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Actualités pharmaceutiques Ř n° 486 Ř Juin 2009

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alitécseutiques acturm a pha 0 ISSN 0515-370

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Ce numéro en 40 questions

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Les réponses à ce questionnaire vous seront données dans le numéro suivant.

1. Les troubles digestifs fréquents durant la grossesse sont : A  les troubles hépatiques B  les nausées C  la constipation D  les vomissements E  le reflux gastro-œsophagien (RGO) 2. Quelles hormones voient leur taux varier durant la grossesse ? A  L’hCG B  Les estrogènes C  La progestérone D  La testostérone E  L’hormone de croissance, somatropine 3. Quand a lieu le pic d’hCG ? A  Au 1er trimestre de la grossesse B  Au 2e trimestre de la grossesse C  Au 3e trimestre de la grossesse D  Seulement lors d’une grossesse extra-utérine E  Le taux est constant durant la grossesse 4. Pourquoi y a-t-il des modifications hormonales durant la grossesse ? A  Pour protéger la femme face aux risques de la grossesse B  Pour maintenir la gestation C  Pour favoriser la croissance et le développement du fœtus D  Pour aider au déclenchement de la parturition 5. À quoi sert le placenta ? A  Alimentation du fœtus B  Approvisionnement du fœtus en oxygène C  Synthèse d’hormones D  Aide à la parturition 6. Quelles hormones sont produites par le placenta ? A  L’estradiol B  La progestérone C  La ßhCG D  L’hormone somatomammotropine chorionique E  L’hormone folliculostimulante 7. Quelles sont les caractéristiques de l’hCG ? A  Permet une détection rapide de la grossesse B  Son taux diminue au début de la grossesse C  Son taux augmente progressivement durant la grossesse D  Stimule le corps jaune pour sa transformation E  Stimule la production de déhydroépiandrostérone (DHEA)

8. La progestérone : A  est une hormone protéique B  est synthétisée à partir des précurseurs du cholestérol C  voit son taux diminuer tout au long de la grossesse D  a pour rôle essentiel de réduire le tonus utérin, empêchant ainsi les contractions du myomètre E  augmente le tonus de l’estomac 9. Quelles sont les caractéristiques de l’hyperemesis gravidarum ? A  Forme la plus bénigne des nausées et vomissements de la grossesse B  Vomissements persistants toute la journée C  Gain de poids de la mère, supérieur à 5 % D  Vomissements accompagnés le plus souvent de déshydratation et d’un déséquilibre électrolytique E  Amélioration rapide 10. Quelles hormones sont en cause dans les nausées et vomissements ? A  Hormones stéroïdes B  hCG C  TSH D  Testostérone E  Hormone de croissance 11. Les règles hygiénodiététiques à respecter lors de nausées et vomissements sont : A  n’effectuer que trois repas par jour B  ne pas boire en dehors des repas C  éviter les odeurs fortes D  prévenir l’hypoglycémie du matin E  privilégier les sucres lents 12. Le métoclopramide : A  appartient à la classe des benzamides B  peut être utilisé durant la grossesse C  est à prendre après les repas D  ne traverse pas le placenta E  est antiémétique par blocage des sites dopaminergiques de la zone chémoréceptrice 13. Dans le traitement des nausées et vomissements chez la femme enceinte : A  la métopimazine peut être délivrée à la posologie de 45 mg par jour B  la vitamine B6 peut être utilisée car elle ne présente pas d’effet secondaire C  l’ondansétron est la molécule de première intention D  la doxylamine a une autorisation de mise sur le marché dans le traitement des nausées et vomissements E  la doxylamine est un antihistaminique

14. Lors de la grossesse, les reflux gastro-œsophagiens (RGO) : A  sont très rares B  sont dus à une hypertrophie de l’utérus C  sont dus à une augmentation de pression du SIO progressive tout le long de la grossesse D  s’arrêtent une à quatre semaines après l’accouchement E  semblent être liés aux hormones protéiques 15. Lors des reflux gastro-œsophagiens (RGO) : A  il faut surélever la tête du lit d’une dizaine de centimètres, avec un oreiller B  il est préférable de manger tard le soir ou juste avant d’aller se coucher C  il faut éviter les excitants, les aliments épicés et acides D  les anti-acides peuvent être pris par la femme enceinte E  aucun médicament ne peut soulager les RGO 16. Le Gaviscon® (alginate de sodium et bicarbonate de sodium) : A  est le traitement de premier choix chez la femme enceinte B  est un inhibiteur de la pompe à protons C  forme un gel persistant 2 à 4 heures à la partie supérieure de l’estomac D  peut entraîner une constipation en raison de la présence de bicarbonate E  se prend à la posologie maximale de 8 sachets par jour 17. Concernant la constipation, parmi les affirmations suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A  Elle survient lors du 1er trimestre de la grossesse B  La progestérone présente un effet inhibiteur sur la contraction des muscles lisses du tube digestif C  La compression qu’exerce l’utérus joue également un rôle dans la constipation D  Elle diminue lorsque le taux d’hormones se normalise à l’accouchement 18. En cas de constipation : A  il est conseillé de boire plus de 1,5 L d’eau par jour B  il est intéressant de manger des aliments ralentisseurs du transit C  les repas sont à prendre à heure régulière D  il est préférable d’aller à la selle à heures régulières E  il est souhaitable d’arrêter toute activité physique

