lent, profond, du sommeil matinal de r&q&ration. G Dewasmes, P Signoret, A Nicolas, J Ehrhart, A Muzet (Laboratoire de physiologie et de psychologie environnementales, CNRS, Strasbourg, France). Dans ce travail, nous nous sommes inttressts aux effets de sommeil courts (SC) sur le sommeil de recuperation du matin, done B un moment de la journee oti l’interaction sommeil lent profond (SLP)/sommeil paradoxal (SP) est forte. Chacun des 8 sujets ttudits (20-25 ans) a Cte maintenu CveillC en chambre climatique entre 22 et 7 h (au confort thermique). Le sommeil (SD) Ctait ensuite permis a partir de 8 h. Dans deux autres conditions, un sommeil court (90 min) Ctait permis, soit a minuit (SCD), soit a 3 h du matin (SW). La duree du SLP est reduite au tours du SD d’une duree proportionnelle a celle cumul&. au tours du