Actualités pharmaceutiques Ř n° 482 Ř Février 2009
qcm revue
uel de Le mens
e maceutiqu ation phar la form
continue
alitécseutiques acturm a pha r 2009 t Févrie
Ce numéro en 40 questions
t 20 €
pratiquee et insomnie Fatigu
0 ISSN 0515-370
n° 482
63
dossier
seil Le con l officina ie talmolog en oph
Les réponses à ce questionnaire vous seront données dans le numéro suivant.
: pratiquent en montagne de, de l’altitu dangers du soleil et du froid
L’enfa
, actualités de Crohn
Maladie premier tique ? vers un
1. Dans l’œil, la tunique uvéale ou uvée se compose de : A la cornée B l’iris C le corps ciliaire D le cristallin E la choroïde
8. En cas d’emploi prolongé de collyres contenant des conservateurs de type ammoniums quaternaires, il existe un risque d’altérations épithéliales cornéennes ou conjonctivales. A Vrai B Faux
2. Quelles sont les bonnes affirmations à propos du corps vitré ? A C’est une masse fibreuse B C’est une masse gélatineuse C Son rôle est de maintenir la pression intraoculaire D Son rôle est de maintenir la rigidité du globe oculaire E Il permet ainsi de maintenir la rétine contre les parois de l’œil
9. Une baisse brutale unilatérale souvent précédée d’éclairs lumineux ou de “mouches volantes” peut révéler : A un glaucome aigu B un décollement de rétine C une cataracte sénile D une dégénérescence maculaire liée à l’âge E une atteinte neurologique
3. Quelles sont les bonnes affirmations à propos de l’hémorragie sous-conjonctivale ? A C’est une affection grave B C’est une affection le plus souvent sans gravité C Il est conseillé une prise d’aspirine D Il est conseillé une prise de collyre vasculoprotecteur E L’hémorragie se résorbe en 2 à 3 jours 4. Quelles sont les différentes formes de conjonctivites ? A Bactérienne B Virale C Fongique D Allergique E Dégénérative 5. Quelles sont les germes en cause dans les conjonctivites bactériennes ? A Staphylocoques B Streptocoques C Entérobactéries D Pneumocoques E Haemophilus 6. Quelles sont les bonnes affirmations à propos des conjonctivites virales ? A Rougeur oculaire souvent unilatérale B Fortes démangeaisons C Sécrétions abondantes et purulentes D Aucun risque de contagion E Évolution lente en 3 à 6 semaines 7. En thérapeutique ophtalmologique, un système PFMD est : A un collyre en flacon multidose sans conservateur B un collyre en flacon multidose avec conservateur C un collyre en flacon unidose sans conservateur D un collyre en flacon unidose avec conservateur E un système pour réaliser un lavage oculaire
10. Une rougeur oculaire prédominant au niveau du limbe sclérocornéen (cercle périkératique) correspond à une urgence ophtalmologique. A Vrai B Faux 11. La conjonctivite virale se manifeste par : A un œil rouge B un larmoiement purulent collant aux paupières C une conjonctive gonflée D des maux de tête E un petit ganglion prétragien 12. Les conjonctivites du nouveau-né proviennent du contact des yeux de l’enfant avec la muqueuse génitale de la mère au moment de l’accouchement. A Vrai B Faux 13. La blépharite correspond à une inflammation : A des glandes lacrymales B du bord des paupières C de la conjonctive D de l’uvée E du canal lacrymal 14. Afin de traiter au mieux les blépharites, il n’est pas conseillé d’appliquer des compresses d’eau tiède plusieurs fois par jour. A Vrai B Faux
15. Quelles sont les bonnes affirmations à propos de la sécheresse oculaire ? A Les symptômes sont liés à une déficience lacrymale quantitative B Les symptômes sont liés à une déficience lacrymale qualitative C Elle peut entraîner la formation de petites ulcérations superficielles D L’affection reste bénigne dans la majorité des cas E L’intensité des symptômes est indépendante du degré d’hypolacrymie 16. Parmi les médicaments suivants, quels sont ceux susceptibles de provoquer une sécheresse oculaire iatrogène ? A Benzodiazépines B Antalgiques morphiniques C Antidépresseurs tricycliques D Antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotonine E Neuroleptiques du groupe des phénothiazines 17. Pour soulager la sécheresse oculaire, il est conseillé de boire beaucoup (environ 2 litres par jour). A Vrai B Faux 18. La dacryocystite est une infection, puis un abcès du sac lacrymal provenant d’une sténose des voies lacrymales au niveau du canal lacrymonasal. A Vrai B Faux 19. Les contusions ou traumatismes oculaires à globe fermé peuvent générer : A Une baisse de l’acuité visuelle B Une diplopie C Une photophobie D Des nausées et vomissements E Un état fébrile 20. Parmi les collyres suivants, quels sont ceux qui peuvent être utilisés dans le traitement des glaucomes ? B Bétoptic® A Xalatan® C Désomédine® D Trusopt® E Biocidan®
Actualités pharmaceutiques Ř n° 482 Ř Février 2009
qcm revue
64
21. Quelles sont les bonnes affirmations à propos de la cataracte ? A L’opacification du cristallin peut être d’origine traumatique B L’opération se fait sous anesthésie générale C Lors de l’intervention, il est implanté un cristallin artificiel synthétique transparent D En postopératoire, un traitement local est prescrit pendant 7 jours E Une coque oculaire doit être portée la nuit, pendant environ 1 mois 22. Une personne âgée sédentaire se présente au comptoir pour une constipation installée depuis 2 jours. Afin de la soulager, vous lui conseillez : A de faire de la marche chaque jour afin de stimuler le péristaltisme intestinal B de consommer des aliments de type riz, féculents pour accélérer l’évacuation intestinale C de prendre des laxatifs anthracéniques afin de calmer très rapidement ces symptômes D de prendre des laxatifs osmotiques en particulier le soir au coucher E de boire beaucoup d’eau, en particulier celles enrichies en sels de magnésium 23. Parmi les propositions suivantes concernant la constipation, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A Il s’agit d’une pathologie fréquente touchant particulièrement les personnes âgées, les femmes enceintes et les enfants B Les traitements utilisés pour lutter contre la constipation sont sans risques et ne présentent aucuns effets indésirables C Le respect de certaines règles hygiénodiététiques suffit parfois à enrayer ces symptômes D De nombreuses plantes contiennent des principes actifs intéressants dans cette indication E Fréquente chez le nourrisson allaité, elle est uniquement soulagée par un lait adapté 24. Parmi les propositions suivantes concernant les aminosides, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A Ce sont des antibiotiques administrables uniquement par voie orale B Tous les aminosides présentent une demi-vie longue C Ils sont couramment associés avec les bêtalactamines ou les quinolones D Ils présentent une marge thérapeutique large E Les aminosides sont principalement éliminés par voie biliaire
25. Parmi les effets secondaires suivants, lequel (lesquels) concerne(nt) les aminosides ? A Atteinte cochléaire B Atteinte vestibulaire C Néphrotoxicité D Choc anaphylactique E Coloration des dents 26. Quelle(s) spécialité(s) parmi les suivantes renferme(nt) de l’éleuthérocoque, plante adaptogène ? B Ergytonyl® A Ergybiol® ® C Acérol C D Sélénium complexe® ® E Ergykid vitalité 27. Quelle(s) souche(s) homéopathique(s), peut-on conseiller chez l’enfant fatigué, lors d’une croissance trop rapide ? A Ignatia amara 9 CH B Antimonium crudum 9 CH C Calcarea phosphorica 9 CH D Ferrum phosphoricum 9 CH E Belladonna 9 CH 28. Parmi les propositions suivantes concernant les huiles essentielles, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A L’huile essentielle de lavande peut être utilisée sur le plexus solaire de l’enfant de plus de 30 mois B L’huile essentielle de lavande peut être utilisée dans le bain avec l’huile essentielle de petit grain bigaradier chez l’enfant de plus de 30 mois C L’huile essentielle de lavande peut être avalée sur un