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19. En cas de constipation, les traitements pouvant être délivrés à la femme enceinte sont : A  les suppositoires à la glycérine B  le séné C  les laxatifs osmotiques D  l’ispaghul E  les laxatifs lubrifiants 20. Les laxatifs osmotiques : A  sont indiqués lors d’une constipation liée à la grossesse B  sont délivrés uniquement sur prescription C  sont efficaces dans la demi-heure D  présentent un risque de flatulence, de boursouflure et de restriction abdominale 21. Parmi les affirmations suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A  Vespa crabo est la souche spécifique d’une piqûre de guêpe B  Cantharis est indiqué lors d’une piqûre accompagnée de cloques et sensations de brûlures C  Chez une personne allergique, une dose d’Apis 15 CH doit être avalée en urgence D  On nettoie, lors d’une piqûre, avec une compresse imbibée de Calendula TM (teinture mère) E  On nettoie, lors d’une piqûre, avec une compresse imbibée d’Echinacea TM 22. Quelle est la souche homéopathique à conseiller chez l’apiculteur, avant qu’il aille à la ruche ? A  Calendula officinalis B  Ledum palustre C  Tarentula cubensis D  Trachinus vipera E  Urtica urens 23. En cas d’hypersensibilité à l’huile essentielle de citronnelle, quelle est celle que l’on conseille qui est moins agressive ? A  Eucalyptus citronné B  Eucalyptus radié C  Lavande officinale D  Menthe poivrée E  Arbre à thé 24. Quelle est l’huile essentielle (HE) à détenir dans la trousse d’urgence contre les piqûres d’insectes ? A  HE de sarriette B  HE de nard de l’Himalaya C  HE de lavande aspic D  HE d’aspérule odorante E  HE d’ylang ylang

25. Quelle est l’huile essentielle la plus efficace dans la prévention des piqûres d’aoûtats ? A  HE de serpolet B  HE d’arbre à thé C  HE de lavande aspic D  HE de géranium odorant E  HE d’eucalyptus radié 26. Il est obligatoire de faire vacciner son animal contre la rage pour se rendre : A  au Royaume uni B  en Corse C  en club de vacances D  dans les départements d’outre-mer E  dans le reste de l’Europe 27. Quel risque court un animal de compagnie lors d’un voyage dans le sud de la France ? A  Rage B  Piroplasmose C  Leishmaniose D  Dirofilariose E  Turista 28. Quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) exacte(s) ? A  En cas d’infraction à la loi anticadeaux, seule l’entreprise pharmaceutique sera poursuivie B  Tous les cadeaux, quels que soient leur nature, sont dorénavant interdits suite à l’adoption de la charte de la visite médicale entre le Leem (Les entreprises du médicament) et le Comité économique des produits de santé C  Les invitations à déjeuner de la part d’un laboratoire tombent sous le coup de la loi anticadeaux D  L’invitation à un congrès scientifique doit être autorisée au préalable par le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens E  Le financement d’action de formation pharmaceutique continue par l’industrie pharmaceutique est autorisé 29. Parmi les associations d’antirétroviraux suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) contre-indiquées ? A  AZT-d4T B  AZT-ddI C  Ritonavir-lopinavir D  d4T-3TC E  AZT-3TC 30. Parmi les affirmations suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) erronée(s) ? A  L’indinavir est la dénomination commune internationale de Crixivan® B  Le saquinavir (Invirase®) présente une très bonne biodisponibilité C  Le nelfinavir (Viracept®) se prend en 2 ou 3 prises par jour D  Le crixivan (Indinavir®) est mieux absorbé à jeun E  Le ritonavir (Norvir®) à faible dose est classiquement associé à des inhibiteurs de protéases

