Electrisation chez les enfants: protocole pour déterminer la nécessité de la surveillance électrocardiographique

Electrisation chez les enfants: protocole pour déterminer la nécessité de la surveillance électrocardiographique

Communications P240 Urgences P242 Urgences CORPS ETRANGERS TRACAEOBRONCHIQUES EXPERIENCE DE II ANNEES p Bouknri, L. Smeti-Bourtel, K.N. Benhells-Djn...

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Communications P240 Urgences

P242 Urgences

CORPS ETRANGERS TRACAEOBRONCHIQUES EXPERIENCE DE II ANNEES p Bouknri, L. Smeti-Bourtel, K.N. Benhells-Djndou”. Bmhsssine, M. &bin-Bcnnsccur. M. Beghriche Service

de Ptdmlrie

Wpital

N

ELAtassi

(Ex

: Bologhine)

CHEZ

- Alger

L’ENFANT

:

A. Bouferssoui,

F.

(ALGERIE)

~a ptnttratm d’un corps banger (CE) dans les voies respiratowes rene un accident rela,ivemen, frtquen, dam 10s pays en dtveloppemen,. en rawan, en panic. de I’absence de de _ortventron Dsns notre wilt d’endoscooie bronchique. 634 cas de CE --r--n nmmmnme- -. trachtobroncbiques on, ttt colligts sw me ptricde de Ii ans (janvie; 1987 1 dtcembre 19981. 455 enfmts (72 %) son, %gts de mains de 3 as, Ic plus jcune es, 6gt de 6 mow et le pii de frtquence s’observc en,; 12 et 24 mois. Le gmpn en la cible pnviltgite de cc, acciden, .408 garqons / 126 filler (sex rafm 1.8) Le syndrome de p&&ration es, refrouvt par l’inrermgafmre dans 90 % des car. La symptbmes habimels son, la tow (70 %). la dyspnde awe riftlemcnls (65 %) e, me dmdnufion locabs& du murmure vtrlculaire (69 %) La radmgraphie du thorax &ail nomale %, I’adnussion dam 37 cas (7 %I ; dam ler awes car, les anomalies radiologiques cbservtes son, I’ateledasie partielle ou’ totale (32 %). I’emphydme cbslrucrif (29 %). un foyer de pneumome (I2 %), un tpanchemcnr pleural (4 %), une hypercla& pulmonaire bilattr& (7 %) Ic CE radioopaque (10 %) es, une silualmn rare Une bronchoscopie au tube rigide (ins,mmenta,Km S,orz) rtabstc sous stdauon profonde ou anesthtsie &&ale a pcrmis I’extradion mmpltte du CE respiramire chew 602 enfams (95 %), Ies CE vtgttaur (8, %) son, plus frtquemmenr not& que les CE organiques (19 %). La cacahi,e occupy toujows la ltre place pamu Ies CE vtgttaux (48 %) Le CE respiratoirc se locabse dam I’arbre bmnchiquc drod (58 %), I’arbre bronch,que gauche (35 %), des 2 c6,ts (2 %), dam ,a lrachte (6 %) et en sms glotle (4 %) La durte de stjour endobronchaque du corps hranger es, < 8 jours (38 %). > I mow (30 %). L’extraction par voie endowpique n’a pas ttt possible dmr 5 % des cas et une lhoracotomie (par bronchotomle) a ttt ntcesraire. Des pmgrammes d‘tducation smitairc pour smsibdiser les parents et dcs pmgmmmss de farmwon des praliciens zon, ntcessaires et doivem Efre mis en place saris dtla,

p241

affichkes

Urgences ~LECTRISATION CHEZ LES ENFANTS: PROTOCOLE Pcwa DBTERMINER LA NkESSfT$ DE LA SURVEILLANCE kLECTRoCARDlOGRApHlQUE B Bailey, P oaudreault, R.L. Thivierze. ~eetion de ,‘“rgence Depanemen, de Ptdmtrie - IlBp~tal Ste-Juitme - Monrrtol II n’est pas chr si tow les pments down, avoir une surveillance tlectrocardiographique a la sude d’une tlecrrirarmn afm de dttecrer la wrvenue possible d‘aryihmie tardive. Aprtr avoir revu m,re exptrience (3 am) avec la pure en charge d’enfmts tlectrists @=1&t), nous awns ttabli un protocole pour dttermmer la ntcessilt de la surveillance tlectrocardiograpbiquc Aim,. dam notre CHU. unr sur~etllance tleftrocardiographique de 24 hares es, effectutr seulement cbez les enfanls avec “” anrtctdent card,aq”e. “ne pea de conscience. un accident WEC un vohage > 240 volts 0” un KG anormal Par ailleurs, un ECG est obtenu que pour ICI cnfmrs avec certains factcurs de risque (prtsence de ,ttanie, d‘une rtr~stance cutante dlminutr par I’eau. ou de brulbre cutante) ou me absence de rtmom lore de I’acc,dent. Le but de notre etude ear de dtmonwer que ce prof~fole es, utile pour duninuer le nombre de swwllsnce tlccrrocardiographlque efTcctute tout en demeurant rtcuritarre. A pmir dcJville1 1994. le promcole a trt jnm, au dossier de fous ler pat~enrr se prtsentant duns notre sallc d‘urgence pour une tlectrisatmn lors du mage. Naus awns revise nome exp&encc avec son util~sation au cow de% 4 premltres am&s. Afin de s’assurer qu’aucun palxn, ne soif dtctdt dcr suites d’une tlectrisation aprts avoir eu congt, now avms tgalemcm revu les dossiers du bureau du coroner de tow les enfants dtctdts des suites d’une tlectrocution. Duram ler 4 anr. 224 enfants tleclrists aver un 8ge median de 2.8 am on, t,t tvalut dam nowe sslle d’urgence. Seukment 29 (13%) patients on, cu besan d’une surve,llance tlectracardiographique incluant 21 en rtmimatian pour un total de 421 hewer. Les raisms pour laquelle la surveillance a ttt effectute Emt ECG anormal (~10). voltage >240 volts (“4). pcne de conscience (~3). anttrtdent card!aquc (n=2) $1 non-jur,ifit (~9). Tour Ies patwnn on, eu WC surveillance tlectrocardiaque normal Cent-vingt.sw de ccl pauenu on, reconsultt dam notre hdpiral, afun pour un !muveau probleme associt % I’tleetrisafion. Selon ie bureau du coroner. .wcun pawn, n’es, dtctdt secondairemen, h I’tlectrisarion aprts weir eu son congt de rime cemre bosp~taber Durant une p&ode de 4 ms avant la mise en application du protocole, de janwer 1989 & dtcembre 1992, la surveillance tlrctrocardlogrdphiquc a ttt effecrute chez 161 der 199 (81%) patients ayant ttt vu pour me tlecmisatian inchant 37 en rtnnimatton pour un lotal de 1238 hewer. En comparaison wet rem p&ode. Ia mix en application du protocole a ennaint une daminution du nombrc de patients qua on, eu we surveillance tleclroeardiographique (I3 vs 81% p
INTUXICATIONS INFANTILES ET PEDIATMQURS. &R&h*, M. Hemsdeh, H. Heddad, N. Jsber, I. Te”“ir, M&6, R Gherib.

