10 h 2 0
Durée : 7 minutes
LEIOMYOSARCOMESUTERINS : EXISTE-T-IL DES SIGNES IRM EVOCATEURS
10 h 4 0
Durée : 7 minutes
CATHETERISME TUBAIRE SELECTIF : INDICATIONS, FAlSABlLlTE ET PRECAUTIONS
N FAYE, M BAZOT, A CORTEZ, E DARAI,C MARSAULT - FRANCE PARIS Objectifs : Déterminer s'il existe des signes iRM évocateurs de léiomyosarcome utérin différentiels des nombreux types de léiomyomes atypiques. Matériels et méthodes : Revue rétrospective de 9 IRM avec suspicion radiologique pré-opératoire de léiomyosarcome (LMS) utérin entre 1996 et 2003. Taille, contours, signal tumoral, présence de niveaux liquide et rehaussement après gadolinium ont été étudiés. Corrélation aux résultats anatomo-pathologiques des pièces opératoires. Résultats :Les résultats histologiques comprenaient 3 léiomyosarcomes utérins, 1 léiomyosarcome ovarien, 1 adénosarcome, 2 sarcomes du stroma endométrial, 1 fibrome ovarien cellulaire et 1 tumeur stromale du grêle (GIST). Les lésions apparaissent volumineuses et hétérogènes avec des zones nécrotiques en hypersignal T2 (8 cas dont 3 LMS). Des remaniements hémorragiques visibles en hypersignal T l étaient présents dans 5 cas (2 LMS). Un rehaussement après gadolinium précoce et intense était observé dans 6 cas (3 LMS). Conclusion : Les sarcomes sont le plus souvent volumineux, hétérogènes avec des zones hémorragiques et nécrotiques. La distinction des différents types de sarcome utérin reste difficile en imagerie. L'objectif est d'avoir des critères évocateurs de malignité pour différencier sarcome et léiomyomes atypiques. Mots clés :Utérus, tumeur maligne - IRM "
10 h 30
Durée : 7 minutes
LA RENCONTRE DES SIGNAUX pb : EST-CE LE SIGNE LE PLUS FIABLE DE L'ENDOMETRIOSE DIGESTIVE INFILTRANTE EN IRM ((
E SINZELLE,C BALLEYGUIER, C CHAPRON, D EISS, O HÉLÉNON PARIS - FRANCE Objectifs : Rechercher le signe IRM le plus fiable de l'endométriose digestive infiltrante. Matériels et méthodes : Entre 1996 et 2004, 450 patientes opérées pour endométriose ont bénéficié d'une iRM pelvienne. La sémiologie IRM des 40 lésions infiltrantes a été étudiée rétrospectivement et corrélée aux données de la chirurgie : taille, forme, régularité des nodules fibreux, interface avec les structures digestives et présence d'un hyposignal pénétrant au sein de l'isosignal physiologique de la musculeuse digestive. Résultats :Le nodule d'endométriose digestive infiltrante était visible en IRM dans 83 % des cas (n = 33) comme une plage hypointense issue du toms uterinum ou de l'insertion d'un ligament utérosacré. Des adhérences pouvaient être visibles sous la forme de lignes hypo-intenses. Dans 70 % des cas (n = 23), un hyposignal au sein de l'isosignal de la musculeuse digestive était visible. Celui-ci était d'autant plus net que le nodule était volumineux. Le diagnostic était renforcé par la présence de spots hyperintenses en séquences pondérées T l et T2. Conclusion : Parmi les signes IRM, l'hyposignal au sein de l'isosignal de la musculeuse digestive semble être le signe le plus fiable de l'endométriose digestive infiltrante et mérite d'être signalé dans un bilan pré-thérapeutique chirurgical. """ Mots clés : Pelvis - IRM - Tube digestif, inflammation
Objectifs : Démontrer l'efficacité de la désobstruction tubaire- en association avec les traitements adjuvants de procréation médicale. Matériels et méthodes : Analyse morphologique et cinétique des trompes et passages péritonéaux des salpingographies et cathétérismes tubaires sélectifs réalisées à partir de 100 obstructions confmées lors d'hystérographies au ballonnet. Corrélation aux autres facteurs d'infertilité, gynécologiques, ethnographiques. Résultats : Examen douloureux, la désobstmction tubaire nécessite une prise en charge adaptée et un matériel adéquat : prémédication préalable, assistance per-opératoire, accompagnement post-opératoire. Après occlusion de l'endocol et salpingographie sélective par cathéter béquillé, la désobstruction tubaire est réalisée avec succès dans plus de 75 % des cas par microcathétérisme sélectif 3F sur guide hydrophile 25. Les poches péritonéales et phimosis peuvent être libérés par cathétérisme très distal du guide. Le suivi tardif montre des résultats non négligeables avec plus de 25 % de grossesses menées à terme, débutées dans un court délai suivant la désobstruction tubaire (2 à 12 mois). La qualité des segments tubaires désobstrués constitue un facteur prédictif. Ces résultats sont obtenus dans plus de 50 % des cas en association de traitement adjuvant (stimulation avec ou sans insémination). Conclusion : La désobstruction tubaire par cathétérisme sélectif dista1 constitue une technique participant efficacement au schéma thérapeutique de l'infertilité. Mots clés : Fertilité - Trompes, radiologie interventionnelle Sondes et cathéters
10 h 5 0
Durée : 7 minutes
APPORT DE L'ETUDE DYNAMIQUE DE LA PRISE DE CONTRASTE EN IRM POUR EVALUER LA REPONSE A L'IRRADIATION DES CANCERS SUPERIEURS A 4 C M DU COL UTERIN
Objectifs :Etudier les différents types de prise de contraste au temps précoce lors de l'étude dynamique de la prise de contraste en IRM (EDC-IRM) et évaluer son importance dans la prédiction de la réponse à la radiothérapie dans un groupe homogène de tumeurs > à 4 cm. Matériels et méthodes : Quarante deux patientes (âge moyen 48,6) de 1999 à 2001 ;stade > lB2 du col utérin, traité par chimiothérapieradiothérapie (37), radiothérapie seule (5). IRM : SE-T2 dans les 3 plans de l'espace et étude dynamique aprés contraste. Ont été mesurés : le volume tumoral, le temps pour atteindre l'amplitude maximale, l'intensité maximale du signal avant, en fin, 30 et 60 sec après l'injection ; le rapport entre l'amplitude de signal maximum avec le signal de base, et les rapports entre le signal tumoral et le signal du stroma cervical, ainsi qu'entre le signal tumoral et un signal musculaire pris comme témoin au temps O et au pic d'amplitude. Résultats : Recul minimum de 36 mois : 23 patientes en rémission complète, 15 décédées (poursuite évolutive locale : 6, récidive locale etlou métastatique : 7, autres causes : 2), 4 actuellement évolutives. Aucun des critères dynamiques mesurés n'a montré de différences significatives selon les groupes de patientes. Le rapport entre le signal tumoral et un signal musculaire pris comme témoin au temps O et au pic d'amplitude semble lui être plus intéressant. Conclusion : Nous n'avons pas confirmé par ce travail les résultats des études antérieures. Les raisons sont multiples, la plus importante