429 Les hypertonies oculaires précoces dans les hyphémas post-contusifs : à propos de 28 cas

429 Les hypertonies oculaires précoces dans les hyphémas post-contusifs : à propos de 28 cas

COMMUNICATIONS AFFICHÉES LES TRAUMATISMES DU GLOBE OCULAIRE 425 Les traumatismes oculaires : aspects cliniques et épidémiologiques au centre hospitali...

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COMMUNICATIONS AFFICHÉES LES TRAUMATISMES DU GLOBE OCULAIRE 425 Les traumatismes oculaires : aspects cliniques et épidémiologiques au centre hospitalier universitaire de Marrakech. Ocular injuries: epidemiological and clinical aspects at the Marrakech University hospital. GABOUNE L*, BENFDIL N, SAYOUTI A, KHOUMIRI R, BENHADDOU R, MOUTAOUAKIL A, GUELZIM H (Marrakech, Maroc) Introduction : Les traumatismes oculaires sont fréquents et constituent une urgence en ophtalmologie. Le but de notre travail est d’étudier les caractéristiques cliniques et épidémiologiques, ainsi que les conséquences fonctionnelles de ces traumatismes. Matériels et Méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective (2005-2006) incluant 374 patients hospitalisés au service d’ophtalmologie pour traumatisme oculaire. Résultats : On a noté qu’il ne s’agit que d’atteintes unilatérales avec une nette prédominance masculine (76,33 %). La tranche d’âge la plus touchée est celle entre 4 et 16 ans (33,42 % : 125 cas). Les principales causes de ces traumatismes sont les accidents domestiques, les agressions et les accidents de la voie publique. Les principales lésions oculaires retrouvées sont les plaies de cornée (44,11 %), les plaies cornéo-sclérales (16,04 %), les cataractes traumatiques (10,16 %), les plaies de paupière avec ou sans section canaliculaire (20,84 %), les corps étrangers du segment antérieur (6,68 %) et les plaies sclérales (3,47 %°). Discussion : Dans notre étude, on note une prédominance masculine et une fréquence de 33,42 % qui représente le nombre d’enfants entre 0 et 16 ans atteints de traumatismes oculaires. Ceci est dû à la turbulence des enfants et au fait qu’ils échappent à l’autorité parentale. Les lésions les plus graves sont les plaies de cornée les plaies cornéo-sclérales. Conclusion : Vues la fréquence des traumatismes oculaires et la gravité des lésions qu’ils peuvent engendrer, des mesures préventives doivent être prises afin de diminuer le risque de ces accidents redoutables.

426 Les plaies du globe oculaire chez l’enfant : étude rétrospective de 62 cas. Perforating injuries in children: a retrospective study of 62 cases. SKIKER H*, LAGHMARI M, BOUTIMZINE N, OUAZZANI B, BENHARBIT M, IBRAHIMY W, DAOUDI R (Rabat, Maroc) Introduction : Les plaies du globe oculaire chez l’enfant sont des accidents fréquents et graves. Le but de notre travail est d’étudier les caractéristiques épidémiologiques et cliniques, ainsi que le retentissement fonctionnel des traumatismes oculaires à globe ouvert chez l’enfant. Matériels et Méthodes : Une étude rétrospective a été réalisée au service d’ophtalmologie concernant 62 enfants d’âge inférieur à 14 ans entre janvier 2001 et décembre 2005. Discussion : L’âge moyen des enfants est de 7.5ans. Il s’agissait de 43 garçons et de 19 filles. La plaie touchait l’œil gauche dans 38 cas et l’œil droit dans 24 cas. La plupart des accidents sont survenus dans la rue avec des objets contondants. La plaie était cornéenne chez 32 enfants (51 %), sclérale chez 19 enfants (30 %). L’examen initial notait une hernie de l’iris dans 33 cas et une cataracte post traumatique dans 15 cas. La durée moyenne du suivi clinique était de 12 mois. 26 enfants (41 %) ont récupéré une acuité visuelle supérieure ou égale à 5/10. Conclusion : Ce travail souligne la gravité des traumatismes à globe ouvert de l’enfant à cause des séquelles fonctionnelles parfois définitives qu’ils engendrent. La rue reste, sous nos cieux, le lieu le plus fréquent de ces accidents loin de la surveillance de la famille. D’où l’importance de mener des campagnes de sensibilisation auprès des familles, des éducateurs et des pouvoirs publics.