M. Rayye, B. Abau-

Service de Ptdiauie, Wpital Makasscd-BEYROVTH Une etude r&rospective portan, SW les dossiers de 156 patznts hospilalists pour intmicatims a t,t perform& 1 lU6pital de Makassed de 1987 a 1997. Le bu, de I&de es, de dttermincr I’incidence de l’intoxiation dans nolre populalion ptdiatrique et d’tvquer les mesures prtventives. L’incidence tfai, de 1.2 % des enfaols admis ages de 1 mois 1 13 am. Rappar, gar$msffillu 0,85. La classification des cas a ttt faite s&n les groupes d’age. I’inctdence maximale &ail de 66,7 9b e, a ttt retmuvte dam le groupe d’%ge de 1-4 ans. Les agents in,oxicm,s &aim! classifits en dragucs e, substances chimiques. L’ingestian &it Ic mode d’mtaxication le plus frtquent. L’exposition incidentale tfai, Ic mode d’enposition Ie plus frtquent. La pluparl des symptdmes swvenaien, rapidcmcnt aprls l&position (O-6 heurcs aprss). II s’agissai, surtou, Le taux de monalitt Le traitemenl ttait

de symptbmes es, de 4,4 insrirut s&n

neurologiques. %. la nature

de I’ageo,

mroxicant

et le tableau

clinique.

P243 Urgences INTOXICATION ALCOQLIQUE HOPITAL DE PERIPHERJE aveit. E. Mazwier Service de p&&tie HateI-Dieu L’alcoolisation esf un moyen elle ~1, toucher k petit enfan

&t

: Nous awns voulu kgluer

AIGUE

NARBONNE d’exprssion mmu de fawn acxidcntelk.

CHEZ

du $

de manike fdkqx&w

L’ENFANT

adolescent,

I’i”cic&ma

associ& des intoxications alcooliquer ai@& chew I’mlam, l’adolescent dam M antre hospitalicr general Q&x&o : Le centre Nartamc dessert un bassin de popllation de 140 CCQ habitants male. Entre le I’ jsmier 1993 a le 31 dtcembre 1998.20 enfmts et I8 mois a I8 am onl et6 hospitalids dam les services de #dmme, rhtimation pcdyvaknte pour intoxication almoliqne. On, tt6 &die les circonstances & survenue, la p&i&e armuelle, I’exisfence

EN

de I’adolescen,.

et les facteun hospitalids hosptalier de en zone senua&descents de lit porfes. I.&e. le sex, de moblAmes

psychologiques as.wcieS, le type d.&wl, le niveau smlaire, l’exiae&e d’une famille &l&e (monoparentale, recomposk). la pise de mxiqws sssocike (bemodiaztpine, camlabis, cocafne, opiacts Rcherche rims le strum, ks urines,. le tau d’alcxn3l&nie. R&u&B : L’lae mwen de I’intoxication ea I5 * 0.7 ans. II s’agit le plus sowen, de gardens 14 pow-6 fills Jxs alcools ingtr6s spirinreux 14114 chew les -ns, 3/6 chew les filles. Lx con,eXte fesfif 12/20 pds nennen, les &its &pressii &xtionnels 6120. L’intoxication tin de p&i& scolaire au printemps 9120, I’& 6f20. Les toxiques retmwts 0120. Le taux shjour en r-&animation retard scolain de 2 psychologiqw exi@ent une l?m& pwpective chez l’mfan, ne doit prtwcupnt QJi intelQeue

moyen d’alcooltmie a 2.1 pour coma. L.es famines son, ans et Dlus n‘esf rehwve ate 7 f& sur 20. ~nclasicm’ plus dgionale, car le caran&e pas en faire sous es,imer sa le p&are

son, les bitres 81 le premier surwen, en ne son, pas

* 0,1 1 enfan, a Watts dms 8 cas dms 1 car Les Ce,te ende es, tm f&if de I’alaxl,sation gravitt. c’esi un

ntcessilt un sur 20. Le acbltmes &&ble a aigue ph&~&,~