Cette rubrique est destinée à évaluer vos connaissances acquises à la lecture de ce numéro
L. Beydon, C.E. Dima : Anxiété périopératoire : évaluation et prévention
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1. Les facteurs de risque d’anxiété chez l’adulte sont
6. Le repérage des nerfs par échographie
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F A est possible grâce à leur structure hypoéchogène F B requiert des sondes différentes en fonction de la profondeur du nerf F C peut s’aider de l’injection de microbolus de solution pour repérer la position de l’aiguille F D nécessite toujours le recours à la neurostimulation F E permet d’identifier une injection intraneurale
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le sexe féminin le tabagisme l’âge la durée d’hospitalisation la douleur
2. Les facteurs de risque d’anxiété chez l’enfant sont
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l’âge l’anxiété des parents la présence des parents à l’induction la douleur postopératoire l’induction intraveineuse
3. L’anxiété préopératoire
F A peut être évaluée sur des échelles simples F B est surestimée par les anesthésistes et les chirurgiens F C diminue chez tous les patients avec la remise d’une information écrite F D diminue lorsque les patients sont réchauffés F E diminue sous l’effet de la musique 4. La prémédication par midazolam
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doit être réduite chez les sujets âgés doit être associée à la prise d’atropine diminue les nausées et les vomissements postopératoires est plus efficace que l’hydroxyzine est contre-indiquée en cas d’insuffisance cardiaque
O. Choquet : Paresthésie, neurostimulation, échographie : l’union fait la force 5. Lors de la neurostimulation
F A une intensité de courant de stimulation < 0,2 mA qui provoque une réponse motrice témoigne d’un positionnement de l’aiguille trop proche de la structure du nerf F B il faut contrôler l’intégrité du circuit de neurostimulation avant de débuter la recherche des nerfs F C il est possible de déclencher des paresthésies F D il est démontré que le risque de complication est moindre que quand on recherche des paresthésies
le réglage de l’intensité de stimulation initiale dépend de la profondeur du nerf que l’on cherche à localiser
M. Contis : Aspects médicolégaux de l’anesthésie locorégionale 7. L’information donnée au patient
F A peut se limiter à un support écrit F B est sous la responsabilité d’un seul des médecins anesthésistes prenant en charge un même patient F C inclut la notion de risques fréquents ou graves F D est un motif de suites juridiques dans un quart des cas F E doit inclure la possibilité d’échec et de passage en anesthésie générale dans le cadre de l’anesthésie locorégionale 8. Le choix de l’anesthésie locorégionale par le médecin anesthésiste
F A repose entièrement sur lui-même F B n’implique pas une obligation de convaincre le patient de ce choix (en cas de refus) F C peut impliquer plusieurs médecins d’une même équipe F D implique une information du patient sur la personne qui réalisera l’acte F E engage directement la responsabilité d’un médecin anesthésiste
M. Hachemi, Y. Attof, M. Cannesson, J.-J. Lehot : Anesthésie pour tamponnade cardiaque 9. Les signes cliniques d’un tableau de tamponnade cardiaque sont :
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l’augmentation du pouls à l’inspiration l’orthopnée la présence d’un frottement péricardique la turgescence jugulaire l’hypotension
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10. Les signes échocardiographiques d’une tamponnade sont
F A la réduction du volume des cavités ventriculaire F B l’invagination diastolique de la paroi du ventricule droit F C l’augmentation du flux mitral lors de l’expiration en ventilation spontanée F D l’augmentation du flux mitral lors de l’inspiration en ventilation contrôlée F E la diminution du flux tricuspidien lors de l’inspiration en ventilation contrôlée
E. Nouvellon, J. Rippart : Faut-il encore croire au score ASA ? 15. Le statut ASA est corrélé
F A à l’incidence de la mortalité toutes chirurgies confondues F B à l’incidence de la mortalité pour un type de chirurgie spécifique F C à l’incidence de la morbidité toutes chirurgies confondues F D au taux d’admission en réanimation F E à certains risques spécifiques comme le risque hémorragique
11. L’induction anesthésique d’une tamponnade
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se fait en ventilation spontanée nécessite le maintien de la position semi-assise peut être précédée d’une ponction péricardique peut être précédée de la mise sous adrénaline utilise préférentiellement l’étomidate
É. de Médicis, P. Lena, R. Martin : Les nouvelles techniques de repérage de l’espace péridural 12. La stimulation des cathéters périduraux permet
F A de reconnaître une position intravasculaire F B d’identifier une position intrathécale F C de déterminer le niveau métamérique où se trouve l’extrémité du cathéter F D d’obtenir une réponse motrice bilatérale F E peut déclencher une réponse sensitive
G. Meyer : Thombolyse dans l’embolie pulmonaire 13. Parmi les facteurs qui augmentent avec certitude la mortalité d’une embolie pulmonaire on peut citer :
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l’élévation du taux de troponine l’élévation du taux de BNP la survenue d’un choc des signes échocardiographiques de cœur pulmonaire aigu le degré d’hypoxémie
14. Le traitement par activateur du plasminogène des embolies pulmonaires
F A permet une désobstruction plus précoce du lit vasculaire pulmonaire que celle obtenue sous héparine F B n’augmente pas le risque hémorragique par rapport à l’héparine F C diminue le risque de récidive embolique F D améliore plus rapidement le débit cardiaque F E diminue la mortalité chez les patients cliniquement stables
F. Santoli, H. Outin : Le réanimateur face à l’état de mal épileptique convulsif généralisé de l’adulte : mise au point 2007 16. L’état de mal épileptique
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est défini sur la base de la durée des crises s’accompagne obligatoirement d’un coma peut être confondu avec un état de mal factice peut être confondu avec des myoclonies postanoxiques est le plus souvent inaugural
17. Le schéma thérapeutique d’un état de mal convulsif
F A débute par l’administration de thiopental F B fait appel en première ligne au midazolam F C utilise le thiopental lorsque l’état de mal devient réfractaire F D utilise le propofol lorsque l’état de mal devient réfractaire F E utilise maintenant le topiramate en première intention
A. van Elstraete, P. Sitbon, M. Tirault : L’hyperalgésie induite par les morphiniques a-t-elle des conséquences pratiques en période périopératoire ? 18. L’hyperalgésie induite par les morphiniques
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n’a pas le temps de se développer en postopératoire est influencée par le type de morphinique administré dépend probablement de la dose de morphinique utilisée fait intervenir la stimulation des récepteurs NMDA peut être prévenu par l’utilisation d’inhibiteurs des cyclooxygénases
19. L’hyperalgésie induite par les morphiniques
F A résulte d’une modification de la transmission nociceptive F B peut être prévenue par l’administration de gabapentine F C peur être prévenue par l’administration de kétamine