NR22 Apport de l’IRM dans la neurosyphilis. A propos de 12 cas

NR22 Apport de l’IRM dans la neurosyphilis. A propos de 12 cas

APPORT DE L'IRM DANS LA NEUROSYPHILIS.A PROPOS DE 12 CAS M MAAROUFI, F BELAHCEN, N SQALLI HOUSSAINI, I KAMAOUI, M LEMHADRI, S TIZNITI FÈs - MAROC Obj...

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APPORT DE L'IRM DANS LA NEUROSYPHILIS.A PROPOS DE 12 CAS M MAAROUFI, F BELAHCEN, N SQALLI HOUSSAINI, I KAMAOUI, M LEMHADRI, S TIZNITI FÈs - MAROC

Objectifs : Rapporter les aspects en imagerie par résonance magnétique de la l'atteinte syphilitique du système nerveux central. Matériels et méthodes : Notre étude porte sur 12 malades présentant une neurosyphilis du nevraxe explorée en IRM. Résultats : Nos malades étaient tous de sexe masculin avec une moyenne d'âge de 42 ans. Cliniquement 50 % des malades présentaient une paralysie générale, 32 % un tabés, 8 % une méningoencéphalite et 8 % un accident vasculaire cérébral ischémique. La sérologie syphilitique était positive chez tous nos patients. En IRM, une atrophie fronto-temporo-pariétale a été constatée dans 40 % des cas, des lésions de type vasculaire dans 8 %, une hydrocéphlalie avec des lésions de la substance blanche dans 8 %, et une atrophie médullaire dans 8 %. L'IRM est revenue normale dans les autres cas. Conclusion : La neurosyphilis constitue 5 à 10 % des syphilis non traitées et 33 % des syphilis tertiaires. L'IRM cérébrale et médullaire est un examen d'imagerie indispensable pour le bilan lésionnel de la neurosyphilis. Elle montre les atteintes de la substance blanche, l'atrophie parenchymateuse et permet souvent une corrélation radioclinique. Elle permet également d'évaluer l'efficacité thérapeutique. Mots clés : Système nerveux, infection - IRM

IMAGERIE DES NOTOCHORDODYSRAPHIES A DAADOUCHA, K MRADDALI,N ARIFA,Y OULDHMEIDI, K GRAIES TLILI SOUSSE- TUNISIE

Objectifs : Présenter une revue iconographique des aspects en imagerie, notamment IRM, des notochordodysraphies, corrélés aux modes de présentation clinique. Matériels et méthodes :Douze cas de notochordodysraphies (1 1 diastématomyélies et 1 kyste neuro-entérique) sont colligés entre 19932004. Tous les patients étaient explorés par des radiographies standard. Un myéloscanner était réalisé dans 5 cas, une IRM dans 7 cas et une échographie médullaire dans un cas. Résultats : Les signes étaient cutanés (10 cas), orthopédiques (9 cas), neurologiques (8 cas) et détresse respiratoire (1 cas). Les malformations vertébrales étaient présentes dans tous les cas. La division médullaire était partielle avec 2 hémi-moelles sans éperon dans 3 cas, séparé par un éperon dans 8 cas. Le cône terminal était en position normale dans 3 cas, unique et bas inséré dans 3 cas, double et bas inséré dans 4 cas. La malformation était associée à un lipome (2 cas), tératome (lcas), hydromyélie (3 cas). Un cordon fibreux entre l'œsophage et la moelle était noté dans le kyste neuroentérique. Conclusion : L'IRM doit être réalisée devant le moindre signe orientant vers une malformation médullaire. Elle est performante dans le dépistage et le bilan morphologique complet de ces lésions. "Mots clés : Rachis, anomalie congénitale

Poster commenté - Mercredi 19 - 10 h 48 - Théâtre

ASPECT IRM DES METASTASES LEPTO-MENINGEES A L'ETAGE DORSO-LOMBAIRE

Objectifs : Décrire les aspects séméiologiques en IRM des différentes formes de métastases lepto-méningées.

