Modérateur : Michel Zanaret
16 h 3 0
Durée : 15 minutes
TUMEURS CERVICALES ET ADENOPATHIES : QUELLES SONT LES QUESTIONS DU CLINICIEN J PARIS, M ZANARET, MA CHRESTIAN MARSEILLE - FRANCE Résumé : La démarche diagnostique devant une tumeur cervicofaciale est aujourd'hui basée, outre les données cliniques, sur l'étude radiologique associée dans certains cas à un examen cytologique. Le bilan d'imagerie a pour but de compléter l'examen clinique, de déterminer précisément la localisation tumorale et les rapports avec les structures adjacentes et de tenter de définir la nature tumorale (argument radiologique de malignité). Devant une tuméfaction cervicale, l'examen clinique est souvent insuffisant pour assurer un diagnostic précis ou proposer un traitement chirurgical. L'intérêt de l'imagerie radiologique et en particulier les questions du cliniciens seront discutés dans le cadre de la prise en charge diagnostique et thérapeutique des métastases cervicales de carcinomes épidermoïdes, des métastases cervicales de carcinomes papillaires de la thyroïde, des paragangliomes cervicaux, des kystes cervicaux congénitaux, des tumeurs nerveuses, et enfin des lipomatoses cervicales. Mots clés : Cou
16 h 4 5
Durée : 30 minutes
TUMEURS CERVICALES ET ADENOPATHIES : LES REPONSES DU RADIOLOGUE ET DE L'ANATOMOPATHOLOGISTE: CORRELATIONS O MONNET (1), G MOULIN (1). V VIDAL (2), J PARIS (l), A JACQUIER (l), L AYCARD (1), A VAROQUAUX (l), JM BARTOLI(1) (1) MARSEILLE - FRANCE, (2) MMES - FRANCE Résumé :L'imagerie médicale a une place fondamentale dans l'approche diagnostique de la pathologie tumorale cervico-faciale. Les problèmes qui se posent sont de deux ordres : -Déterminer la nature d'une masse cervicale, sa localisation exacte et ses extensions ou connexions éventuelles. Il existe en effet des arguments de localisation, de densité spontanée, de cinétique de prise de contraste etc., en échographie, scanner et en IRM qui pourront orienter vers un diagnostic précis. Ces arguments sont parfois assez fiables pour dispenser d'un prélèvement anatomopathologique avant traitement. Par exemple, le diagnostic de paragangliome ne justifie pas d'une cytoponction préalable. Dans d'autres cas la corrélation anatomopathologique reste nécessaire. -Déterminer s'il existe des arguments radiologiques de malignité. Ce problème se pose essentiellement pour les adénomégalies. Les critères de malignité des adénopathies décrits dans la littérature présentent une bonne fiabilité. Le problème se pose essentiellement en cas de ganglions métastatiques de petite taille qui peuvent être des faux négatifs. Dès lors, la biopsie éxérèse ou la cytoponction restent indispensables si un curage ganglionnaire n'est pas envisagé. La place respective de l'imagerie et de la cytoponction, leurs apports respectifs seront discutés et des exemples de corrélation positive et négative présentés. - Mots clés :Cou
17 h 15
Durée : 15 minutes
DISCUSSION ET SYNTHESE J PARIS,M ZANARET,MA CHRESTIAN, G MOULIN, G MONNEI MARSEILLE - FRANCE