427 Les hypertonies oculaires post-contusives. Contusive ocular hypertension. BAKLOUTI K*, MKHININI H, MHIRI N, MRABET A, BEN AHMED N, AYACHI M (Nabeul, Tunisie), EL MATRI L (Tunis, Tunisie) But : Le but de ce travail est de déterminer la fréquence des hypertonies postcontusives, d’établir un bilan lésionnel, d’étudier les différents types d’hypertonie observées, et de proposer une attitude thérapeutique et adaptée à chaque forme anatomo-clinique. Matériels et Méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective portant sur 216 patients présentant un traumatisme oculaire contusif, entre janvier 2001 et février 2006. Tous les patients ont bénéficié d’un examen ophtalmologique complet avec notamment une mesure de la pression intra-oculaire au tonomètre à aplanation

de Goldmann et une gonioscopie. Le traitement était médical et/ou chirurgical. La surveillance était clinique et périmétrique. Résultats : La fréquence des hypertonies oculaires post-contusives par rapport à l’ensemble des contusions oculaires était 47,2 %. L’hypertonie oculaire post-contusive était retrouvée associée de façon statistiquement significative à une mauvaise acuité visuelle (≤1/10), à l’hyphéma, aux déplacements du cristallin et aux lésions de l’angle irido-cornéen. Les hypertonies post-contusives sont classées en trois formes cliniques : les hypertonies transitoires (35 %) sont associées à la présence d’hyphéma, les hypertonies initiales et persistantes (56 %) sont associées aux déplacements du cristallin mais aussi à l’hyphéma et aux lésions de l’angle, et les hypertonies tardives (9 %) sont liées surtout aux lésions de l’angle. Discussion : Le traitement des hypertonies transitoires est presque toujours médical. Dans les hypertonies initiales et persistantes, il est variable selon les lésions associées et dans les glaucomes tardifs, la trabéculectomie représente le traitement de choix. Conclusion : L’hypertonie post-contusive doit être systématiquement recherchée devant tout traumatisme oculaire. En effet, un glaucome post-traumatique peut se développer plusieurs années après l’accident contusif et peut parfois n’être découvert qu’au stade de cécité. Elle pose aussi un problème médico-légal lorsqu’il s’agit d’imputer un glaucome à une contusion.

428 Les hypertonies oculaires précoces dans les hyphémas post-contusifs : à propos de 50 cas. Early ocular hypertension in post traumatic hyphemas: 50 cases report. SALHI Y*, BENHARBIT M, BOUTIMZINE N, LAGHMARI M, OUAZZANI B, OUAZZANI K, AYADI C, SERRAJ L, IBRAHIMY W, DAOUDI R (Rabat, Maroc) Introduction : L’hyphéma post-contusif est une des principales causes d’hospitalisation aux urgences ophtalmologiques. Il se complique immédiatement d’une hypertonie oculaire dans environ 1/3 des cas. Matériels et Méthodes : Analyse rétrospective de 50 dossiers d’hyphémas postcontusifs avec HTO immédiate prise en charge au service d’ophtalmologie A de l’hôpital des spécialités oto-neuro-ophtalmologiques de Rabat entre janvier 1998 et septembre 2005. Résultats : Un lavage chirurgical de l’hyphéma a été nécessaire dans 8 cas soit 16 %, dont 4 ont gardé des séquelles importantes : un patient porteur d’une drépanocytose hétérozygote a développé une atrophie optique, et trois patients ont gardé une hématocornée obturante. Discussion : L’hypertonie oculaire associée à la présence d’un hyphéma post traumatique expose à la survenue d’une hématocornée. Par ailleurs l’hypertonie atteint fréquemment des niveaux élevés entraînant des complications ischémiques au niveau de la rétine et de la tête du nerf optique. Conclusion : L’hospitalisation est nécessaire en cas d’hyphéma avec hypertonie oculaire pour une surveillance très rapprochée permettant de poser l’indication d’un lavage chirurgical au bon moment.

