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Paraplegic
Le retour haute C Maurin, Centre France Mats
g domicile
de la personne
t&raplCgique
JL Turlan Propara,
part
clis : tetraplkgie
Euromkdecine,
34195
hank
21 domicile
/ retour
Montpellier
cedex
/ devenir
Par&&u-it& de la prbparation du retour 21domicile des bless& m&hdlaires en Tunisie Service Tunisie Mots
de mddecine
I Miri,
S Ben Achour
physique,
~16s : paraplegique
MT
Kassab,
Lebib, 2010
Mots ~16s : paraplbgie composition corporelle
I nutrition
Validation de la mesure de l’eau corporelle totale par imp&dancemCtrie bioblectrique chez les patients para- et t&rapkSgiques JC Davieta,
P Dudognon*,
‘Service de gastroent&ologie, Zdtipartement de midecine physique et rtkdaptation, CHV, 87ooO Limoges, 3laboratoire de biostatistique,
I hydratation
Fuhrer MJ. Pressure ulcers in community-resident persons with spinal cord injury: prevalence and risk factors. Arch Phys Med RehabiZl993 ; 74 : 1172-7 Spungen AM. The relationship between total body potassium and resting energy expenditure in individuals with paraplegia. Arch Phys Med Rehabil 1993 ; 74 : 965-8
La Manouba,
/ tiadaptation
PM Preuxs,
1 tktraplkgie
I
Object@: Les patients para- et tetraplegiques ont des anomalies d’hydratation, de masse maigre [2] avec parfois une malnutrition qui peut favoriser les escarres [I]. L’objectif de l’ttude est de valider la mesure d’eau corporelle totale (ECT) obtenue par une technique simple et atraumatique, l’impt?dancembtrie corporelle totale (ICI), par comparaison a une technique de reference : la dilution de l’eau marquee a l’oxygene 18. Me’thodes : Une ICT double frequence (Analycor 3, Eugtdia, France) est effectuee. Les impedances 2 5 et 100 kHz et I’ECT domrtes par I’appareil sont notees. Des echantillons de salive sont preleves avant une prise orale d’eau marquee, puis 4 et 5 heures aprbs. L’ECT est calculte g&e aux enrichissements de salive mesures par spectrometrie de masse isotopique. Sont notes l’age, le sexe des patients, leur situation sur des Bchelles neurologiques et leurs criteres anthropomttriques (poids, taille, circonferences de poignet, mollet, taille et hanches). Rbultats et discussion : Six patients parapltgiques et quatre tetraplegiques sont Mudies. 11s sont Bg6s de 46,2 + 12,2 ans, avec un index de masse corporelle a 27,4 -, 5.0 kg/m*. La liaison pour I’ECT entre I’ICT et I’eau marquee est tres bonne, aussi bien avec le coefficient de correlation intraclasse (kappa = 0,86, intervalle de confiance = 0,54Q86) que par la mtthode de Bland et Altmann. La surestimation de I’ECT par I’ICT est faible (1,14 f 3.88 L, NS compare a 0). Une regression pas a pas descendante explique 94 8 de la variance avec seulement le poids corporel et le rapport tailId/ impedance a 100 kHa, et l’erreur residuelle est t&s faible (0.02 L). Conclusion: Pour ces patients, la mesure d’ECT par ICT est valide. La surestimation de l’appareil est minime. Une mesure trts precise peut &tre obtenue avec une equation integrant le poids corporel, la taille et la valeur de I’impedance & 100 kHz.
N Sliman
Le service de medecine physique de l’institut national d’orthop&lie MT-Kassab accueille annuellement un taux consequent de blesses mtdullaires (25 pour 16 lits d’hospitalisation). Si la prise en charge initiale en milieu hospitalier tente de s’aligner sur la prise en charge, la preparation du retour a domicile est tout autre du fait du contexte socioculturel. Afin de mieux illustrer ces particularit&, nous avons eu recours a un enregistrement video de trois patients blesses medullaires (une Gillette scolaris&s, une femme au foyer mere d’enfants et un ouvrier). Les difficult& mattrielles (notamment pour I’acquisition de l’appareillage) et les barrieres architecturales sont souvent mtsestimbes. Ntanmoins, une grande adaptation a ttt observte chez nos patients.
JC Desporti, S Guinvarc’h2, JY Sallea, P Ritz4
de nutrition
5,
Les progrts constants effect&s par la mtdecine d’urgence et de r&animation ont amen6 au fil du temps dans nos services de plus en plus de personnes prtsentant une tetraplegie haute post-traumatique. I1 est logique de penser que la lourdeur des situations de handicap qui en resulte pose des probltmes spt?cifiques de retour a domicile et de devenir de ces patients. Nous avons Btudie 32 dossiers de patients tetrapltgiques de niveau particulierement ham (sup&ieur ou Cgal a C4 utile, Frankel A) ayant s6joume entre 1985 et 1997 au centre Propara au stade aigu et qui ont done beneficit d’une demarche de readaptation et de &insertion. Parmi ces 32 patients, huit d’entre eux (25 %) prtsentaient une insuffisance respiratoire grave : ventilation assistde ou tracheotomie chronique. Le retour a domicile a CtC possible pour 21 d’entre eux, six n’ont pu se passer d’un htbergement en collectivite, sept sont d&cedes soit a un stade pr6coce (deux), soit plus tardif (cinq). Nous abordons dans cette etude les difficultes specifiques que nous avons pu rencontrer dans la demarche de reinsertion ainsi qu’une evaluation du devenir a plus long terrne et des difficultes qui ont jalonne ces parcours.
FZ Ben Salah, C DC,
faculte’ de me’decine, 87000 Limoges, dlaboratoire humaine, 63000 Clermont-Ferrand, France
Chordome M Dauty
sacri2 : une pathologie
1, A Faure 2, JC Le Nee13, C Dubois
‘Service de soins de suite et rkzdaptation. tologie, Jclinique chirurgicale A, CHV, Mob
cl6 : tnmeur
osseuse
I chordome
rare i
Zservice de neurotrauma44093 Names, France / sacrnm
A partir dun cas clinique, les circonstances diagnostiques et la prise en charge d’une pathologie rare, le chordome sac& sont present&s. Gas cliniqae : M X, ag6 de 69 ans, pr6sente depuis des mois des coccygodynies rapidement associ6es 1 des troubles du transit a type de constipation. En raison du caractere fonctiomrel des signes cliniques, le diagnostic sera retard& C’est l’bvolution vers des manifestations sensitivomotrices dans le territoire S2 et neurosphincteriennes dam les territoires S3-S4-SS qui conduiront a rechercher une compression des racines sacr6es [I]. L’iconographie par IRM orientera la biopsie osseuse sacr6e qui permettra d’affier le diagnostic de chordome sacr6. Le traitement necessite alors une exe&e chirurgicale monobloc sous la forme d’une sacrectomie au niveau S 1. Les suites sont marqu6es par :