113s
Posters
Parienr
Age (ann6es) Transmission du VIH Traitement antiktroviral CD4 au dCbut du traitement (x 10%) CD4 au d+5butdes adCnopathies(x 106/L) Charge Gale au d&but du traitement (copies/mL) Charge kale au dkbut des atinopathies (copies/mL) Test cutan tuberculinique au dkbut du traitement
Test cutan tuberculinique au dkbut des aanopathies DQlai entre le &but du traitement et les ad&opathies Espkce de mycobactCrieis&e lholution locale AZT : zidovudine
I
2
Pahen% 3
34 HCdrosexuelle AZT-3TC-IDV 70 155 70 400 <2OO <5mm 12 mm 50 jours
MAC Ramollissement
MAC
MAC
Ramollissement
Ramollissement
; 3TC : lamivudine ; IDV : indinavir ; NFV : neltinavir ; MAC : Mycobactrrium
traitement antir&roviral. Les arguments en faveur de cette hypoth&e sont : - le dtlai d’apparition des adknopathies apr&s le debut du traitement (32 ?I 50 jours) ; - I’tvolution vers le ramollissement suivie d’une Cvolution rapidement favorable ;
Poster
Patienr
39 HCtkrosexuelle AZT-3TC-IDV 4 55 119 100 xx 200 <5mm 11 mm 40 jours
avium
31 Homosexuelle AZT-3TC-NFV 46 12x I x35 700 400
complex.
- la positivation des tests tuberculiniques chez deux patients. Ces IymphadCnites mycobact&iennes peuvent &re considCrt5es comme des complications des multith&apies antir6trovirales. C/S/H et service de m&eche de-France, Martinique
inteme,
CHU
de Fort-de-France,
97200
fort-
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BCGth&apie,
une nouvelle cause de polyarthrite
prolongbe
A.L. Fauchais’, M. Hebbar’, E. Solau’, U. Micchon-Pasturel’, P.Y. Hatron’, E. Hachulla’, 6. Devulder’ L’immunothCrapie intravtsicale est largement utilisCe dans le traitement des carcinomes urotheliaux superticiels. Les complications articulaires de ce traitement sont exceptionnelles et r& gressent en g&&al en un B deux mois. En cas de persistance, le diagnostic d’arthrite paranCop1asique est souvent tvoquC. Nous rapportons le cas d’un syndrome de Reiter complet apparu aprb BCGthCrapie, remarquable par la persistance de la symptomatologie six mois apr&s l’arr& du traitement urologique. 11 s’agit d’un homme de 69 ans ayant pr&entt au d&ours de la sixieme instillation intravtsicale une u&rite avec erosion g&itale. Rapidement apparaissent une alteration de I.&at g&&al, des arthralgies distales, symCtriques de rythme inflammatoire suivies par des arthrites mCtacarpophalangiennes et du genou gauche. A ce tableau s’associent une conjonctivite bilatkrale et un syndrome inflammatoire. L’enqu&te infectieuse est nCgative de m8me que la recherche de facteur rhumatdide, d’anticorps antinucl&ires, d’antikkratine et d’antigkne HLA B27. Une bitherapie antituberculeuse est dCbutCe. Malgre ce traitement, les arthrites persistent six mois plus tard. Un nouveau bilan carcinologique est rkalist, confirmant la rt5gression des l&ions v&i-
Rev Mtd Interne 1999 ; 20 Suppl 1
tales et l’absence de disskmination mktastatique. Une corticothCrapie B dose regressive permet la disparition des symptames. Trois mois apr&s an& de la corticothtrapie, aucune arthralgie n’est rkapparue. Les manifestations articulaires secondaires B la BCGth&apie surviennent en gtWra1 chez des patients de plus de 60 ans au d&ours ou & distance des instillations. I1 s’agit soit d’oligoarthrites asymttriques, soit d’une polyarthrite sym&rique peu sensible aux AINS. Peuvent &tre associBes fikvre, aItQation de 1’Ctat g&&al, conjonctivite, u&rite, ptricardite. Les symptSmes sont rapidement rCsolutifs sous traitement antituberculeux. Rarement, ce traitement se montre insuffisant, les signes articulaires pouvant persister plus de six mois. La physiopathologie de ces arthrites est ma1 connue ; l’absence de mycobacthrie au sein des articulations atteintes Climine un processus infectieux direct ; un rble des hear shock proteins a &e CvoquC. ‘Service de mddecine inteme, h6pital Claude-Huriez, place de Verdun, 59037 Lil e cedex ; 2servibe de rhumatokgie, h&pita/ Roger-Salengm, 12, rue Malpart, 59800 ti//e, France