429 Les hypertonies oculaires précoces dans les hyphémas post-contusifs : à propos de 28 cas. Early ocular hypertony in traumatic hyphema: about 28 cases. ELMASBAHI I*, BENATIYA ANDALOUSSI I, BHALLIL S, TOUIZA E, TAHRI H (Fès, Maroc) Introduction : L’hyphéma post-contusif est une urgence fréquente qui peut se compliquer d’hypertonie oculaire. Le but de notre travail est de déterminer la prévalence de survenue de l’hypertonie oculaire en cas d’hyphéma et suivre l’évolution de ces malades. Matériels et Méthodes : À partir d’une étude rétrospective nous rapportons 28 cas d’hypertonie oculaire précoce sur 102 patients présentant un hyphéma post-contusif, hospitalisés dans notre service entre janvier 2003 et janvier 2005. Résultats : L’hypertonie oculaire précoce a été détectée chez 28 patients soit une prévalence de 30 %, l’âge moyen est de 17 ans avec une prédominance masculine. Les agressions étaient la principale cause de ces traumatismes. Le tonus oculaire moyen à la première prise était de 32 mmHg ; un hyphéma secondaire a été noté dans 10 % des cas. L’hématocornée s’est installé dans 10 % des cas et l’atrophie optique dans 5 % des cas. Tous les patients ont bénéficié d’un traitement énergique à base d’hypotonisants et de corticoïdes, le lavage chirurgical a été effectué dans 2S275

Vol. 30, Hors Série 2, 2007

113 e Congrès de la Société Française d’Ophtalmologie

COMMUNICATIONS AFFICHÉES LES TRAUMATISMES DU GLOBE OCULAIRE 15 % des cas. Un bilan lésionnel complet et une surveillance vigilante étaient nécessaires dans tous les cas. Discussion : L’hypertonie est prévisible dans 30 % des cas d’hyphéma, elle est corrélée au grade de l’hyphéma, elle est plus fréquente en cas d’hyphéma secondaire. L’hypertonie aiguë et sévère peut être à l’origine de complications graves : l’atrophie optique et l’infiltration hématique de la cornée. Conclusion : L’hypertonie oculaire est une complication fréquente de l’hyphéma post-contusif et nécessite une surveillance très rapprochée en milieu hospitalier car il peut donner lieu à des complications graves. En cas d’échec d’un traitement médical hypotonisant, un lavage chirurgical doit être indiqué.