sucre chez l’enfant de plus de 30 mois D L’huile essentielle de petit grain bigaradier peut être ingérée sur un comprimé neutre chez l’enfant de moins de 30 mois E L’huile essentielle de petit grain bigaradier est contre-indiquée chez l’adulte 29. Parmi les produits suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) que l’on peut appliquer sur un ulcère cornéen chez un animal de compagnie ? A Un corticoïde B Une pommade antibiotique C Un collyre antibiotique D Un collyre à l’atropine E Un collyre parasympathomimétique 30. Que conseiller sur un œil rouge avec épiphora clair chez un animal de compagnie ? A Un rinçage avec un produit nettoyant B Un collyre antibiotique C Un collyre antiseptique D Un corticoïde E Une association antibiotique-corticoïde
31. Parmi les propositions suivantes concernant réglementation des promotions, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A Les articles constituant un lot doivent pouvoir être achetés séparément B Un échantillon peut être de volume supérieur ou égal au même produit en vente C Il est possible de regrouper différents produits au sein d’un surconditionnement D Il est possible de réaliser exceptionnellement une vente à perte E Le double marquage est obligatoire 32. Parmi les propositions suivantes concernant la politique de prix, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A La mise en place de promotions donne une image dynamique de l’officine B Une politique de prix basée sur la règle des coefficients tient compte du prix d’achat du produit C Le taux de marque tient compte du prix d’achat D Répercuter intégralement une remise fournisseur entraîne une baisse de la marge brute E Une bonne politique de prix impose une analyse fine des rotations de l’ensemble des produits d’une gamme 33. Qu’est ce qu’un kinoïde ? A Un analogue protéique de prostaglandine B Une immunisation active C Une immunisation passive D Un anticorps dirigé contre des cytokines E Un anticorps dirigé contre des protéines virales immunosuppressives 34. Parmi les mesures suivantes, laquelle (lesquelles) a (ont) été adoptée(s) dans la Loi de financement de la Sécurité sociale pour 2009 ? A Un renforcement du rôle du pharmacien au sein des EHPAD B Un élargissement du répertoire des génériques à des formes orales à libération modifiée C L’augmentation de 2,5 à 5,9 % de la taxe sur le chiffre d’affaires santé des organismes complémentaires D L’obligation de prescription en dénomination commune internationale (DCI) pour les molécules possédant un groupe générique E La création d’une analyse nationale des médicaments hospitaliers dits onéreux
Actualités pharmaceutiques Ř n° 482 Ř Février 2009
qcm revue
65
35. Le ropinirole est indiqué dans : A l’épilepsie B la migraine C la maladie de Parkinson D les hyperlipidémies E la schizophrénie
37. Lorsque le ropinorole est associé à la lévodopa, la dose de lévodopa peut être progressivement réduite d’environ : A 5 % B 10 % C 20 % D 30 % E 40 %
36. Une réponse thérapeutique peut être obtenue pour des doses de ropinirole allant de : A 1 à 3 mg par jour B 3 à 6 mg par jour C 3 à 9 mg par jour D 6 à 12 mg par jour E 9 à 18 mg par jour
38. Quelle est la bonne DCI de Prezista® ? A Danuravir B Darunavir C Narudavir D Nuradavir E Duranavir
Le mensuel de
la formation
39. Prezista® est un antirétroviral qui appartient à la classe des : A inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse B inhibiteurs de fusion C inhibiteurs de l’intégrase D inhibiteur de protéase E inhibiteur du corécepteur CCR5 40. Prezista® doit être coadministré avec : A 10 mg de ritonavir B 50 mg de ritonavir C 100 mg de ritonavir D 150 mg de ritonavir E 200 mg de ritonavir
ue continue pharmaceutiq
actualités es pharmaceutiqu ISSN 0515-3700
n° 481 t Janvier
2009 t 20 €
Réponses du QCM revue du n° 481, janvier 2009
dossier
Maladie d’Alzheimer, quelles informations pour le pharmacien d’officine ?