Matériels et méthodes : La séméiologie est illustrée par des cas cliniques. Les patients ont été sélectionnés à partir d'une étude rétrospective des IRM dorso-lombaires réalisées dans notre service pour recherche de compression médullaire. Résultats : Il existe trois formes différentes d'atteinte métastatique des lepto-méninges à l'étage dorso-lombaire : atteinte pseudo-tumorale, atteinte péri-médullaire << en nappe », atteinte nodulaire périradiculaire. Chacune de ces formes présente des diagnostics différentiels distincts qui seront discutés. Comme pour le système nerveux central, les localisations secondaires d'origine bronchique et les hémopathies sont les causes les plus fréquentes. Conclusion : Les métastases lepto-méningées à l'étage dorsolombaire sont une entité rarement décrite dans la littérature. Il convient de rechercher des signes frustres, notamment pour les formes nodulaires péri-radiculaires ; de plus, leur caractérisation nécessite une bonne connaissance des diagnostics différentiels. Ces lésions sont de mauvais pronostic, néanmoins leur détection peut modifier la prise en charge des patients en posant l'indication d'une chimiothérapie intra-thécale. " Mots clés :Méninges, tumeur maligne - Moelle épinière

QUELLE IMPORTANCE DOIT ETRE DONNEE AUX ANOMALIES DE SIGNAL DE LA SUBSTANCE BLANCHE. CD-ROM D'AUTO-ENSEIGNEMENT M CHEBIL, M IMEN,M MHIRI SOUEI, N ARIFA ACHOUR, H JEMNI GHARB!, S BENAMMOU,K TLILI GRAIESS SOUSSE- TUNISIE

Objectifs : Aider à une approche étiologique des anomalies de signal de la substance blanche en fonction du siège des lésions et de leur signal sur les différentes séquences. Matériels et méthodes :CD-Rom interactif exploitable sur PC et compatible travaillé sur une interface WEB contenant des clichés radiologiques retouchés sur Photoshop. Résultats : Dans la pratique quotidienne une situation assez fréquente et problématique se pose au radiologue lors de la lecture d'une IRM cérébrale avec des hypersignaux de la substance blanche sur la séquence pondérée T2. Cette situation est d'autant plus gênante lorsque le radiologue ne dispose pas d'orientation clinicobiologique adéquate permettant une approche étiologique. Les étiologies des hypersignaux de la substance blanche sur la séquence T2 étant multiples et variées, un problème de diagnostic différentiel se pose à chaque fois : s'agit-il d'une pathologie vasculaire, d'une pathologie démyélinisant primitive, d'une pathologie infectieuse, néoplasique, inflammatoire, traumatique ou iatrogène ? Conclusion : Apprendre à intégrer les donnés clinico-biologiques ainsi que les aspects en IRM des anomalies de signal de la substance blanche afin d'approcher un diagnostic étiologique. W o t s clés : Substance blanche, anomalie - Enseignement

IMAGERIE IRM DU SINUS CAVERNEUX DU NORMAL AU PATHOLOGIQUE. CD-ROM D'AUTO-ENSEIGNEMENT O KALLEL, M CHEBIL M MHIRI SOUEI, N ARIFA ACHOUR, K JEMNI GHARBI, H KRIFA, K TLILI GRAIESS SOUSSE- TUNISIE

Objectifs : Présentation après un bref rappel anatomique de la pathologie du sinus caverneux en IRM. Matériels et méthodes :CD-Rom interactif exploitable sur PC et compatible travaillé sur une interface WEB contenant des clichés radiologiques retouchés sur Photoshop. Résultats : Le sinus caverneux est une zone carrefour avec une anatomie et une pathologie riche (structures nerveuses, vasculaires et méningées). Une bonne compréhension de l'anatomie du sinus caverneux permet la compréhension de la variété importante des lésions pouvant