430 La cyclodialyse : un diagnostic à évoquer devant une hypotonie posttraumatique. Diagnosis of cyclodialysis in post-traumatic hypotony. MARKS C*, VIEVILLE C, DUMORTIER E, KOCH E, ROULAND JF, LABALETTE P (Lille) Introduction : La cyclodialyse est une complication classique mais rare des contusions oculaires ou de certaines chirurgies du segment antérieur. À partir de quatre cas cliniques, nous rappelons les caractéristiques de cette lésion traumatique particulière. Matériels et Méthodes : Nous rapportons les cas de quatre hommes victimes de traumatismes oculaires avec cyclodialyse (contusion par choc direct ou par explosion, chirurgie de la cataracte). Les analyses cliniques, échographiques et angiographiques des patients sont présentées. Résultats : Les trois patients victimes d’une contusion oculaire directe présentaient un hyphéma au décours immédiat de l’accident. Tous les patients présentaient une hypotonie chronique et son cortège de complications postérieures (décollement choroïdien, maculopathie liée à l’hypotonie…). La cyclodialyse touchait de un à quatre quadrants. Le traitement d’épreuve aux corticoïdes s’avérait insuffisant pour normaliser la situation locale. Chacun des quatre patients bénéficiait alors d’une cyclopexie chirurgicale. Après l’élévation post-opératoire transitoire de la pression intra-oculaire, tous les patients ont eu une amélioration fonctionnelle significative. Discussion : Certaines hypotonies post-traumatiques se prolongent et se compliquent d’une effusion uvéale avec présence de plis maculaires et de décollements choroïdiens. Dans ces cas, la découverte d’une cyclodialyse permet de proposer une solution chirurgicale pour fixer le corps ciliaire à la sclère. Il s’en suit néanmoins très fréquemment une élévation transitoire mais importante de la pression intra-oculaire qu’il faut prévenir et gérer pour préserver au mieux le résultat obtenu. Conclusion : Il faut savoir rechercher une cyclodialyse devant toute hypotonie chronique survenue au décours d’un traumatisme oculaire ou d’une chirurgie du segment antérieur, car son traitement chirurgical permet de normaliser la situation dans la plupart des cas.

431 Traumatismes oculaires avec corps étranger intra-oculaire du segment postérieur. Ocular trauma with posterior foreign body. ZOUARI K*, MGHAIETH F, BAKLOUTI K, CHAKER N, LAHDHIRI I, BEN YOUSSEF N, KCHAOU I, EL MATRI L (Tunis, Tunisie) Objectif : Discuter, à travers une série de 64 patients opérés pour plaie du globe oculaire avec corps étranger intra-oculaire (CEIO) du segment postérieur, les moyens de localisation des CEIO et de prise en charge thérapeutique de ces traumatismes. Matériels et Méthodes : Étude rétrospective incluant 64 patients de sexe masculin âgés de 9 à 39 ans. Le siège du CEIO était mieux précisé grâce à la tomodensitométrie. Tous les patients avaient bénéficié d’une vitrectomie à trois voies avec extraction du CEIO à la pince (48 cas) ou à l’électro-aimant. Le suivi était de 2 à 36 mois. Résultats : Les CEIO étaient tous de nature métallique, aimantables dans 93 % des cas avec une porte d’entrée sclérale dans 56 cas et cornéenne dans 8 cas. Le CEIO était intra vitréen dans 36 cas, pré rétinien dans 18 cas et intra pariétal dans 10 cas. Les complications post opératoires étaient dominées par le décollement de rétine (12 cas), l’infection (2 cas), l’hémorragie dans le vitré (10 cas), l’hématome choroïdien (2 cas) et l’atrophie du globe (2 cas). Discussion : Le pronostic des traumatismes perforants avec CEIO est amélioré grâce au progrès de la vitrectomie. Cependant, il reste sombre. Il est conditionné par

la précocité du geste chirurgical, la gravité des lésions associées et le risque du décollement de rétine secondaire. Conclusion : La vitrectomie reste le meilleur moyen d’extraire les CEIO et de prévenir les complications, notamment le décollement de rétine secondaire.