actualité
L’avenir de
l’officine passe
par les regroupements services et les nouveaux aux patients
pratique
57721
L’installation
18/12/2008 16:16:27
CV1_AP481.indd
1
1. Réponse A : la maladie m d’Alzheimer est une pathologie dégénérative du système nerveux. 2. Réponse A : la maladie d’Alzheimer est la première cause de démence, caractérisée par des modifications progressives de la cognition et du comportement. 3. Réponses B et E : la prévalence de la maladie d’Alzheimer augmente avec l’âge ; elle touche 5 % des plus de 75 ans et 20 % après 80 ans. 4. Réponse A : plus de 800 000 personnes sont atteintes et ce nombre devrait doubler d’ici 20 ans. À ce jour, il y aurait 165 000 nouveaux cas par an de patients atteints de cette démence. 5. Réponse B : la maladie d’Alzheimer n’est pas classée parmi les maladies héréditaires. 6. Réponses A et B : le niveau culturel élevé et la consommation d’alcool. La consommation modérée d’alcool serait un probable facteur protecteur de la maladie d’Alzheimer du fait de ses effets positifs sur les maladies vasculaires et le fonctionnement cognitif. 7. Réponse A : le THS n’est pas reconnu comme un facteur protecteur de la maladie d’Alzheimer. 8. Réponses A, C et E : les dépôts de peptide β-amyloïde, la pathologie neurofibrillaire, les plaques séniles. 9. Réponse A : le signe clinique le plus précoce de la maladie d’Alzheimer est le syndrome amnésique de type hippocampique. 10. Réponse C : la maladie d’Alzheimer ne serait diagnostiquée en France que chez 50 % des patients atteints. Ceci est dommageable car le diagnostic permet au patient d’entrer dans une filière de prise en charge des “malades Alzheimer” et de bénéficier de soins adaptés. 11. Réponses A, C et D : il n’existe pas de marqueur biologique spécifique, le MMSE est le test de référence et l’IRM est un examen paraclinique utile.
12. Réponses A, B, C, D, E et F : l’orientation temporospatiale, l’apprentissage, la mémoire, l’attention, le raisonnement, le langage. 13. Réponses B, C, E et F : leur action n’est que symptomatique, ils retardent l’évolution de la maladie, ils s’administrent au long cours, en début de traitement, il faut respecter une instauration progressive des posologies. 14. Réponses A et D : les inhibiteurs de l’acétylcholinestérase et les antagonistes des récepteurs NMDA. 15. Réponses A et D : dans la maladie d’Alzheimer, il y a un déficit cholinergique précoce et massif, une diminution de l’activité de la choline-acétyltransférase (enzyme responsable de la production d’acétylcholine), une augmentation de l’activité de l’acétylcholinestérase et de la butyrylcholinestérase (enzymes qui lysent l’acétylcholine) et une réduction du nombre des récepteurs cholinergiques.
25. Réponse : 1) Différence dans la voie d’administration : voie orale pour l’inhibiteur de la DDP-4 (sitagliptine, Januvia®) ; voie injectable sous-cutanée pour l’incrétinomimétique (exénatide, Byetta®). 2) Différence dans le facteur limitant du traitement : l’inhibiteur de la DDP-4 (sitagliptine, Januvia®) est limité par la capacité de l’organisme à sécréter des hormones peptidiques gastro-intestinales (GLP-1 et GIP) lors du passage du bol alimentaire tandis que l’incrétinomimétique synthétique (exénatide, Byetta®) n’est pas limité par la capacité sécrétrice des hormones peptidiques gastro-intestinales. L’action insulinosécrétrice de l’exénatide est dose-dépendante, pharmacologiquement parlant. 26. Réponses B et E : Allium cepa traite un écoulement nasal aqueux, abondant et irritant la lèvre supérieure, qui est amélioré par l’air frais.
