Garde d’enfant: la CAF vous aide

Garde d’enfant: la CAF vous aide

rations, les « digital natifs », cette formation est inutile car ils savent très bien s’en servir. En revanche un effort plus important doit être fait...

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rations, les « digital natifs », cette formation est inutile car ils savent très bien s’en servir. En revanche un effort plus important doit être fait autour des usages : les modes de travail sont fortement impactés par ces nouveaux outils. Voici quelques exemples simples : - on n’envoie plus de documents joints, mais un lien vers le document qui est hébergé sur le Cloud, dans les serveurs de Google ; - plusieurs personnes peuvent travailler, en même temps, sur un document, ce qui élimine les difficultés liées aux différentes versions d’un même document ; - tout l’historique des modifications est disponible en permanence ; - la fonction « classement » est remplacée par la « recherche » sur n’importe quel mot. On peut aussi, quand on le souhaite, ajouter des étiquettes à un document pour remplacer, en mieux, la fonction classement ; - tout le monde peut travailler, avec la sécurité nécessaire, n’importe où, à toute heure et depuis n’importe quel

PRATIQUE Garde d’enfant : la CAF vous aide Vous voulez faire garder votre enfant près de chez vous ou de votre labo, trouver la personne qui s’en occupe le soir après l’école ou le mercredi, ou dénicher le centre de loisir idéal pendant les vacances ? La Caisse nationale d’allocations familiales a créé un site internet pour vous aider*. Sur mon-enfant.fr vous avez accès à toutes les solutions d’accueil pour vos enfants de 0 à 12 ans : assistant(e) s maternel(le)s, accueil parental ou collectif, jardins d’enfants, etc. Sur ce site, on trouve de nombreux services pour mieux choisir et organiser la garde d’un enfant. Module de recherche géolocalisée, simulation de droits à la Paje, simulation du prix d’accueil de l’enfant, information sur les métiers de la petite enfance, initiatives locales, etc. ■■ *Communiqué CNAF

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outil informatique, PC, smartphone ou autre tablette. À noter également l’assurance d’avoir en permanence accès à la dernière version des outils de Google, de bénéficier de toutes les innovations qui y sont apportées chaque mois, sans avoir à gérer les migrations périodiques, longues et coûteuses de versions. Le basculement vers Google Apps peut se faire progressivement pour laisser le temps à tout le monde de s’adapter à ces nouvelles méthodes de travail. Des questions essentielles se posent : celles de la sécurité, de la confidentialité des données et du secret professionnel. Les prestataires prétendent que les documents, mémorisés dans les centres de calcul de Google, sont beaucoup mieux protégés que dans un bureau. L’actualité nous en apprend tous les jours, disent-ils : « regardez l’affaire Bettencourt. Les PC de bureau, et portables, de journalistes qui travaillaient sur ce dossier ont été volés.

Les documents sur lesquels ils travaillaient n’auraient jamais pu être récupérés dans les centres de calcul de Google ». L’une des faiblesses des solutions actuelles vient souvent des mots de passe, souvent trop faciles à deviner. Il est maintenant possible d’utiliser, en complément du mot de passe, une authentification forte telle que l’envoi d’un SMS sur le téléphone de la personne, comme cela se fait pour les transactions bancaires. Quant à la confidentialité des données, Google a signé la convention « Sale Harbour » qui protège bien les données et le secret professionnel. Personne chez Google, nous dit-on, ne peut accéder à nos données, et ceci est garanti par un contrat signé entre Google et son client. Dont acte. Nous verrons plus précisément, dans le prochain numéro de RFL, les avantages pratiques du « Cloud ». ■■ *www.revevol.fr

Informatique et liberté : un nouveau moyen de contrôle de l’utilisation des ordinateurs admis par la CNIL La biométrie comportementale permet d’identifier un individu en utilisant une ou plusieurs de ses caractéristiques non physiques. Sa mise en œuvre doit être préalablement autorisée par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (article 25-I-8° de la loi informatique et libertés). Le 23 juin 2011, la CNIL a autorisé pour la première fois un dispositif biométrique reposant sur la reconnaissance de la frappe au clavier. Ce dispositif s’appuie sur les variations de la durée séparant la frappe de deux touches du clavier d’un ordinateur lors de la saisie d’un identifiant et d’un mot de passe. Cette authentification vient donc s’ajouter à celle reposant sur le secret (identifiant/mot de passe) connu de l’utilisateur et permet de renforcer la sécurité de l’accès à des applications Internet ou à un système d’information (par exemple, l’intranet d’une entreprise).

// REVUE FRANCOPHONE DES LABORATOIRES - NOVEMBRE 2011 - N°436

L’autorisation a été délivrée pour une finalité limitée : la démonstration du fonctionnement du dispositif à de potentiels clients. Dans la mesure où ce type de biométrie peut présenter des risques (par exemple, l’enregistrement puis la simulation des caractéristiques de la frappe clavier d’une personne, à son insu notamment par le biais de mouchards pour clavier), la CNIL examinera attentivement les prochaines demandes d’autorisation qui lui seront soumises. ■■ Communiqué CNIL 28 juillet 2011