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31. Concernant les indications d’un traitement antirétroviral, indiquer la ou les proposition(s) vraie(s). A  Un traitement antirétroviral doit être impérativement administré à tout patient dont la sérologie VIH positive vient d’être découverte. B  Tout patient ayant fait une infection opportuniste doit être impérativement mis sous traitement antirétroviral C  Un patient asymptomatique dont la valeur des CD4 est de 600/mm3 et dont la charge virale est de 15 000 copies/mL doit être mis impérativement sous traitement antirétroviral D  Un traitement antirétroviral est indiqué lorsque les T4 sont inférieurs à 350/mm3 E  Un taux de T4 à 400/mm3 associé à une charge virale indétectable n’est pas une indication à un traitement antirétroviral 32. Concernant les trithérapies, indiquer les bonnes propositions. A  Une trithérapie doit comporter obligatoirement de l’AZT (Rétrovir®) B  Une trithérapie avec antiprotéase peut amener des patients à prendre plus de 10 comprimés par jour C  Une trithérapie avec antiprotéase n’est prescrite qu’à la suite d’un échec d’une bithérapie par inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse D  Dans une primo-infection VIH symptomatique, il est d’usage de recommander en première intention une trithérapie avec antiprotéase E  Les associations fixes commercialisées contiennent toutes des inhibiteurs nucléosidiques 33. Parmi les affirmations suivantes concernant la prise des antirétroviraux, indiquer celle(s) qui vous parai(ssen)t exact(e)s ? A  Une prise de didanosine (Videx®) chez l’adulte doit être constituée impérativement de deux comprimés B  La didanosine peut être prise indifféremment à jeun ou au cours d’un repas C  L’éfavirenz (Sustiva®) doit être administré au cours d’un repas D  Le ritonavir (Norvir®) doit être pris au cours d’un repas E  Le nelfinavir (Viracept®) doit être pris au cours d’un repas

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34. La prise en charge de l’insuffisance veineuse débutante peut se faire par : A  la prescription d’une cure thermale B  la délivrance de veinotoniques en parallèle du port de bas ou chaussettes de contention C  le respect de certaines règles hygiénodiététiques (dormir les jambes surélevées, porter des vêtements larges…) D  l’application quotidienne en fin de journée d’eau chaude sur les jambes E  l’utilisation de bas de contention de classe 1, notamment en cas de signes prévariqueux

Le mensuel de

la formation

35. Concernant l’insuffisance veineuse. A  Il s’agit d’une pathologie chronique favorisée, par exemple, par la sédentarité et la grossesse B  Cette pathologie s’explique, entre autre, par un excès liquidien intravasculaire à l’origine d’un œdème C  La symptomatologie est souvent caractérisée par des jambes lourdes, douloureuses et gonflées en fin de journée D  La grossesse améliore les risques d’insuffisance veineuse. Plus les femmes ont d’enfants, moins le risque variqueux est élevé E  De rares cas de phlébites mortelles secondaires à la complication de varices ont pu être décrits obligeant une prise en charge adaptée des varices

36. HPV 6 est responsable de : A  verrues cutanées vulgaires B  condylomes acuminés C  cancers muqueux 37. Gardasil® est un vaccin bivalent : A  Vrai B  Faux 38. Cervarix® est un vaccin dit adjuvanté. A  Vrai B  Faux 39. Le Haut Comité de santé publique recommande l’utilisation en première intention du : A  vaccin bivalent B  vaccin quadrivalent 40. Le vaccin quadrivalent est actuellement recommandé chez les jeunes filles : A  à l’âge de 14 ans B  à l’âge de 23 ans

continue pharmaceutique

actualités ques pharmaceuti n° 485 t Mai

2009 t 20 €

actualités

ISSN 0515-3700

La légitimité du capital du monopole reconnue des pharmaciens

pratique pratique

Quelle prise en se médicamenteu des vertiges ?



charge

Le pharmacien et son répartiteur



dossier

Réponses du QCM revue du n° 485, mai 2009

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Actualité thérapeutique raux des antirétrovi

23/04/2009 11:55:05

1. Réponse B : l’association 1 l’ass est bien réalisée avec un autre inhibiteur de la protéase virale (IP), mais il s’agit en l’occurrence du ritonavir à la dose de 100 mg.

18. Réponse B : la prise en charge du syndrome de Kaposi repose sur un traitement antirétroviral bien conduit et suivi.

2. Réponse A : cet effet indésirable est connu, mais le darunavir est un inhibiteur de la protéase virale (IP) et non un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase-inverse (INNTI).

20. Réponse A.

3. Réponse A. 4. Réponse B : il s’agit d’un inhibiteur du récepteur CCR5. 5. Réponse A. 6. Réponse B : environ 33 millions de personnes sont infectées par le VIH dans le monde. 7. Réponse A. 8. Réponse B : 6 500 personnes ont découvert qu’elles étaient séropositives en 2007, en France. 9. Réponse B : c’est un rapport hétérosexuel qui est à l’origine de la contamination dans 60 % des cas. 10. Réponse B. 11. Réponse B : c’est l’inverse. 12. Réponse B. 13. Réponse B. 14. Réponse A. 15. Réponse B : non, les “fenêtres” thérapeutiques ne sont absolument plus d’actualité, sauf dans des cas très exceptionnels, strictement encadrés. 16. Réponse B : c’est bien un inhibiteur d’entrée mais il s’agit d’un inhibiteur de fusion non antagoniste du récepteur CCR5. 17. Réponse A.

