Mots clés: Prostate, technique d'exploration - Ultrasons, tumeur maligne - IRM, tumeur maligne
16 h 30
Durée: 15 minutes
COMMENT JE FAIS LES BIOPSIES PROSTATIQUES: QUAND? COMBIEN? COMMENT? CRay, B Sauer, X Buy Strasbourg - France
Durée: 15 minutes
QU'APPORTE L'IRM AU DIAGNOSTIC DE CANCER DE PROSTATE ET A CELUI DE RECIDIVE L Lemaître, P Puech, A Villers Lille - France
Durée: 15 minutes
BILAN D'EXTENSION DU CANCER DE PROSTATE: EXTENSION LOCALE A Ayed, AL Brun, P Mazer, F Richard, P Grenier, R Renard-Penna Paris - France Objectifs pédagogiques: Connaître les précautions à prendre avant l'examen et les renseignements cliniques nécessaires à l'interprétation. Connaître lelles protocoles d'acquisitions dans le bilan d'extension local du cancer prostatique. Connaître la sémiologie en IRM du cancer de prostate et des signes d'extension extra-prostatique. Messages à retenir: L'IRM doit être effectuée à distance des biopsies prostatiques (> 6 semaines) en connaissance des données cliniques et biologiques (PSA, TR, données des biopsies). Le cancer prostatique se présente sous forme d'une plage en hyposignal T2, hypervascularisée au temps précoce après injection de Gadolinium.
1472
Durée: 15 minutes
Fonction rénale et imagerie: voir le rein fonctionner. Les fondamentaux Séance organisée par l'Interface Imagerie-Biologie et la SIGU
Responsable: Charles-André Cuénod
Objectifs pédagogiques
Objectifs pédagogiques: Comment optimiser la technique de réalisation de J'IRM de prostate. Quelles sont les indications de J'IRM avant biopsies échoguidées. Comment lire et interpréter une IRM prostatique. Quels sont les critères séméiologiques IRM de cancer de prostate. Comment obtenir des corrélations entre l'IRM et des biopsies, et l'IRM et les pièces de prostatectomie radicale Messages à retenir: L'IRM peut coupler des informations morphologiques et fonctionnelles obtenues lors des séries dynamiques réalisées après injection de produit de contraste. En cas d'élévation du taux de PSA, l'IRM a pour objectif de détecter les foyers tumoraux de plus de 0,5 cc, de préciser leur topographie, d'approcher leur volume lésionnel, de préciser l'extension et donner des informations utiles au chirurgien ou au radiothérapeute. L'IRM se base sur des critères combinant des informations morphologiques en T2 et des informations fonctionnelles (après injection de produit de contraste). Elle permet de détecter les tumeurs antérieures de prostate inaccessibles aux biopsies postérieures systématisées. La collaboration entre l'urologue, le radiologue et l'histopathologiste est indispensable pour connaître les capacités et les performances de l'IRM ainsi que ses limites actuelles. Mots clés: Prostate, tumeur maligne - IRM, technique d'exploration - IRM, récidive
17 h 00
17 h 15
DISCUSSION GENERALE: QUELS ENJEUX POUR L'IMAGERIE?
Objectifs pédagogiques: Fournir les indications des biopsies. La technique des prélèvements est simple avec cartographie. Messages à retenir: La technique est simple et peu traumatique. Dix à 12 prélèvements sont indispensables. Une IRM est indiquée pour orienter une nouvelle série de biopsies après des premiers prélèvements négatifs. Mots clés: Biopsie, tumeur maligne - Prostate, biopsie
16 h 45
Le bilan d'extension extra-prostatique comprend la recherche d'un envahissement extra-capsulaire, des vésicules séminales et l'analyse des aires ganglionnaires. Mots clés: Prostate, tumeur maligne - IRM, tumeur maligneScanographie, tumeur maligne
Faire le point sur la physiologie rénale et la physiopathologie puis présenter les dernières avancées scientifiques. Présenter les différents outils d'imagerie permettant d'avoir accès in vivo au fonctionnement et au dysfonctionnement rénal.
Modérateurs: Bernard Van Beers, Jean-Nicolas Dacher 16 h 00
Durée: 20 minutes
LA REGULATION DE LA PERFUSION RENALE 1Tack Toulouse - France Objectifs pédagogiques: Montrer que l'hémodynamique rénale est conditionnée par la structure cortico-médullaire de cet organe et par sa principale fonction: la filtration glomérulaire. Expliquer comment la régulation hémodynamique intra-rénale permet, dans une large mesure, de maintenir stable le DFG lorsque le DSR varie. Présenter les principaux déterminants de la régulation de l'hémodynamique rénale et par conséquent du DFG. Appliquer ces caractéristiques et propriétés physiologiques à des situations telles que la réduction néphronique et la toxicité médicamenteuse (IEC, AINS et produits de contraste iodés). Messages à retenir: Bien qu'ils ne représentent qu'à peine 0,5 % du poids du corps, les deux reins reçoivent un débit sanguin rénal (DSR) égal à 20-25 % du débit cardiaque, c'est-à-dire plus de 1000 ml/min. Ce DSR élevé est lié à la fonction de filtration de cet organe. La circulation sanguine rénale présente des caractéristiques remarquables: La distribution des résistances dans l'arbre vasculaire rénal détermine largement la filtration glomérulaire (DFG) ; La distribution cortico-médullaire contribue à la modulation des fonctions rénales; Si le DSR détermine largement le DFG, les variations de l'un et de l'autre sont toutefois partiellement indépendantes, garantissant le maintien du DFG lorsque le DSR varie. Le DSR bénéficie d'une puissante auto-régulation qui repose sur le mécanisme myogène, la mise enjeu d'un rétrocontrôle tubulo-glomérulaire et implique de nombreux médiateurs (angiotensine II, facteurs endothéliaux) ainsi que le système neuro-végétatif. La consommation rénale d'oxygène comporte un paradoxe: la forte consommation d'oxygène est associée à l'une des plus faibles désaturations artério-veineuses de l'organisme et cette désaturation n'augmente que pour des diminutions extrêmes du DSR. Ces caractéristiques participent aux conséquences hémodynamiques