R372 Evaluation des connaissances des medecins generalistes en anesthesiereanimation

R372 Evaluation des connaissances des medecins generalistes en anesthesiereanimation

COMMUNICATIONS R369 ~vnluation en anesth&ie Depaftement limoges E., Feiss P. d’anesth&ie-rdanimation, kduntim R370 EVALUATION DES CONNAISSANC...

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COMMUNICATIONS

R369 ~vnluation

en anesth&ie

Depaftement limoges

E., Feiss

P.

d’anesth&ie-rdanimation,

kduntim

R370

EVALUATION DES CONNAISSANCES DES MEDECINS GENERALISTES EN ANESTHESIEREANIMATION TBcouit

997

AFFICH~ES

CHU

Dupuytren,

Introduction:

Lorsqu’une indication opdratoire est pode, avec la n&es&& dune anesth&ie, elle implique le m&de& g&krafiste (MG), car c’est souvent lui qui adresse le patient en consultation de chirurgie. C’est aussi cet interlocuteur priviMgi6 que le patient intenoge sur l’intervention, l’anesth&ie et ses risques. Les MG semblent conname de faGon insufkante les probkmes particufiers de l’anesth&ie pbdiatrique (Ann. Fr. Anesth. RBanim. 1996, 15(6): R222). Le but de cette enqu&te a done 6th d’&aluer le niveau de connaissance des MG sur I’anesWsie et les informations qu’ik pouvaient foumir B leurs patients. Mabkiel et m&odes: En dkembre 1997, un questionnaire a bt& envoy& B 90 MG exerpant dans la ville de Limoges. II portaii sur leur experience perscnnelle en anesthksie-r~animation (AR), ainsi que sur les principes de I’anesthtie g&&ale et locordgionale et leur con&quences pratiques.

R6subts:

II a Btb rew 41 rbponses. L’age moyen &it de 44,3 ans. 32% des MG ont dbdar(! avoir travailid dans un SAMU, 17%, avoir dkja effectue une anesth&ie g&n&ale, 63%, avoir deja subi une anesth&sie g&Wale et 39% une anesthksie locorbgionale. 24% des MG avaient un anesthdsiste dans leur entourage. Pour 19‘5% des MG, une anesth&ie g&Wale pouvait &b-e kgalement effect&e par un Yechnicien sp&ialii”. Les agents anesth&iques les plus connus Btaiit l’halothane (51%) et le thiipental (39%). Parml les agents a arreter avant une anesth&sle, les plus cites ont BU les anticoagulants (W/6), les inhibfieurs de la monoamine oxydase (68%) et les inhibiieurs de l’enzyme de conversion (61%). L’importance de la consultation d’anesthbsie Btait connue par 85% des MG, ainsi que celle du jeQne preoperatoire, mais la surveillance en salle de r&veil aprbs une p&idurale n&it pas indispensable pour 37% d’entre eux. Les troubles de l’hkmostase ne constituaient pas une con&e-indication B la pdridurale pour 40% des MG. Enfin, 17% des MG ont dbdark Wiser des anesthkques locaux saris connattre leur seuil toxique. Discussion: D’aprBs ces rkultats, les MG sont bien inform&s de certaines rbgles de s&urit~ en anesthbie, maia en ignorent d’autres, en particulier celles qui sent Ii&es aux anesth&sies locorbgionales. De plus, comme le grand public, ils ne semblent pas toujours percevoir l’anesth&iste comme un mCdecin (Cah. Anesfhesiol. 1994, 42: 109137). Ils risquent done de fournir des informations inexactes B leurs patients.

en nnesthisie

TRANSFUSION AUTOLOGUE PROGRAMMEE (TAP) ET ASSUIWNCE QUALITE Le Rolle T’, L’Hoste FZ,Rochard m, Pellier P, Vachon Lz, Gram-yJCz, I Comitk de skcun&! transfusionnelle et d’himovigilance ; z Dbpartement d’anesthtkie rkanimah’on ; 3 Unit& d’hkmatologie-oncologic pkdiatrique, CHU Angers 49033 Angers Cedex

: La TAP doit rkpondre $ deux exigences opposkes : maintenir les patients en transfusion autologue exclusive, rkduire les produits sanguins labiles autologues (PSLA) inutilids. Le but de ce travail a kttCd’ktablir un Programme Assurance Qualitk de la TAP.

Introduction

: Un bilan trimestriel de son activitk propre a &ttCadresd a chaque secteur intQessC. Un dtlai de 42 jours est respect& B partir de la fm de la p&ode considkke pour ne pas mkonnaitre les destructions ultkieures $ I’ETS des PSLA inutilids. Chaque bilan comporte le nombre de patients, avec pour chacun d’eux le nombre de cow&r& de globules rouges (CGR) et de plasma (P) autologues prklevks, transfusb, jet&, non tracts ; le nombre de CGR et P homologues complkmentaires ; le total des programmes r&lists et la moyenne des prod&s jet& pour le trimestre sur Mtablissement. Les analyses se font par le logiciel inteme de tragabilitk ASTRES et le logiciel BROWSER. Rbsultats : En 1997, sur 17643 PSL distributs, 2004 (11,36 %) ktaient des PSLA (un seul PSLA non track). On observe une diminution des patients inclus dans un protocole TAP, une diminution des PSLA transfusb, une diminution nette des PSLA jet& (16,5 % pour l’annke~. une diminution des oatients en transfusion autologue exclusive (86,l % pour l’a&e). Trimestres Nombre PSLA ( PSLA Nombre patie& + MBthode

II

I

En 1997, sur la tot&C des PSLA prescrits, 5 1 % l’ont ktte pour le service d’orthoptdie : grke B une prescription ajustCe de la TAP & la masse sanguine et au taux d’hkmoglobine du patient a la consultation d’anesthksie,les PSLA jet& sont pass+ pour ce secteur de 12,68 % (lw trimestre) $ 5,53 % (4emetrimestre). : L’tvaluation r&ulikre permet une meilleure gestion de la TAP : analyse des pratiques, &valuation d’kventuellesd&iances et ajustement.

Conclusion