19. Réponse A. 21. Réponse A : la souche Lachesis mutus 9 CH à la posologie de 3 granules 3 fois par jour soulage les bouffées de chaleur améliorées par le retour des règles. 22. Réponse B : la souche Sepia 9 CH est systématiquement conseillée pour traiter les troubles dépressifs avec tristesse dès le matin au lever. 23. Réponse D : Sulfur 5 CH, à la posologie de 5 granules à chaque bouffée de chaleur, permet de calmer la transpiration nocturne. 24. Réponses A, B et D : les huiles essentielles de sauge sclarée et de cyprès sont contre-indiquées en cas d’antécédents de cancers hormonodépendants ; l’huile essentielle de lavande est à respirer lentement et profondément lors de sautes d’humeur. 25. Réponses A, B, C, D et E : l’HE de lavande officinale est antiseptique, régénératrice cutanée, calmante et sédative, antimigraineuse, et décontracturante musculaire. 26. Réponses C, D et E : en plus de la motiver pour mener à bien ses révisions, il peut être conseillé à cette étudiante d’initier un traitement homéopathique pour l’aider à se détendre et à s’endormir. Il sera formellement déconseillé de proposer des médicaments riches en caféine (risque d’effet rebond le jour de l’examen). Enfin, les traitements antifatigue contenant des acides aminés et/ou des vitamines ne présentent pas d’effets psychostimulants clairement définis. Ces médicaments peuvent être

proposés si la patiente en fait la demande en association avec un régime alimentaire équilibré enrichi en sucres lents. 27. Réponses A, C et E : la prise en charge du stress passe par le respect de règles hygiénodiététiques associées à des thérapeutiques alliant phytothérapie et souches homéopathiques. Ainsi, des massages doux du cou, des épaules, de la nuque pourront être conseillés afin d’évacuer les tensions, des plantes en tisane pourront être conseillées et des moments de calme (lecture, musique douce) seront à privilégier. Les activités sportives permettent de limiter les états de stress. Toutefois, la marche à pied, la natation sont à privilégier sur des sports violents qui énervent plus qu’ils ne détendent. 28. Réponse C et D : il faut réitérer les rappels vaccinaux pour avoir une bonne immunité. La période critique se situe entre 2 et 3 mois. 29. Réponse C : certaines maladies n’ont qu’une protection relative (cas de la leptospirose et de la piroplasmose par exemple). Les animaux âgés sont moins bien protégés du fait d’un système immunitaire de moins bonne qualité. 30. Réponses D et E : l’aciclovir est un antiviral indiqué en forme crème dans l’herpès labial et dans la kératite herpétique sous forme de pommade ophtalmique. N’étant actif que sur les Herpes simplex, il n’a pas d’activité sur les infections à VIH, ni sur les angines qu’elles soient d’origine bactérienne ou virale. 31. Réponses B, C et D : le zanamivir correspond à la spécialité Relenza®. Il est actif à la fois sur les virus grippaux de type A et B.

32. Réponses B, D et E : la ribavirine est contre-indiquée chez la femme enceinte ; elle n’est utilisée qu’en association avec l’IFN. Les antiacides diminuent la biodisponibilité de la ribavirine. 33. Réponses C et D : le telcagépant, antagoniste des récepteurs CGRP, est aussi efficace que le zomitriptan dans le traitement de crise de migraine. 34. Réponses C et E : le calcul de la remise peut se faire par le CA total - le CA remisé sur facture. 35. Réponses B et D : Rétacrit® est une spécialité à base d’époétine zêta, biosimilaire d’époétine alpha qui se présente sous forme de seringues préremplies. Elle est commercialisée en ville. 36. Réponse C : Metvixia® se présente sous la forme de crème dermique. 37. Réponse A : l’administration de Metvixia® doit être suivie d’une exposition de la lésion à un spectre continu de lumière rouge. 38. Réponse C : la bonne dénomination commune internationale de Metvixia® est aminolévulinate de méthyle. 39. Réponses A, B, C, D et E : le reflux gastro-œsophagien, les ulcères gastroduodénaux dus aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, l’éradication d’Helicobacter pylori, les ulcères gastroduodénaux, le syndrome de ZollingerEllison. 40. Réponse A : l’association du pantoprazole avec l’atazanavir est contreindiquée. En effet, l’absorption de l’atazanavir est pH-dépendante. Par conséquent, le pantoprazole ne doit pas être administré avec l’atazanavir car il existe un risque de diminution des concentrations plasmatiques de l’atazanavir.