432 Corps étranger intra-oculaire. Étude épidémiologique, descriptive et thérapeutique : à propos de 92 cas. Intraocular foreign bodies. Epidemiologic, descriptive and therapeutic study (92 cases). TAZI MEZALEK L*, RATNANI K, RAZZAK A, CHAKIB A, BELHADKI M, RACHID R, AMRAOUI A, ZAGHLOUL K (Casablanca, Maroc) Objectif : Les objectifs de cette étude sont d’évaluer l’aspect épidémiologique, diagnostique et thérapeutique des corps étrangers intra-oculaires. Matériels et Méthodes : Étude transversale rétrospective, étendue de janvier 2004 à novembre 2006, ayant colligé 92 observations consécutives de traumatisme oculaire avec corps étranger intra-oculaire, (CEIO) au service d’ophtalmologie en tenant compte de l’examen clinique, radiologique et de la prise en charge chirurgicale. Résultats : Tous nos patients étaient de sexe masculin, avec un âge moyen de 31 ans (10-62 ans). Les corps étrangers ont été provoqués par des accidents de travail dans la moitié des cas et le métal a été impliqué dans 85 % des cas. L’acuité visuelle initiale est inférieure à 1/10 dans 79 %. Le siège le plus fréquent des CEIO est intra vitréen faisant souvent appel aux examens radiologiques. Les complications principales étaient le décollement rétinien (72 %), l’endophtalmie (18,5 %), la cataracte (60 %), l’hémorragie intra-vitréenne (40 %) et la déchirure rétinienne (12 %). La chirurgie faite dans 90 % des cas a permis l’extraction du CE chez 74 % d’entre eux. Discussion : Les CEIO sont l’apanage du sujet jeune, essentiellement de sexe masculin. Dans la plupart des cas, ils sont de nature métallique. L’apport de l’exploration radiologique est capital pour le diagnostic positif et la conduite thérapeutique. Le traitement est chirurgical consistant à l’extraction du corps étranger et à la réparation des lésions associées. Conclusion : Le pronostic des accidents dépend d’une part de la qualité et de la précocité du traitement et d’autre part de la gravité des complications. D’où l’intérêt de la prévention.

433 Corps étrangers intra-oculaires : à propos de 54 cas (étude descriptive, traitement chirurgical, devenir fonctionnel). Intraocular foreign bodies: about 54 cases (descriptive study, surgical management, visual outcome). ABERKANE J*, BERTAL S, MEKLICHE A, TIAR M (Alger, Algérie) Introduction : Les traumatismes oculaires avec pénétration d’un corps étranger intra-oculaire sont graves et souvent responsables de cécité dans une population jeune et active. Malgré l’évolution des techniques micro-chirurgicales, leur pronostic est toujours réservé. Le chirurgien est confronté au problème de la localisation du corps étranger, de son extraction et de la survenue de complications (notamment le décollement de rétine). Matériels et Méthodes : Une étude rétrospective (entre 2001 et 2006) a été effectuée, comprenant 54 patients avec plaie du globe et rétention d’un corps étranger intra-oculaire. Il s’agissait d’une population masculine essentiellement (92.5 %), jeune (moyenne d’âge 28 ans). Le traumatisme était survenu au cours d’un accident de travail dans 55 % des cas. La porte d’entrée du corps étranger était principalement cornéenne (76 %), sa nature était métallique dans 65 % des cas ; sa localisation : segment antérieur (44 %), segment postérieur (53 %) ; mixte (3 %). La technique chirurgicale utilisée : abord antérieur (pince et/ou électro-aimant) : 42 %. Voie postérieure : électro-aimant (20 %), vitrectomie + pince (17 %), vitrectomie + électro-aimant (13 %). Chirurgie du cristallin associée (17 %). Patients traités en une seule procédure chirurgicale (63 %). 2 patients sur 3 ont été pris en charge dans un délai de moins d’une semaine. Les complications les plus fréquemment rencontrées : décollement de rétine (24 %), hémorragie vitréenne (24 %), phtyse du globe (13 %), endophtalmies (11 %). L’acuité visuelle initiale était : < 1/20e dans 55 % des cas, entre 1/20 et 5/10 dans 18 % des cas ; > 5/10e dans 18 % des cas. L’acuité visuelle finale : < 1/20 dans 44 % des cas, entre 1/20 et 5/10 dans 29 % des cas ; > 5/10 dans 22 % des cas. Discussion : Nous discuterons des facteurs de mauvais pronostic et prédictifs d’une acuité visuelle finale basse, retrouvés dans notre étude et comparés à ceux de la littérature : AV initiale basse, localisation postérieure du corps étranger, délai

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J. Fr. Ophtalmol.