30 mois, tout comme chez l’insuffisant respiratoire et l’asthmatique. En raison de leur composition (dérivés opiacés), ils peuvent être détournés de leur usage par les toxicomanes, ce qui explique les modalités particulières de délivrance, en particulier de Néocodion®. 35. Réponses A, B et C : les fumeurs présentent le plus souvent des toux productives qu’il convient de ne pas négliger. L’interrogatoire permettra de faire comprendre l’importance d’un arrêt du tabac, du moins durant la période de traitement de la toux. La prise en charge pourra se faire à l’aide d’un sirop fluidifiant avec ou sans antihistaminique mais en aucun cas par un sirop à visée antihistaminique seule. Il sera conseillé de boire des boissons chaudes et d’éviter les boissons trop fraîches pouvant augmenter le réflexe de toux.
27. Réponses A, C et D : Mercurius solubilis 9 CH traite un écoulement nasal jaune verdâtre nauséabond accompagné d’hypersalivation et d’une langue gardant l’empreinte des dents.
36. Réponse C : les sulfamides sont souvent associés aux diaminopyridines qui inhibent la dihydrofolate réductase. Ils inhibent la dihydroptéroate synthétase et sont bien résorbés per os. Il est déconseillé d’utiliser la plupart d’entre eux lors de la grossesse, surtout au 1er trimestre.
28. Réponse D : l’huile essentielle d’eucalyptus radié est obtenue par extraction des feuilles.
37. Réponses A, B, D et E : les sulfamides ne sont pas connus pour générer une ototoxicité.
18. Réponse E : plus de 80 % des patients ayant une maladie d’Alzheimer.
29. Réponse B : le niaouli a pour dénomination scientifique Melaleuca quinquinervia.
19. Réponses A, B, C, D et E : la tristesse, l’irritabilité, l’anxiété, l’hostilité et les idées délirantes.
30. Réponse D : l’échinacée est la plante immunostimulante de référence, à prendre sous forme de cure 10 jours par mois.
38. Réponse C : les droits de succession sont demandés au moment de l’acte réitératif.
16. Réponse A : donépézil. 17. Réponse B : dans la maladie d’Alzheimer, il y a une augmentation de la quantité de glutamate dans la fente synaptique, du fait d’un déséquilibre entre la libération et la capture.
20. Réponse A : dans le test de l’horloge, le sujet doit dessiner un cadran et positionner les deux aiguilles en fonction de l’heure qu’on lui indique.
31. Réponses A et B : l’argousier et l’acérola contiennent de la vitamine C.
21. Réponses B, C et D : gélule, solution buvable et dispositif transdermique.
32. Réponses B, C et D : une vulve non développée est caractéristique d’un impubérisme.
22. Réponse : rôle insulinosécréteur des cellules bêta des îlots de Langerhans du pancréas.
33. Réponse B : la période fertile s’étale sur environ toute la durée des chaleurs chez la chatte.
23. Réponse : le GLP-1 sera dégradé en quelques minutes par l’enzyme DPP-4.
34. Réponses C et D : les antitussifs opiacés sont indiqués dans le traitement de la toux sèche, allergique ou non. Ils ne peuvent être utilisés chez la femme allaitante (risque d’apnée chez le nouveau-né). Ils sont contre-indiqués chez l’enfant de moins de
24. Réponse : l’exénatide inhibe la DPP-4, la principale enzyme qui dégrade en particulier le GLP-1, puissant stimulateur de la sécrétion d’insuline.
39. Réponses B, C et E : la clientèle, les immobilisations corporelles et la licence d’exploitation préfectorale de la pharmacie sont pris en compte dans le prix d’une officine. 40. Réponse C : contrairement à ce qui était admis jusqu’alors, le facteur prépondérant pour l’absorption des médicaments ne serait pas la lipophilie, mais la taille, c’est-à-dire le poids moléculaire.